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PIQ et Rossignol dévoilent un ski connecté

Déjà partenaires depuis 2 ans, PIQ et Rossignol ont développé ensemble le premier ski connecté jamais créé, en intégrant un capteur PIQ ROBOT aux emblématiques ski…

Déjà partenaires depuis 2 ans, PIQ et Rossignol ont développé ensemble le premier ski connecté jamais créé, en intégrant un capteur PIQ ROBOT aux emblématiques ski Hero Master de Rossignol.

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Une première mondiale

Le nano-computer PIQ ROBOT, désormais directement intégré dans le Hero Master, révolutionne l’expérience du ski grâce à un écran LED placé au niveau de l’avant de la fixation.

Grâce à ce prototype, le skieur peut bénéficier de l’intelligence GAIA en temps réel, qui analyse le mouvement du skieur et lui permet de mesurer instantanément sa performance. Cette intelligence construite sur le machine-learning multi-algorithmiques est capable de comprendre et d’analyser toutes les nuances du ski.

Le PIQ ROBOT embarqué directement dans le Hero Master va permettre de mesurer la vitesse du skieur, son angulation dans les virages, son explosivité dans les transitions de carre à carre, ainsi que la force G subie dans les virages, et bien d’autres indicateurs.

Pour l’instant aucun prix ni disponibilité annoncés. À suivre.

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3 commentaires
  1. Quand on voit en compétition que les skieurs se tiennent dans un mouchoir, à quelques centièmes de secondes j’ai des doutes sur l’utilité du machin.
    Je vois mal le mec regarder ses skis entre deux portes, puisqu’il doit toujours anticiper et regarder devant.
    Lâcher la piste des yeux une fraction de seconde et c’est la cata.
    Il pourra peut-être regarder après la course les données enregistrées, mais, généralement les sportifs savent où, comment et pourquoi ils ont merdé.
    Mais bon c’est connecté donc c’est hype.

    1. ce genre d’appareil aura de toute façon un impact sur le comportement du ski mais ce dispositif est surtout destiné a l’entrainement des athlètes plutôt que en pleine compétition des JO

    2. mpolo le principe est de collecter un maximum de mesures durant une descente pour ensuite les analyser et identifier les moyens de s’améliorer. Exactement ce qui est fait avec la télémétrie et les capteurs embarqués en sports mécaniques.

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