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Un robot guépard pour le MIT

Le MIT développe un robot coureur et autonome plutôt impressionnant. Ce guépard dispose de quatre pattes dont le mouvement imite autant que possible la démarche chaloupée…

Le MIT développe un robot coureur et autonome plutôt impressionnant. Ce guépard dispose de quatre pattes dont le mouvement imite autant que possible la démarche chaloupée du fameux félin.

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Le développement de ce robot s’est réellement inspiré de son modèle animal : les chercheurs ont longtemps étudié la manière dont le guépard court, comment ses pages fonctionnent entre elles, … De cette étude minutieuse est sortie un algorithme qui va permettre au robot — qui dispose des mêmes « capacités » que le guépard — de se mouvoir à la même vitesse que son modèle, c’est à dire près de 100 km/h ! Du moins, c’est l’objectif.


Car pour le moment, ce robot se contente d’un très honorable 16 km/h, avant de monter en puissance vers les 50 km/h. L’autre aspect intéressant de ce cheetah-bot est sa motorisation : alors que ses confrères utilisent des moteurs à combustion, ce guépard embarque un moteur électrique.

Il n’y manque plus guère qu’une coque pour cacher ses entrailles.

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10 commentaires
  1. Quand la robotique arrivera à son apogée avec l’intelligence artificielle, nous assisterons à la destruction de l’humanité. Comment vivre dans un monde surpeuplé, où le travail n’est réalisée que par des machines et où même l’art est informatisé ? Pourquoi vivre ?

  2. Où est le guépard ? On dirait un toutou plutôt. Après dédicace à tonton Maurice qui craint l’avenir.. De toute façon on y va 😀 Que pourrait-on faire si on éteint la TV, pourquoi vivre ? Il suffit de couper l’électricité (ou robotiser la planète) pour se rendre compte que l’humanité croit quand elle n’est plus distraite par des choses accessoires ou accaparée par le travail. Le travail c’est la santé ? Les problèmes les plus importants à éteindre ce sont l’argent, le pouvoir politique, la pornographie et prostitution, la maladie, la pollution… Et les questions les plus importantes sont la liberté, la justice, la paix, le respect et dans l’idéal l’amour (désintéressé). Si dans un monde robotisé ces valeurs sont la finalité, c’est le principal 🙂

  3. Carrément… Merci Maurice pour ton commentaire.

    Ici, on veux imiter le guépard, alors on créer un cousin du Yorkshire. Très franchement, avant que les robots deviennent aussi intelligent que nous, aussi rapide que des guépard, et aussi fort que La Montage (héhé) y’a très franchement de la marge.

    L’espèce humaine a encore quelques beaux jours devant elle.

  4. @Maurice
    Dans un monde ou un robot produisant par exemple de la nourriture, n’est utilisé que pour enrichir son propriétaire, effectivement, ça peut poser problème.
    Mais dans un monde ou ce robot produit de la nourriture simplement pour nourrir les gens, sans question d’argent ou de propriété, cela pourrait devenir intéressant.

    Il parait que dans les années 50 les gens imaginaient un futur ou ils n’auraient plus besoin de s’adonner à des travaux ennuyeux, répétitif et déprimant, grâce aux avancées technologiques. Malheureusement, ils n’avaient pas prévu la main mise du capitalisme sur toutes les sortes de production, et que le fruit de ce travail automatisé ne servirait qu’à enrichir davantage les propriétaires de ces machines, au lieu d’élever le niveau de vie des moins chanceux. Car oui, la richesse est le plus souvent lié à la chance, comme par l’héritage par exemple, social ou financier.
    Pas tous nés sous la même étoile, comme dirait l’autre.

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