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Les montres connectées interdites d’examen

La popularité des montres connectées va aller croissant, au fur et à mesure quel les constructeurs lanceront des modèles plus abordables et toujours plus puissant —…

La popularité des montres connectées va aller croissant, au fur et à mesure quel les constructeurs lanceront des modèles plus abordables et toujours plus puissant — sans compter le lancement de l’Apple Watch en avril, qui va certainement donner un coup de fouet au secteur.

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Pour faire face à l’arrivée de nombreux étudiants équipés de ces périphériques intelligents à leurs poignets, certaines universités ont pris les devants. C’est en Grande-Bretagne que le mouvement a débuté, avec notamment l’université de Londres et la City University de la capitale : il y est interdit de porter des montres connectées, mais aussi… des montres tout court. Il serait en effet trop difficile et trop long de faire la différence entre les deux types d’appareils.

Cette interdiction ne s’applique que durant les examens. C’est d’ailleurs également le cas des smartphones. Il ne fait guère de doute que cette tendance va aussi s’importer de ce côté-ci du channel.

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35 commentaires
  1. C’est normal, ça va devenir une plaie ce genre d’instrument.

    En math avec les calculatrices d’aujourd’hui ils peuvent avoir leur cours entier enregistré dedans.. mais bon en général dans cette matière s’ils galèrent vraiment sur les exercices, ce n’est pas le cours qui va les aider..

    Le problème avec ces montres, c’est qu’ils peuvent communiquer entre eux ou avec l’extérieur :/

  2. La question devient celle de l’organisation de l’enseignement :
    Dans un monde ultra connecté avec un accès permanent, rapide et facile à la connaissance, est-ce toujours utile d’ingurgiter du “par coeur” ? Du “par coeur”, dont on tire la chasse et oublie tout après l’examen à grands renforts d’alcool.
    Ne serait-il pas plus pertinent de former à trouver les bons renseignements, à les interpréter et les comprendre, le tout dans un temps réduit ?

  3. @Counchala : +1
    Je suis étudiant et je vis tout à fait ce que tu veux dire ! Ta solution est peut être radicale mais ça a le mérite de poser les bonnes questions : l’enseignement et les méthodes d’évaluation peuvent elles rester comme elles sont avec l’évolution technologique ?
    Je pense que non.

  4. chose > Et pourquoi d’après toi il dit n’importe quoi ? Tu pourrais un minimum développer…

    La question se pose je suis désolé mais le tout “par cœur” est voué à évoluer, imagine tu fais des études littéraires, tes formules mathématique que tu apprends en terminal elle te seront de nouveaux utile un jour ? Non.

    Comme le dis Counchala il serait bien plus intéressant et formateur de s’attarder sur la recherche, le tris des informations et leur interprétations. Qui n’as jamais entendu une personne dire ” c’est vrai je l’ai vus sur internet”?

  5. @counchala : et le jour où il n’y a plus Internet, on fait comment ? (par exemple, lors des révolutions arabes …). De plus, tu sais très bien que sur Internet, on trouve tout et son contraire. Ce n’est pas une source d’informations fiable, contrairement aux livres d’Histoire que tu trouveras dans la bibliothèque de ton lycée par exemple.
    Il faut faire fonctionner la réflexion et la mémoire.

  6. Je suis totalement d’accord avec toi Counchala.
    Mais d’ailleurs actuellement déjà, cette tendance ce confirme. C’est pour ça que durant les examens tu as de plus en plus de renseignement qui sont fournis. Même les maths et la physique ont déjà les formules qui sont livrés avec les examens. Tout ça et pour palier le problème des calculatrices qui ont des PDF intégrés et qui livrent toutes les formules.

    Mais de manière globale il est évident que notre façon d’apprendre est très en retard fasse à la technologie.

    @ chose : c’est un débat, si le commentaire n’est là que pour être agressif, je te serais gré de les garder pour toi.

  7. @ Jeyjey

    “Mais de manière globale il est évident que notre façon d’apprendre est très en retard fasse à la technologie.”

    C’est pour ça que tu essaies de faire évoluer le français aussi vite que la technologie ?

  8. Je t’aime counchala. Épouse-moi.

    On passe bien trop de temps à ingurgiter des données qu’on oublie peu après alors qu’on devrait s’en servir pour apprendre à les utiliser, et surtout apprendre à penser.

  9. Je suis en partie d’accord avec Counchala mais n’empêche que la recherche rapide ne remplacera jamais une connaissance car la recherche on ne l’intègre pas.. Imaginez un avocat à un procès “Ouais 2 secondes je vérifie l’article de loi sur Google” ou un dev qui va chercher toutes les 5 min une instruction sur Internet pour continuer son code, c’est juste pas possible, une base théorique et une connaissance générale du sujet est indispensable dans n’importe quel métier, c’est indéniable

  10. Former les élèves à la recherche “intelligente”, arrêter de placer le par-coeur comme meilleure et unique méthode d’apprentissage et accepter que l’on puisse trouver une info sur le net, il serait temps, en effet. Aujourd’hui, je vois peu de domaine qui nécessitent un savoir encyclopédique et sans possibilité de se renseigner ailleurs, que ce soit auprès d’un collègue, d’un ouvrage de référence, ou … d’internet.
    Pour autant, faire disparaître totalement le par-coeur ne serait pas judicieux non plus, dans le sens où, pour chercher une formule de maths, il est préférable de connaître un minimum le domaine auquel elle se rapporte.

    Ah, et c’est déjà arrivé en France : je passais mon bac de français l’année dernière, et il était explicitement écrit dans le règlement de l’épreuve que les “montres connectées” étaient interdites (au même titre que les téléphones) 😉
    (Par contre, pour les montres classiques, ça me semble aberrant, on nous recommande d’en avoir pour gérer notre temps, et … ouais, sinon, on arrive tous à l’exam avec des horloges 😐 )

  11. @ Maurice, Je suis en partie d’accord avec toi, c’est bien pour ça qu’il faut apprendre au élèves à avoir un esprit critique aussi bien sur les livres que sur ce qu’il lisent sur Internet.

    Le monde évolue, tout les jours on apprend de nouvelles choses, on changent certaine chose (Pluton qui n’est plus une planète mais une planète naine, et donc on à désormais 8 planète dans notre système solaire).

    Pour internet, ce n’est pas des simples contrat comme pour les particulier, il y a des conditions plus stricte (débit garantie, GTR,…) et ce n’est pas le même tarif, on est sur des différence de l’ordre et jusqu’a “x10”

  12. Oui j’ai fait une erreur.

    fasse = face

    Mais je remarque que l’agressivité dans les commentaires ne changera pas. On peu aller sur n’importe quel site ( JVC, Journal Geek etc … ) dés qu’il y a un débat les gens se croient permis de juger et de critiquer ouvertement. C’est parce que c’est anonyme ?

  13. En école d’ingénieur on nous laisse les doc (400 pages et des milliers de forêts dévastées…) pour les exams. On se dit tous qu’il faudrait autoriser l’utilisation de pdf, mais bon quand on se retrouve en bureau d’études, avec des documents qui donnent quasi aucune données, ou des données erronées, finalement on est heureux d’utiliser notre mémoire pour nous en sortir. Puis passer 1 semaine sur l’infinité du net pour trouver 40 formules différentes pour la même choses, sans connaissances on peut pas s’en servir…

  14. @Lochoun Tes exemples ne sont pas vraiment les bons… Un avocat prépare toujours son dossier avant un procès et prévois les articles qui risquent de tomber, et avec quoi ils le prépare ? Un livre de droit. Idem pour un dev’, de toute façon c’est déjà le cas aujourd’hui, on ne fait pas apprendre des instructions par coeur, ça vient avec l’expérience, et de toute façon on a toujours la doc d’ouverte !

    Counchala ne dit pas qu’il ne faut plus rien apprendre, mais que certaines choses à apprendre par coeur son complètement inutile, et son exemple de l’oublie aidé par l’alcool est plus ou moins ça. 90% des choses sont oubliées une semaine après l’examen. Et c’est vraiment le cas, nous avons eu un cours la semaine dernière qui nécessitait un autre cours dont l’exam était déjà passé, et bien sur 17, personne ne connaissait la formule… Et on a tous été cherché dans notre cours. Donc oui il faut faire apprendre les méthodes, des méthodes de recherche également, mais pas faire apprendre des cours par coeur, du moins pas tout.

  15. I was lost but I’m back after 17 long days. L’être supérieur est de retour! Profitez-en, je ne serai pas toujours là…

  16. Vous êtes sérieux les gars?
    Vous imaginez un chirurgien avec son smartphone pour regarder toutes les 5 secondes ce qu’il doit faire pour opérer une simple appendicite?
    Votre professeur qui répondrait aux questions en allant sur Wikipédia?
    Vous croyez que le boulanger / pâtisser / cuisinier peut se permettre de perdre 1minutes toutes les deux secondes pour vérifier sa recette?

    Il n’y a presque aucun travail où l’on peut se passer de connaissances apprises et acquises. Les rares sont ceux qui (étrangement) ne nécessitent pas d’études…

    Vous avez déjà travaillé une fois dans votre vie ou vous êtes tous des étudiants ultra fainéants qui s’imaginent qu’on peut se passer de l’apprentissage?

  17. Merci pour vos réponses et vos soutiens =).
    Débat enrichissant !

    @Maurice : C’est pour ça que je parle d’aider à vérifier les informations trouvées sur internet. En général, la bonne réponse à une question bien posée est sur internet. Reste à trier les mauvaises informations et à bien (se) poser la question.
    Quant aux livres d’instruction scolaire et autres encyclopédies traditionnelles, ils comportent aussi des erreurs (cf par ex. la comparaison d’Encyclopaedia Britannica et Wikipedia dans Nature en 2005). Sauf qu’eux, on les questionne moins, ce qui est tout aussi dangereux.
    Le cas de ne plus avoir internet serait évidemment bien embêtant, mais ça me parait un peu faussé comme raisonnement. Un peu comme de dire “on se repose trop sur l’électricité, on devrait pouvoir réussir à vivre sans”. Oui, si internet disparaissait, nos sociétés s’effondreraient. Et ce sera pire dans 10 ans, 15 ans, 50 ans. Quant à mon postulat, il aurait tendance à convenir à la société occidentale (+ Jap, Coréenne…) ultra connectée (3G/4G/WiFi partout, PC, tablettes, montres connectées, smartphones, voire bientôt GGlass et équivalents)

    @Lochoun : Pour moi, les avocats ne connaissent pas tous les articles de loi, pas plus qu’un dev’ ne peut développer sans jamais regarder le manuel ou internet.
    Avant un procès, un avocat va potasser les articles qui vont lui être utiles, tout comme un dev’ va devoir checker les fonctions qu’il n’utilise pas couramment.
    Savoir trouver une information et s’aider de la documentation existante (dont internet) ne signifie pas forcément copier sans comprendre, ne pas retenir ou ne pas en tirer des enseignements.
    Personnellement, je trouve que lors d’une recherche pro-active d’informations, j’ai plus tendance à retenir que si quelqu’un me balance une information sans que je n’ai rien à faire.
    Et je trouve que c’est d’autant plus vrai pour tout ce qui tourne autour de l’informatique, où au final l’auto-formation via internet semble plus que crédible. A mon (très) humble niveau, j’ai du me former en bash et en python (pas de la vraie programmation dure évidemment, ça reste du scripting pour automatisation et analyse/data mining) pour le travail… Je n’ai jamais eu le moindre cours formel, tout ce que je sais/fais vient de ce que j’ai pu trouver sur internet.

    Pour donner un autre exemple que je connais bien, les études de médecine (pré-internat) et de pharmacie sont intégralement de l’ingestion de données par coeur. Pourtant, de fait, un médecin ne connaît pas tous les médicaments, toutes les pathologies ou tous les symptômes. Simplement ceux qu’il utilise/voit couramment. Que ce soit les médecins ou les pharmaciens, ils ont des outils pour les aider.
    Finalement les études, très douloureuses, servent aux médecins/pharmaciens à créer une sorte de culture générale de base, dont ils ne se souviendront que de l’utile au jour le jour… Et qui servira à chercher/comprendre les informations qu’ils ne savent pas (qu’ils ont oublié, ou qui ont changé). Pour donner un exemple bête, un professionnel de santé ne comprendra/interprétera pas de la même façon un bête article Wikipedia sur une pathologie qu’un quidam. Et c’est ce qui fait la différence. Cela dit, le “tout par coeur” dans ces études est difficilement esquivable, c’est un mauvais exemple ^^.

    Au final, mon propos n’est pas de totalement supprimer l’apprentissage par coeur au profit d’internet, mais plutôt aider à combiner les deux de façon balancée (mettre un peu la pédale douce dans pas mal de domaines sur le “tout par coeur”, en particulier dans le secondaire). Et d’arrêter de se battre contre des moulins à vent, car à moins de mettre des brouilleurs en salles d’examens, ça va devenir vraiment dur d’empêcher la “triche” via la high tech… Que l’on a sans cesse à disposition au cours de notre vie !

  18. @counchala : Exactement, envoyé un mail au major de la classe en plein exam pour qu’il te fasse une photo HD de sa copie, ça ,c’est de la recherche rapide d’info et on est sur d’avoir tout bon !!

  19. @counchala

    J’en suis arrivé à justement ne faire de que la recherche (biologie), dont un travail énorme de bibliographie (recherche de l’info et tri de celle-ci).

    Je te promets que ce que j’ai appris bêtement par coeur en Licence m’aide beaucoup.
    Parce-que si je devais croire tout ce qui est écrit sur internet. Je ne parle pas de Wiki & Cie, il y a aussi des publications scientifiques qui font sérieuses mais si tu te souviens du test de l’ANOVA en biostats, cours de L2, bah tu vois que c’est de la merde car l’effectif choisi est ridicule par exemple.

  20. @counchala

    En effet, dans ta réponse destinée à Lochoun, je retrouve un avis qui se rapproche du miens. Mais du coup ta première intervention n’a pas lieu d’être étant donné qu’on retombe au point de départ, il faut du par coeur pour former son cerveau à traiter l’info nouvelle en s’aidant de l’info acquise.

    Sans info acquise et apprise, quelque soit le domaine, je doute de la fiabilité d’un travail de recherche.

  21. @wooten : Typiquement, mon propos est d’enfin arrêter avec ces folies du style apprendre des dates en histoire sans avoir de contexte (qui ne connaît pas 1515 bataille de Marignan ? Et qui sait à quoi ça correspond ?).
    Et ce que tu donnes en exemple sur l’ANOVA (comment tu peux savoir que j’ai fait des biostats? Ptdr) est plutôt en accord avec ce que je dis : tu as surtout appris à interpréter un test ANOVA (développer un esprit critique), plutôt qu’apprendre bêtement par coeur quelque chose (ce qui est souvent demandé en examens).

  22. “Avant un procès, un avocat va potasser les articles qui vont lui être utiles.”

    Ben comme un étudiant qui doit potasser son cours avant un exam alors ^^

  23. L’accès rapide aux connaissances est une avancée formidable mais n’oubliez pas que c’est multipliant vos connaissances et votre réflexion que vous pourrez faire de nouvelles découvertes.

    Notre cerveau a cette puissance incroyable de mélanger les données pour en sortir de nouvelles, alors ne gâchons pas ça.

  24. @counchala
    Ce que j’ai voulu imager avec l’ANOVA, c’est qu’un exam de biostats va te demander de prouver que t’as compris le principe du test. La meilleure façon de le prouver est encore d’apprendre les formules et tout le bazard..
    C’est exactement la même chose pour la biochimie par exemple, quand t’as la glycolyse + cycle de Krebs + synthèse des acides gras après le cycle (environ 50 molécules à apprendre), bah t’es obligé de t’y prendre d’une autre façon que le bête et méchant “par coeur”.
    Les modifs moléculaires sont logiques (phosphorylation, déshydrogénation, échanges ATP etc..), libre à toi d’apprendre tout ça comme une poésie avec du par coeur brut, mais moi je préfère m’imager les mécanismes en tête pour comprendre mieux le truc.

    Mais dans tous les cas je confirme, comme toi, qu’en exam on te demandera tout le temps de réciter un cours. Cependant pour moi c’est une obligation de faire comme ça, parce-que la seule façon de suivre vraiment la compréhension d’un étudiant est de le suivre individuellement. Impossible vis-à-vis du nombre de profs, d’heures dispos, d’argent..

  25. @counchala

    Tu sembles quand même omettre certains paramètres…

    Sais-tu comment les enfants apprennent le mandarin ? (je parle de l’écriture)
    En recopiant et apprenant par coeur pendant des années afin de maitriser qu’une partie substantielle. C’est l’unique moyen d’apprendre à l’écrire tellement il y a de “mots ou expressions” différentes. Dans ce cas, et ce n’est de loin pas le seul, on ne peut remplacer le par coeur par la compréhension ou l’interprétation.

  26. @eric : Encore et toujours, je ne dis pas que le tout par coeur est à éliminer totalement, juste qu’il faudrait l’adapter dans certains domaines vis à vis des nouvelles technologies connectées. Evidemment en cherchant y’a plein d’exemples où c’est et sera toujours obligatoire.
    Cela dit, être capable de faire du cc à un examen de ce que t’as potassé la semaine d’avant pour l’oublier la semaine d’après n’aide pas à être plus intelligent ou même à avoir plus de connaissances.

    @HlikeNo1 : Sympa d’être aussi agressif ;-). Pour ton bien être, j’ai fini un double diplôme Docteur en Pharmacie + Master de Recherche (que j’ai majoré) en France avant d’être actuellement expatrié pour mon PhD à Zurich car aucune équipe de Recherche dans mon domaine en France ne m’a satisfait… Donc au temps pour toi et ton délire sur le mérite et la société française ! C’est plutôt à toi de reconsidérer ton immaturité, à être aussi insultant.
    Nous ne réfléchissions qu’à des pistes d’adaptation au monde actuel. Il est simplement absurde de penser qu’on peut enseigner de la même façon en 2020 qu’en 1950. Et c’est pas filer des tablettes Archos aux mioches pour remplacer les manuels scolaires qui va réellement changer quelque chose méthodologiquement.

  27. Avec les nouvelles technologies, c’est les examens eux même qui doivent être remis en cause. Les examens vont devenir obsolète.

  28. N’importe quel idiot peu se servir de Google, mais ça ne sert à rien si tu n’as pas de bases ni appris à te servir de ton cerveau.
    Quand à moi j’ai aussi fait les soirées étudiantes et je me souviens très bien de mes cours, justement parce que je n’ai pas appris par cœur “bêtement” mais que j’ai toujours essayé de comprendre.

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