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Aujourd’hui, les journées mondiales sans portable débutent (mais on peut s’en servir)

Il y a des jours avec et des jours sans. Sans portable, le 6 février, saint Gaston (oui, il y a une référence) c’est le début…

Il y a des jours avec et des jours sans. Sans portable, le 6 février, saint Gaston (oui, il y a une référence) c’est le début des journées mondiales sans portable. On doit l’initiative à Phil Marso, un écrivain à qui l’on doit notamment Tueur de portable sans mobile apparent

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Comme il l’explique sur son site mobilou.info, à la troisième personne, “Phil Marso n’a jamais proposé de couper son smartphone”. Il faut considérer l’événement comme un “prétexte à engager un débat de réflexion autour de cet outil de communication”. 

Notons que l’événement dure trois jours et qu’il s’agit de la quatorzième édition des journées mondiales, enfin mondialement française. En dépit de son intérêt, elle n’a pas encore réussi à traverser les frontières hexagonales. Il faut dire que des journées mondiales sans portable, où l’on a droit d’utiliser son portable manque un peu de punch.

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6 commentaires
  1. C’est pour que les gamins n’oublient pas la bonne façon d’écrire ?!

    En même temps, certains enfants scolarisés ne savent pas écrire correctement et n’ont pas encore de portable en poche !

    Grand sujet à débat !!

  2. rappel “portable” ne veut rien dire à part que le bidule est en version portable.
    Tu prends une poignée, tu la colles à l’araldite sur ‘nimporte quel objet
    t’obients un “portable”.
    De quoi parle ton ?
    BIDE GARANTI à 100%

  3. Il est faux de dire que Les Journées Mondiales sans téléphone portable n’ont pas dépassé la frontière française. Dès la première édition en 2001, on en parlait plus à l’étranger qu’en France : Canada, Suisse, Belgique. Certes c’était francophone… Quoi que CNN Londres en avait fait un écho.

    Typiquement français de se regarder le nombril croyant que tout se passe en France. 🙂

    Au regard de mes moyens financiers (c’est à dire néant) et après 14 ans, le rendez-vous est ancré en France, enfin ! Quoi que la désinformation a été merveilleuse pour cette 14e édition. Les médias en France ont zappé le thème essentiel : le langage SMS et la langue Française. Un thème qui aurait du suscité de nombreux débats pendant ces trois jours.

    Saluons aussi l’AFP qui une nouvelle fois m’a fait barrage et comme les médias ont les yeux rivés sur les dépêches de cette agence ressemblant de plus en plus à la Pravda.

    Conclusion : ce rendez-vous ne s’essouffle pas, bien au contraire il se renforce. En sachant que le lobby de la téléphonie notamment en France est puissant.

    J’en termine par une anecdote, certes qui date de 2001. A l’époque, j’ai fait un débat sur une télévision publique en Belgique. En face de moi, j’avais un porte-parole d’un opérateur de téléphonie mobile. Impensable en France ! On a droit au porte-parole de l’association des opérateurs mobiles, ainsi que des sociologues financés par l’industrie.

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