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500 000 eBooks gratuits pour le Sony Reader

Sony vient d’annoncer un partenariat avec Google qui va lui permettre de proposer aux utilisateurs de son eBook Reader, pas moins de 500 000 livres gratuits…

Sony vient d’annoncer un partenariat avec Google qui va lui permettre de proposer aux utilisateurs de son eBook Reader, pas moins de 500 000 livres gratuits ! Tous ces livres publiés avant 1923, sont tombés dans le domaine public et son d’ailleurs accessibles via Google Book. Les utilisateurs PC qui se servent de ce service de google, et qui ont un eBook reader de Sony, pourront transférer ces livres sur leur appareil au format ouvert spécial eBook, le ePub.

sonyebook

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22 commentaires
  1. Hoooo, un appareil Sony (autre que la PS3) qui accepte un format libre autre que PNG?

    Prochaine étape: le OGG Vorbis et Theora ainsi que le FLAC sur ces baladeurs vidéo?

  2. Saleté de ebook. Vont nous tuer nos libraires indépendants, qui ont déjà du mal d’ailleurs, à survivre. Peut-on être geek et avoir un cœur pour les autres geek qui nous vendent leurs passions dans leur magasins ? Oui je pense.

  3. Il faut vivre avec son époque, les libraires pourront envisager un système de ebook en vente en magasin ou autres …Ils peuvent même vendre les ebookreader tant qu’ils y sont;)

  4. et Swap, pose toi la question pourquoi les gens viennent acheter des livres chez toi : parce que tu es sensé apporter une plus value, qui est le service, le conseil, une pré-sélection, c’est quelque chose que tu pourra continuer de faire, et tu pourra économiser sur le loyer puisque tu n’aura besoin que d’un site web. Si tu n’es qu’un simple vendeur de papier alors là tu peux te faire du soucis.

    Perso je trouve que ces lecteurs ebook sont pratiques, et seront inévitablement utilisés massivement une fois les prix démocratisés. Une chose intéressante qui existe peut être déjà c’est le support du wifi pour lire les journaux sur le net

  5. Sur youtube maintenant tu as une série de musique qui est libre de droit ou tombé dans le DP, d’ailleurs j’me suis fais avoir sur une musique, ils m’ont supprimé mon son 😐

    Bref moi je trouve ce E-reader bien pratique même si je le trouve encore affreusement chère tout comme le prix d’un bouquin électronique …

    Pourquoi ne pas avoir un numéro avec chaque bouquin acheter sur papier, pour une fois entrée sur le store en ligne pouvoir le télécharger sur le pc, on aurait une version papier, et une version électronique, au cas où !! Un incendie est si vite arrivé !!

  6. Perso, j’aime pas le concept de l’ebook, ça fait mal aux yeux et je prefere tourner de vraies pages 😀 Après, chacun son avis 🙂

  7. euh…juste une chose vous etes aller voir les bouquins proposé avant de faire une polémique ????? parce que franchement….

  8. @ zouga. Je ne suis pas vendeur 😀 Juste lecteur . Et je préfère voir mon libraire, c’est plus .. humain. Après de toute façon c’est l’éternel problème. Combien de petits magasins de cd ou de produit h-tech sont mort par l’avènement du e commerce, dont je me sert régulièrement. Je dit juste que c’est dommage et qu’avoir 200 bouquins et ne pas les voir sur une étagère, je ne pourrais jamais m’y faire. Mais bon les livres ont encore de beaux jours devant eux.

  9. jerrygolai et azerty11214: belle mantalité, c’est comme ça que vous traité quelqu’un qui trouve que la liberté est quelque chose de vitale?
    On la sent bien là, votre soumission.

    Bon, pour revenir au principe du e-book: Si le format reste libre, permettant ainsi les même possibilité que le livre normale (c’est à dire prêter ou revendre le livre), il n’y aura pas de problème. Quoi que, finalement c’est très différent des livre normaux: si on prend le livre en magasin, il n’y en a plus dans l’étagère, alors que si on prend un e-book sur un site internet, il sera chez nous, mais aussi toujours en magasin (virtuel). Donc on doit avoir une autre approche pour les e-book que pour les livres.

  10. TheCélinette en mode geekette à mon avis pour la musique c’est pas facile de trouver des enregistrements datant de 1923. Les interprétations actuelles d’un morceau composé avant 1923 tombent aussi sous le coup des droit d’auteur…

  11. En ce qui me concerne il est inconcevable d’acheter un livre en format électronique.
    J’ai beaucoup trop besoin de l’odeur du papier de la sensation de toucher sur les pages …
    Bref je considère le livre comme étant non seulement un support culturel mais aussi comme étant un élément de décoration à part entière.

    Je r^ve d’ailleurs d’une vraie bibliothèque avec l’escalier en colimaçon, de belles étagères en bois vieillis etc …
    Et surtout l’atmosphère que dégage une telle pièce.

    Bref tout ce qu’une cochonnerie d’eBook ne permet pas.

    Néanmoins en y réfléchissant plus, le eBook peut être une excellente solution pour les collégiens qui doivent se ballader avec des sacs à dos de 14 kilos sur le dos tous les jours, de même pour les universitaires.

    Bref le eBook à mon sens ne doit être qu’une solution alternative, et surtout ne pas tuer le Livre.

    Mais ce n’est que mon avis 😉

  12. Mouais bof, je préfère un bon bouquin avec des vrais pages qu’on peut manipuler, et pas besoin de batterie, d’avoir à le recharger, faire des MAJ.

  13. C’est marrant on a l’impression de revivre le même débat qu’avec le mp3.
    Le livre passera au numérique comme le reste (musique, photo, etc…)

  14. Pour ceux qui disent que ca leur fait mal aux yeux ou que c’est flou… Vous avez vraiment déjà touché un ebook ? L’encre electronique est impressionnante, on a l’impression de lire sur du papier. Si tu vois flou, vitamine, c’est du coté de l’opticien qu’il va falloir faire un tour

    Pour le discours classique du “j’aime l’odeur et la sensation du papier, dans une étagère en bois vieilli”… Hm, moi j’apprécie l’idée de pouvoir partir en vacances avec 20 livres dans une petite plaquette de 300 grammes. J’aurais aussi apprécié d’avoir ça au collège, au lieu de mes 15 vieux livres a moitié déchiré et ultra lourd que je me trimbalais

    Bref, vivement l’avènement des ebooks.

  15. Petite chose supplémentaire que je voulais dire:
    L’industrie de l’édition est en train de faire la même erreur que l’industrie du disque il y a quelques années
    Les livres en format electroniques sont cher (quasiment le même prix que les livres papier…), blindé de DRM, etc…
    J’ai peur que ça tourne mal si ils ne réagissent pas très vite, car tout va se jouer dans les 10 années qui viennent

  16. que de délires et d’idées reçues… l’Ebook c’est flou 😯 (vitamine), ça fait mal aux yeux 😆 (zakisan), pour le premier il est temps de prendre un rdv chez ton ophtalmologue, pour le second, faut essayer avant de causer… n’étant pas rétro-éclairé l’Ebook ne fatigue pas la vue plus qu’un livre, j’en utilise un depuis maintenant un peu plus d’un mois, je sais de quoi je parle… et pour ceux qui AIMENT les livres, et vu leurs qualité de fabrication, dites moi, vous faites quelle gueule vous, quand vous voyez que votre joli et tant aimé livre papier que vous avez payé 25€, tout esquinté par une semaine de transport en commun, vous pensez que ça va mettre votre bibliothèque en valeur… je rejoindrais plutôt Mika dans sa pensée, une belle et propre édition papier pour faire beau dans ma bibliothèque et lire à la maison, et une édition électronique à trimballer partout sans risque de couverture cornée et déchirée ou de pages décollées, enfin, vivre avec mon temps quoi, comme un vrai Geek !!!

  17. Je rejoins max et Phylop,

    L’encre électronique est vraiment impressionante de confort (même si le “papier” n’est pas aussi blanc qu’on pourrait l’espèrer), lecture non fatigante, dalle non rétro-éclairée, lecture en plein soleil possible. Gros avantages : choix des caractères et de leur taille, possibilité de souligner et d’indexer (tags, liens hypertextes) des passages. Pour moi qui répugne à annoter mes livres papiers et qui passe des heures ensuite à rechercher des passages c’est youpi ! pour les étudiants aussi, avantage indéniable ; possibilité de charger des dicos et donc de vérifier le sens d’un mot qu’on ne connais pas (ça arrive), et donc aussi de lire plus aisément en langue étrangère (des articles de journaux notamment) ; je me souviens aussi d’avoir lu l’intérêt que cela aurait pour certaines professions comme juristes qui pourraient disposer en permanence de l’ensemble des codes pour un poids et un encombrement ridicule (et je peux vous dire que ça pèse son kilo de papier un code). Autre avantage, certains bouquins sont pas hyper bien imprimés tout de même : choix de la typo, interlignage, et peu rendre la lecture assez pénible, le passage à l’électronique permet de choisir ses préférences et donc d’adapter le texte à ses habitudes de lecture, d’améliorer le confort et donc l’assimilation de l’information.

    Un truc qui me gêne un peu par contre, c’est le désaffichage/affichage d’une page, là pour le coup, ça me nique un peu les yeux et ça demande presque de regarder ailleurs le temps que la nouvelle page soit chargée, c’est pas vraiment instantané. (mais je n’ai fait que tester un appareil un quart d’heure, je n’ai pas réellement d’expérience d’utilisation réelle sur plusieurs heures de lecture, là où de nouvelles habitudes se prennent).

    Là où je ne pige pas la logique par contre, c’est le prix des livres électronique. Pour moi qui adore le papier mais qui n’a pas toujours envie de porter des livres lourds pour pouvoir lire dans le métro ou en week-end, et qui doit choisir quel livre embarquer alors que j’en ai fréquemment plusieurs sur le feu (en n’oubliant pas le gros + de la fonction annotation), les qualités de l’ebook sont évidentes mais le prix pas conforme à l’utilisation que je souhaiterais en faire. Il me faudrait un bundle du type : pour l’achat d’un livre papier et pour quelques euros de plus (moins de 5€ dans le pire des cas on va dire), la version ebook est fournie. Bien sûr dans mon esprit, la copie ebook devrait même être gratuite dés lors que l’on achète la version papier, un peu comme l’autorisation de posséder une copie mp3 d’un album ou d’un DVD que l’on possède. Mais faut pas rêver, il va en couler de l’eau sous les ponts avant qu’un tel concept arrive au cerveau des éditeurs et surtout de leur agents commerciaux.

    Pour conclure, c’est clairement un outil complémentaire et non concurrentiel du livre, en tout cas, pour l’heure, ça ne me viendrait pas à l’idée, pour le même prix, d’acheter un ebook à la place d’une version papier. Mais j’aimerais beaucoup par contre posséder les deux pour le même prix.

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