Passer au contenu

Hausse des vols de véhicules par abus de confiance : l’économie collaborative mise en cause

Les voleurs aussi tirent profit de l’économie collaborative. L’observatoire du groupe Traqueur rapporte une hausse importante des vols de voiture par abus de confiance. Sur l’ensemble…

Les voleurs aussi tirent profit de l’économie collaborative. L’observatoire du groupe Traqueur rapporte une hausse importante des vols de voiture par abus de confiance.

Sur l’ensemble de l’année dernière, le vol de voitures par abus de confiance a augmenté de 25% en France. Il s’agit rien moins que de la deuxième manière la plus utilisée pour voler un véhicule !

L’économie collaborative implique un certain niveau de confiance entre celui qui prête un bien et celui qui l’emprunte. La location de voitures entre particuliers et le covoiturage fait partie des services en ligne les plus populaires, ce qui explique certainement la recrudescence des vols par abus de confiance.

Des vols qui restent rares

Traqueur, un groupe spécialisé dans les services de sécurité et de traçage des voitures, explique que les voleurs se font confier les clés de la voiture. Rien de plus simple ensuite de repartir au volant du véhicule convoité, en laissant le propriétaire en plan.

Toutefois, il faut savoir raison garder : certes, ce type de vol a beaucoup progressé, mais il ne représente que 15% des vols constatés par Traqueur. Du côté de BlaBlaCar, un des leaders français du covoiturage, on n’a recensé aucun vol et ce, depuis dix ans et le lancement de plateforme.

Le type de vol le plus fréquent reste le « mouse jacking » qui consiste à pirater l’ordinateur d’un véhicule à l’aide d’un appareil spécifique ; une technique susceptible de faire démarrer la voiture.

🟣 Pour ne manquer aucune news sur le Journal du Geek, abonnez-vous sur Google Actualités. Et si vous nous adorez, on a une newsletter tous les matins.

1 commentaire
  1. Il faut aussi noter que le vol de véhicules est le gagne pain et traqueur, et qu’il a tout intérêt à être alarmiste, voire à gonfler les chiffres. La qualité de la source et sa partialité me rendent vraiment sceptiques. (D’ailleurs la source n’est pas une étude, c’est une plaquette publicitaire)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *