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Impressions Total War – Rome II : des promesses à foison

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Après avoir revisité l’époque des samouraïs dans le somptueux Shogun 2, The Creative Assembly s’est décidé à exaucer les demandes des fans en ressuscitant l’épisode le…

Après avoir revisité l’époque des samouraïs dans le somptueux Shogun 2, The Creative Assembly s’est décidé à exaucer les demandes des fans en ressuscitant l’épisode le plus apprécié de la série Total War. Si Rome II se présente comme un retour aux sources, il s’agit avant tout d’un incroyable voyage dans le temps.

La présentation du jeu mettait en avant une des missions historiques qui sera accessible à côté de la campagne principale. Pris en embuscade par les barbares germains, trois légions romaines se retrouvaient prises au piège en contrebas d’un ravin, le démonstrateur ayant alors pour tâche de dégager un passage aux unités détentrices des trois aigles emblèmes de ces légions.

L’occasion de nous montrer une de nombreuses nouveautés qui rendent le jeu plus réaliste que jamais : outre la possibilité de déployer certaines technologies avant le début du combat (les Germains nous attendant en hauteur avec des meules de paille enflammées), les unités ont été multipliées pour coller à leur modèle d’époque (on arrive à 700 types d’unités !), et les paysages ont été modelésn en fonction du lieu où se déroule la bataille.

Oui, ça fait mal quand on tombe sur une embuscade
Oui, ça fait mal quand on tombe sur une embuscade

Au vu de la taille de la carte qui s’étendra sur une bonne partie de l’Europe et de l’ambition des développeurs de rendre les séquences de combat plus intéressantes, un lifting des terrains était nécessaire.

Le résultat est à la hauteur des espérances : il est désormais impossible pour le joueur de voir les unités adverses si celles-ci ne se trouvent pas en vue des siennes, ce qui rend le relief plus important que jamais. Beaucoup plus marqué, ce dernier est souligné par la végétation et les différents climats qui peuvent modifier le cours de la bataille.

FREEEEEEEDOM !
FREEEEEEEDOM !

L’autre chantier de Rome II était bien évidemment la campagne, et les développeurs se sont une fois de plus montrés prolixes en compliments à son sujet : il sera toujours possible de choisir le sort réservé à une force ennemie vaincue, tandis que les unités bénéficieront d’un système de tradition qui leur permettra de débloquer des compétences comme le cri de guerre des barbares après un certain nombre de combats.

Rome : son armée, son Colisée, son écrasante suprématie
Rome : son armée, son Colisée, son écrasante suprématie

Trois conditions de victoire seront disponibles à tout moment du jeu, et le combat e sera pas le seul moyen d’obtenir ce que vous désirez. Intrigue politique, espionnage, assassinat… les possibilités vous laisseront une belle marge de manœuvre. Et si jamais vous vous retrouvez en position délicate au Sénat à cause d’un adversaire plus habile que vous, il sera toujours temps de mettre un terme à la République en vous instituant empereur…

Après avoir revisité l’époque des samouraïs dans le somptueux Shogun 2, The Creative Assembly s’est décidé à exaucer les demandes des fans en ressuscitant l’épisode le plus apprécié de la série Total War. Si Rome II se présente comme un retour aux sources, il s’agit avant tout d’un incroyable voyage dans le temps.

La présentation du jeu mettait en avant une des missions historiques qui sera accessible à côté de la campagne principale. Pris en embuscade par les barbares germains, trois légions romaines se retrouvaient prises au piège en contrebas d’un ravin, le démonstrateur ayant alors pour tâche de dégager un passage aux unités détentrices des trois aigles emblèmes de ces légions.

L’occasion de nous montrer une de nombreuses nouveautés qui rendent le jeu plus réaliste que jamais : outre la possibilité de déployer certaines technologies avant le début du combat (les Germains nous attendant en hauteur avec des meules de paille enflammées), les unités ont été multipliées pour coller à leur modèle d’époque (on arrive à 700 types d’unités !), et les paysages ont été modelésn en fonction du lieu où se déroule la bataille.

Oui, ça fait mal quand on tombe sur une embuscade
Oui, ça fait mal quand on tombe sur une embuscade

Au vu de la taille de la carte qui s’étendra sur une bonne partie de l’Europe et de l’ambition des développeurs de rendre les séquences de combat plus intéressantes, un lifting des terrains était nécessaire.

Le résultat est à la hauteur des espérances : il est désormais impossible pour le joueur de voir les unités adverses si celles-ci ne se trouvent pas en vue des siennes, ce qui rend le relief plus important que jamais. Beaucoup plus marqué, ce dernier est souligné par la végétation et les différents climats qui peuvent modifier le cours de la bataille.

FREEEEEEEDOM !
FREEEEEEEDOM !

L’autre chantier de Rome II était bien évidemment la campagne, et les développeurs se sont une fois de plus montrés prolixes en compliments à son sujet : il sera toujours possible de choisir le sort réservé à une force ennemie vaincue, tandis que les unités bénéficieront d’un système de tradition qui leur permettra de débloquer des compétences comme le cri de guerre des barbares après un certain nombre de combats.

Rome : son armée, son Colisée, son écrasante suprématie
Rome : son armée, son Colisée, son écrasante suprématie

Trois conditions de victoire seront disponibles à tout moment du jeu, et le combat e sera pas le seul moyen d’obtenir ce que vous désirez. Intrigue politique, espionnage, assassinat… les possibilités vous laisseront une belle marge de manœuvre. Et si jamais vous vous retrouvez en position délicate au Sénat à cause d’un adversaire plus habile que vous, il sera toujours temps de mettre un terme à la République en vous instituant empereur…

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