Les dernières publications dans haine
Sécurité
Sur Facebook, la visibilité des discours de haine a baissé de 50%
Par Amandine Jonniaux le
Les publications haineuses ne représentent désormais que 0,05% du contenu visible, promet Facebook.
Sur le web
Il y a déjà assez de haine sur Twitter pour y ajouter cette fonction
Par Remi Lou le
Twitter est en train de tester un bouton « dislike » sur son réseau social. Mais est-ce bien raisonnable ?
Sécurité
Haine en ligne et jeu vidéo : Comment protéger sans sur-censurer ?
Par Amandine Jonniaux le
Le milieu du gaming - comme le reste d’Internet d’ailleurs, n’échappe pas à son lot de trolls et de haters.
Sur le web
Twitter va bloquer les liens qui promeuvent des discours de haine
Par Julie Hay le
À partir du 30 juillet, Twitter va bloquer l’accès au lien renvoyant vers les sites promouvant des discours haineux et violents. Les utilisateurs qui partagent fréquemment ce genre de contenus pourront voir leur compte bloqué.
Des chercheurs proposent une méthode agressive pour lutter contre les groupes de haine sur Internet
Par Antoine Gautherie le
Un groupe de chercheurs a réalisé une étude très intéressante sur la dynamique qui régit les groupes de haine sur Internet. Il en a tiré un ensemble de quatre propositions, qui pourraient trouver des applications dans la vie réelle, sous réserve de prendre les précautions nécessaires.
Israël tance le manque de coopération de Facebook
Par Elodie le
Pour le ministre de la Sécurité Intérieure israélien, Facebook sabote le travail des autorités en laissant proliférer les messages haineux et les incitations à la violence provenant de la Cisjordanie. Il pointe notamment son manque de coopération avec Israël. « Facebook est devenu un monstre ». Le regain de violence des derniers mois provenant des territoires occupés … Lire la suite
[Charlie Hebdo] Jusqu’à 7 ans de prison pour les messages d’apologie du terrorisme
Par Elodie le
Si l’attentat contre Charlie Hebdo a suscité une vague d’indignation, de colère mais aussi de soutiens, certains n’ont pas hésité à vanter les mérites des terroristes dans des messages postés sur les réseaux sociaux. Signalés aux autorités, les auteurs de ces messages risquent jusqu’à 7 ans d’emprisonnement. L’un d’eux est d’ores et déjà poursuivi.
