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Les tests en milieu urbain pour le taxi volant Volocopter commenceront dès cette année

Et c’est à Dubaï, aux Émirats arabes unis, que la machine d’E-volo conduira ses premiers tests grandeur nature un peu plus tard dans l’année.

Crédits : Volocopter

Décidément, Dubaï est la ville de toutes les expérimentations technologiques : entre le robot officier de police, les bureaux imprimés en 3D et son plan de route – avancé – concernant les taxi volants, la capitale émirati fait de son enceinte un véritable terrain d’expérimentation pour l’innovation.

Dès cette année donc, Dubaï accueillera au moins deux programmes de tests de taxi volants. Après les drones-hélicoptères autonomes chinois Ehang 184, c’est le multicopter d’E-volo (qu’on vous présentait ici en début d’année) qui vient de passer un accord avec la Road and Transport Authority de Dubaï pour effectuer des tests de services dès le quatrième trimestre de l’année 2017. Soit, demain. Le constructeur a été choisi notamment pour ses exigences en matière de sécurité, a précisé Alexander Zosel, le cofondateur de la start-up allemande.

Une mise sur le marché espérée en 2018

Le Volocopter a effectué son premier vol avec équipage l’année dernière. Sa société a présenté son nouveau modèle en début d’année, le 2X, Un hélicoptère bi-place équipé de 18 rotors qui peut couvrir 27 kilomètres de trajet à une vitesse de croisière de 50 kilomètres à l’heure. Sa mise sur le marché est espérée en 2018.

Si E-volo ou Ehang ont peut-être pris un temps d’avance, ils ne devront pas traîner. Derrière, la concurrence veille, et des entreprises de grande taille comme Airbus ou Uber travaillent également sur le sujet.

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