Passer au contenu

La cité perdue d’Atlantide engloutie par Google ?

Il y a trois ans, Google repoussait les limites de son service de cartographie en lançant Google Ocean, à l’instar de ses cousins germains Maps, Earth…

Il y a trois ans, Google repoussait les limites de son service de cartographie en lançant Google Ocean, à l’instar de ses cousins germains Maps, Earth et Sky, la mission de Google Ocean est de capturer les fonds marins afin d’offrir aux chercheurs, curieux et autres passionnés les moyens de satisfaire leur connaissances de la topographique océanique.

La prétendue découverte par le service de Google de la citée perdue d’Atlantide qui se trouverait aux coordonnées 36°25′12″N 25°25′54″E  /  36.42°N 25.43167°E  / 36.42; 25.43167 pour les curieux, a été effacée des systèmes de Google non pas par erreurs, mais tout simplement parce qu’elle n’existerait tout simplement pas après tout.

La rumeur a été rapidement démentie par Google qui a expliqué dès 2009 que ce n’étaient que des signaux radars de bateaux qui naviguait d’une façon pour le moins “géométrique” on vous l’accorde dans ces eaux là.

Quoiqu’il en soit, les traces avaient été laissées en l’état par Google jusqu’à aujourd’hui puisque de nouvelles données venant écraser les précédentes ont été ajoutées au service Google Ocean et cette zone n’est officiellement plus visible par les utilisateurs.

David Sandwell géophysicien de son état, explique la genèse de la polémique :

La première version de Google Ocean était basée sur des cartes hautes résolutions mais qui contenait de nombreuses signatures archivées de bateaux patrouillant dans les eaux mondiales.

Des étudiants d’une université américaine ont passé les trois dernières années à supprimer ces signatures fantômes des eaux internationales, pas de cité perdue et encore moins de cité d’or à l’horizon donc, mais rassurez-vous le 21 décembre 2012… nous serons avec vous.

🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.

Source : Source

19 commentaires
  1. Ce n’est plus cette date la fin du monde, il faut se mettre à jour, il y a eu des erreurs dans l’interprétation du calendrier maya.

  2. j’ai pas tendance à corriger les fautes d’orthographe mais vu que c’est un des derniers mots, il fait mal “nous seronS” avec un “S” plutôt qu’un “T” ….

  3. @Hugo c’est sûrement le 21, mes connaissances en calendrier Maya sont un peu en berne ces temps ci il faut l’avouer 🙂

  4. Oui.. Fail.

    Normal qu’il y a des formes rectangles comme ça sur l’image ?
    C’est des bateaux, puis quoi encore..

  5. C’est normal l’effacement.

    Google a installé depuis, ses laboratoires de recherche après ceux de San Francisco.
    Il paraît que personne les embête la bas. 😉

  6. ah, les mayas, qui sont parti en sucette et faisaient des sacrifices humains n’ont pas vu arriver leur chute et disparition. Alors laissons les croyances ******** aux culs bénis.
    😉

  7. Trois ans pour supprimer des artéfacts sans les supprimer c’est fort! Les fameuses “traces fantômes” sont toujours là, même si moins visible (sur maps.google.com).
    Ces “traces fantômes” sont fréquentes dans le traitement des données bathymétriques et sont liées à des effets induits par l’interpolation dans les zones où, le ou les bateaux qui ont fait les levés, sont passés avec une maille moins serrée.
    D’ailleurs pour ce genre de levé les bateaux utilisent des plans de navigation qui suivent des routes “GPS” régulières et c’est ça qui forme ces perpendiculaires et parallèles…

  8. Comme a dit TheNoob, la date a changer, d’après les dernières ( 1 ans déjà ), le calcul refait, le calendrier maya ne s’arrête pas en 2012 mais en 2116 exactement. Mais bon ont ne sera plus là a cette époque…. 😛

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *