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[Critique] Bright est-il le navet de l’année ?

Bright a mauvaise réputation. Bien avant sa sortie, l’ensemble des rédactions se montrait sceptique quant à l’arrivée sur la plateforme Netflix du film de David Ayer, plus d’un an après le très mauvais Suicide Squad. Et puis les critiques américaines ont commencé à détruire le long-métrage, certaines comme Indiewire expliquant notamment :

« Bright n’est pas seulement le pire film de 2017, il pourrait être responsable des pires films de 2018 et plus. Si le pari paie – si Netflix renforce son attaque contre l’expérience cinématographique en développant des blockbusters plus ou moins optimisés pour un public endormi – on peut imaginer un futur noir pour le cinéma. »

C’est un fait, Bright n’est clairement pas la meilleure réalisation que vous verrez cette année, loin de là. Mais il est n’est pas pour autant le navet annoncé. On vous explique pourquoi. À noter que notre stagiaire de troisième, Paul, a également vu le film et a décidé de donner son avis dans les lignes qui suivent.

Des problèmes lourds à porter

Bienvenue dans un Los Angeles totalement différent de celui que nous connaissons. Dans ce monde alternatif, les Hommes vivent en compagnie d’Elfes, d’Orcs ou de Fées, même si chaque race ne connait pas le même sort. On suit ici l’histoire de Daryl Ward et Nick Jakoby, un homme et un orc, deux policiers forcés de faire équipe. Mais au-delà des différences et des stéréotypes qui séparent leurs deux races, les deux collègues vont devoir réussir à déjouer une menace qui pourrait bien semer le chaos dans le monde entier.

Bright a de nombreux problèmes. Scénaristiques dans un premier temps. L’univers qui nous est dépeint regorge de promesses, plus qu’intrigantes, et durant les quinze premières minutes on espère avoir droit à une histoire complexe et à des personnages torturés. Mais rien n’arrive jamais vraiment. Tout est excessivement mal présenté au spectateur et on ne comprend jamais les origines de ce monde complètement différent du nôtre. Pourquoi les Orcs et les Elfes vivent-ils dans de grandes villes avec les humains ? Étaient-ils là depuis le début ou sont-ils arrivés plus tard ? Pourquoi des guerres les ont séparées et comment ont-elles eu lieu ? Tant de questions dont les réponses restent perdues au milieu des différentes scènes du film.

L’avis de Paul : Le film débute très bien avec des plans très intéressants (notamment la partie avec les graphitis). L’univers de Bright est très varié, ce qui est un bon point. J’ai apprécié de voir un monde où vivent les Orcs, Elfes et êtres humains et le tout était assez bien décrit. C’est surtout l’histoire qui était bien amenée avec ce mélange entre les différentes races qui doivent réussir à vivre ensemble.

Bright tente de devenir une vraie parabole sociale et politique en jouant énormément sur des thèmes comme le racisme ou l’indifférence. Et c’est un point intéressant dans le film qui tente de nous prouver qu’il n’y aurait plus de distinctions entre « noirs », « blancs » ou « Mexicains » si nous étions entourés par d’autres êtres vivants. Mais dans la hiérarchie de la réalisation de David Ayer, l’Homme n’est pas au-dessus. Ce sont les Elfes qui dominent le monde, qui ont l’argent et le pouvoir et qui maîtrisent même la magie. Les êtres humains sont, eux, la « classe moyenne », celle qui tente de s’en sortir pendant que les Orcs sont des moins que rien à qui l’on confie les tâches les plus insignifiantes. Si le long-métrage joue continuellement sur ces thèmes et tente de nous faire prendre conscience de la bêtise du racisme et de maux qu’il engendre, il ne nous évoque jamais ses origines et ne creuse à aucun moment le sujet. Et c’est véritablement dommageable.

L’avis de Paul : Le contraste entre les Hommes, les Orcs et les Elfes, qui dominent les autres, est saisissant. On sent rapidement qu’il s’agit de nous parler d’une nouvelle forme de racisme et c’est un point qui m’a marqué.

Dernier gros point faible du film : ses incohérences. Si vous avez déjà vu Bright, vous savez de quoi je parle. On pense notamment au groupuscule « Bouclier de Lumière » dont on ne comprend jamais les fondements et les motivations et qui est aussi vite oublié que présenté. Ainsi, leur rôle a l’air plus que primordial au bon déroulement des différentes scènes et pourtant on oublierait presque qu’ils existent. Dans ce sens, on pourrait parler de l’homme à l’épée, qui débarque sans vraiment qu’on l’attende et qui aurait mérité un meilleur traitement. Il en est de même pour le personnage d’Edgar Ramirez (Kandomere), un agent du FBI qu’on pensait importantissime pour le récit et qui en réalité n’a qu’un intérêt limité. Pourtant, son arrivée dans le film laisse penser plus que le contraire. Il en est de même pour l’antagoniste principal, Liela, incarné par Noomi Rapace, dont on ne comprend jamais vraiment l’idéologie. Bref, Bright est bourré d’incohérences qui gâchent notre plaisir final. Car plaisir il y a eu.

L’avis de Paul : Il y a certains moments qui sont en décalage avec le reste. On pense notamment aux scènes où les personnages parlent de « baguette magique », ce qui nous sort un peu du récit. Par contre, les instants avec Ward (Will Smith) et Jacoby (Joel Edgerton) sont vraiment les meilleurs du film et les deux acteurs font bien la paire.

Une richesse à développer

Comme on le disait un peu plus haut, l’univers de Bright est extrêmement riche. Durant les 1h50 de projection, on entend parler de magie, d’élu, de prince des ténèbres ou de guerre entre les Hommes et les Orcs. Les Elfes dominent le monde et ont des pouvoirs mystiques qui attisent notre curiosité. Le Los Angeles qui est présenté, assez proche de celui de Training Day, est grisâtre et divisé. Les décors ne sont pas tous réussis mais retranscrivent bien cette ambiance austère où la vie perd en intensité à chaque coin de rue. Le duo formé par Will Smith et Joel Edgerton fonctionne et les deux compères confèrent au film un certain charme. Pour être totalement honnête, c’est même eux qui sauvent la réalisation et qui nous ont permis de l’apprécier. Leurs personnages se reposent sur les forces et les faiblesses de chacun et exploitent bien ce rapport entre mentor et débutant. Bien que de nombreuses critiques s’insurgent contre les maquillages ratés des Orcs, nous avons plutôt trouvé que le pari était réussi. Ils nous rappellent indéniablement les déguisements mis en place par Peter Jackson dans sa trilogie du Seigneur des Anneaux et ils confèrent un certain naturel à l’action plutôt que de passer par la case « effets spéciaux ».

L’avis de Paul : Les costumes sont tous bien réalisés et les scènes d’action sont excellentes. Certaines m’ont fait penser à Matrix d’ailleurs. Le mélange héroïc fantasy-cinéma d’action assez réussi même si le film penche plus vers le second genre que le premier.

Ce qui nous a le plus plu dans Bright, c’est sa faculté à mélanger heroïc fantasy et film d’action. Ce coup d’essai est certes loin de la perfection, mais il a la particularité d’avoir pris ce risque et d’avoir compris, en partie, ce que souhaitent les spectateurs dans les deux domaines. Les scènes d’action sont d’ailleurs plutôt réussies et le rythme, effréné, du long-métrage permet de ne pas trop se reposer sur ses défauts et d’oublier certaines de ses incohérences. En réalité, David Ayer devait très certainement savoir qu’il ne pourrait pas, avec un seul film, présenter un univers suffisamment vaste, comme peut l’être celui de J.R.R. Tolkien par exemple. Il s’est donc concentré sur une partie de récit, loin d’être désagréable à suivre, tout en esquissant quelques mystères scénaristiques ici et là afin de nous vendre une suite, qui aura de toute façon bien lieu. Il faut donc se dire que Bright, malgré ses 120 minutes, n’était qu’un début de récit, servant de contexte à quelque chose de plus grand et qui pourrait, très sincèrement, être bien plus captivant que ce film, en demi-teinte. C’est aussi ça qui nous a attirés, cette promesse d’un futur certainement plus brillant et d’un univers excessivement plus cohérent qui pourrait bien valoir le coup d’œil.

Conclusion

Bright n’est pas un grand film, ni le navet annoncé. Il a de nombreux défauts, mais aussi quelques qualités qui feront passer à de nombreux abonnés Netflix un moment pas inintéressant. Sous ses faux airs de Training Day à la sauce héroïc fantasy, le film de David Ayer tente de discréditer une certaine forme de racisme et de totalitarisme dans le monde actuel. Son univers, d’une richesse presque infinie mérite un meilleur traitement et on croise les doigts pour que ce soit le cas dans le second épisode. Si tel est le cas, ce premier jet ne sera pas vain. Sinon, il s’agira d’une œuvre oubliable supplémentaire.

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37 commentaires
  1. Le film s’inspire de “Futur immédiat, Los Angeles 1991” (VO Alien Nation), avec James Caan, qui était pas mal, pour le coup.

    1. tu l’as dit snake ; oui los angels 1991 est top c’est sur mais je ne vois pas en quoi bright s’en inspire mais alors pas du tout ..

      1. Bright et Futur immédiat, Los Angeles croisent et fusionnent deux univers qui sont généralement présentés distinctement. Humain/Orque ; Humain/extraterrestre. Dans les deux films, on retrouve un duo de flics des deux mondes qui, au début, sont réticents. On retrouve également les problématiques sociales et raciales dans les deux œuvres. Bright rajoute un troisième monde, les fées, et verse dans le fantastique tandis que l’autre reste dans le monde de la science-fiction. Mais, à mon avis, l’idée de départ est sensiblement identique.

  2. Ils abordent tout de même assez clairement l’origine de la position sociale des orcs : une guerre il y a 2000 ans où ils ont choisi le mauvais camp. J’ai aimé qu’ils n’en disent pas beaucoup plus, ça permet de faire un parallèle intéressant avec ceux qui aujourd’hui traitent certains peuples de barbares ou de nazis pour un passé qui ne concerne plus les contemporains 😉

    Pareil pour les baguettes magiques, on voit bien qu’elles sont rarissimes, qu’elles ont été interdites suite aux abus passés, et qu’elles fascinent donc tous ceux qui y voient un billet gagnant de Loto… Ça rentre assez bien dans l’histoire générale je trouve.

    À part ça je partage une grosse déception sur la complexité du scénario, je m’attendais à ce qu’on aille plus loin dans les arcanes du fonctionnement de cette société qui semble intéressante.

  3. L’idée de base était géniale : un monde héroic fantasy, à notre époque.
    Mais pourquoi le réal s’est astreint à faire TOUJOURS les mauvais choix ? Scénario, personnages, photographie, montage. Tout est raté.
    Être à ce point à côté de la plaque, et sur toute la durée du film, ça relève du génie.

  4. Bon, je voulais pas le voir. Mais si c’est juste un film (et pas 16 épisodes d’une série), au vue des mauvaises critiques, ça donne envie de voir le truc. Les vrais navets n’ont pas de mauvaises critiques. On n’en parle pas, c’est tout. Et puis l’image de l’orc au milieu des flics me rappelle trop robocop. Nostalgie…

  5. ya trop de conivence entre hollywood et la presse…il était pas si mauvais, certes pas le plus élaboré mais j’irai pas jusqu’à le traiter de navet.
    et puis 1 mois d’abonnement netflix, ça reste toujours moind cher qu’une place de ciné.

  6. Hollywood et le monde des salles obscures se bat contre l’intrus Netflix avec la mauvaise critique. Bon nombre de point sont expliqué dans le film, mais il faux regarder le film sans préjuger et sans lire les critiques en avance pour s’immerger dans l’histoire. Cela me rappel la série « Dark » sur Netflix, critiquée avant la sortie et comparée avec « Stranger Things », or les 2 n’ont rien avoir ensemble.

  7. Pour ma part, ma critique restera toujours en fonction de mon investissement. Je paye déjà mon abonnement Netflix, et ce film ne peut-être que du bonus. Je n’ai pas dépensé un mois d’abonnement pour payer ma place dans une salle obscure….
    A partir de ce point de vu, j’ai énormément apprécié ce film.
    Tout ce qui est critiqué est vrai. Mais c’est encore une fois une question de point de vue. Si l’histoire s’arrête ici, c’est indéniablement mauvais. Mais ce ne sera pas le cas ! Y aura une suite !!!!
    Alors personnellement, je vois ce premier opus comme un pilote d’une saga… On apprendra d’avantage la prochaine fois. Ici, tout commence avec cette histoire de baguette rarissime… On nous évoque le passé, les différences de camps… OK…
    Attendez la suite pour critiquer le tableau général ! Car je trouve vraiment la critique facile et sévère pour une fois ! Y a tellement de vrais navets qui existent et qui sont sortis au cinéma !!!!
    Bonnes fêtes à tous !

  8. J’ai l’impression que tous les critiques se sont donnés le mot pour s’astiquer la queue entre eux.
    J’ai adoré le film et j’ai hâte de connaître la suite. Certes on passe par certains clichés mais franchement ça donne un coup de frais de voir un mashup de genres comme ça.

  9. J’ai du mal à comprendre pourquoi tant de critiques et si négative alors que le film est très bien. Surtout que les points soulever par ces critiques ne tiennent pas face au visionnage. Dans district 9 on est face également à un monde qui ostracise une partie des habitants et qui n’explique pas toutes les genèses (de l’exode, de la technologie, de la philosophie des aliens….).

    Bright est un bon film, sans être excellent. La vision qu’il propose est crédible et le développement des personnages est bien réalisé.

  10. Moi je trouve que ça fait un prequel parfait pour d’autres films ou il pourrait développer ses pouvoirs !!! Il manque trop de détails et trop de questions restent en suspends ! Vivement la (les) suite(s)… Si il y a !

  11. Pour ma part, j’ai été diverti et c’est le but principal lorsqu’on écoute un film comme ça. J’en ai vraiment ras le bol de la soi-disante élite geek qui nous dit ce qui est bon et ce qui ne l’est pas. Apprenez à apprécier ce que l’on a! Oui, il y a place à l’ameliora mais de là à dire que c’est le navet de l’année, come on!

  12. J’ai aussi aimé le film, il y a des défauts, mais pas tant que ça, et pas tant que ça d’incohérence non plus (comparé aux SW et aux Marvel, il y en a carrément moins).

    Après, j’aurais apprécié en savoir un peu plus sur l’univers, son passé et cette “secte” le bouclier de lumière, et aussi les infernis. Mais on a surtout affaire à un film d’action, mis à part quelques scènes plus posées, on a pas le temps d’approfondir ce qu’il se passe autour des personnages principaux.

    Bref, j’ai passé un bon moment, et je regarderais Bright 2 avec plaisir.

    Je pensais que le film pomperait plus de chose de l’univers de Shadow Run, qui mélange mega-corporation, high-tech, elfe, orc, magie et dragon. Mais non, pas tant que ça en fait.

  13. Vs aussi journal u geekk etes sous influence d’Hollywood?? Bright est tout sauf un navet, le scénario,, les fusillades, lle rythme,, ça va, si Bright est un ‘navet’ Danny Boon aurait deja 5 Oscars.

    1. commentaire typique de la personne qui s’arrête au titre. Avant de l’ouvrir, le minimum c’est de lire la critique. Pas même pris le temps de lire les 6 lignes de conclusion…. En clair tu vaux pas mieux que tous les critiques qui décendent le film avant de l’avoir vu. Syndrome internet titre pute à clic.

  14. Vous aussi Journal du Geek etes sous l’influence d’Hollywood?? Car j’ai passer un TRES bon devant Bright, scénario qui tiens a route, humour, action, je ne comprend pas les critiques…
    Peut-être que beaucoup de studios regrettent qu’il ne soit pas sorti au Cinéma.

  15. Il est bien noté, on se fiche des avis média qui y cherche toujours un message derriere et ne juge plus le film.

  16. Pour faire simple, personnellement j’ai trouvé plus que bien. Pas facile pour Netflix de ne pas s’attirer les foudres du système hollywoodien.

  17. C’est vrai qu’il y a quelques sujets qui auraient du etre plus approfondis mais on ne peut pas tout mettre dans un seul film vu le nombre de sujets qu’il peut y avoir… il faut rester cohérent aussi….
    Mais pour ma part, j’ai beaucoup aimé ce film qui sort du lot et qui se regarde tres bien.

  18. un bon début ça ! moi je dit que le potentiel est là et bien là ! persos attachants, répliques marrantes , Film bien trop court pour tout étoffer faudrait être débile pour pas s’en rendre compte hein ! en 1H47 comment tout développer tant il y a des protagonistes . Moi j’ai aimé malgré un fin qui laisse sur sa faim.

  19. je comprend pas trop le débat de ce film qui se fait déchiqueté par tout le monde je l’ai trouvé bien perso même si il est pas transcendant certes mais bon dire qu’il est complètement pourri faut pas abusé …

  20. J’ai passé un bon moment avec ce film. C’est assez bien réalisé je trouve. Les scènes d’actions sont excellentes: bien filmées/cadrées, variées, pas prévisibles; mais y en a un peu de trop par contre. Les protagonistes principaux sont bien travaillés et les acteurs sont bons. Visuellement c’est un vrai réussite.

    Le vrai problème du film c’est d’être un film et pas une série. On sent vraiment le potentiel pour un très grosse série avec un monde riche et de multiples intrigues; mais en 2 heures de temps, ben c’est trop court. Du coup les personnages secondaires manquent d’épaisseur et certaines scènes sont complètement inutiles: il en faudrait plus, là elles n’apportent rien à l’intrigue.

  21. A chaud, juste après avoir fini le film, tout laisse à penser que ça ne s’arrêtera pas là. Le potentiel de l’univers est énorme et si pour beaucoup le fait de ne pas en dire trop est frustrant alors je pense clairement que l’effet est réussi. Personnellement je trouve que ça ressemble clairement au lancement d’une trilogie ou au lancement d’une série pourquoi pas mais pour moi la place de Will Smith est trop importante donc je parierai pour une trilogie 🙂

  22. J’ai vraiment aimé le film peu importe les critiques je vais pas retourner ma veste. C’est un excellent film. Rien à faire que Hollywood apprécie pas netflix et que la presse les aide à salir tout ce que fait netflix.

  23. Ennuyeux sans tension aucune, plutôt moche et caricatural … Quelques scènes assez drôle mais involontaire je pense (l’orc adoubé à la fin par 5 rapporcs … )

  24. Il est super ce film, un mélange de genres divertissant. Un buddy movie feerico fantastico avec une touche de blade runner et training day pour la noirceur. Sans être le film de l’année, il m’a agréablement surpris.

  25. cela fait plaisir de lire que des personnes ont aimé le film (je ne suis pas le seul à ne pas comprendre les critiques). chacun ses gouts, mais je prefere Bright que les Tuches (sans aucune critique pour ceux qui aiment)/ mais ca devrait etre comme la bouffe, si t’aimes pas n’en dégoutes pas les autres.
    enfin bref, moi j’ai beaucoup aimé le film !! (il y a des scènes moins bien, mais c’est la vie)

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