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Sélection : 10 films avec une fin aussi inattendue qu’époustouflante

Les films avec une fin aussi marquante que surprenante, le cinéma en recèle. Souvent appelées twist endings (retournement de situation finale), celles-ci donnent à repenser entièrement le film en leur donnant généralement un tout autre sens. Pour cette sélection, nous vous proposons donc dix films qui possèdent une fin à même de vous “retourner le cerveau” (d’où l’expression, mindfuck, qui désigne quelque chose de déroutant, à même de provoquer la confusion).

Dans ce dossier, vous ne retrouverez pas les films les plus connus du genre tels que Usual Suspect, Sixième Sens, L’empire contre attaque ou encore Fight Club. La sélection qui suit préfère effectivement privilégier des œuvres moins célèbres mais tout aussi puissantes que les films pré-cités. L’occasion alors de découvrir quelques perles du 7e art, entre métrages insolites et véritables chefs d’oeuvre.

Bien évidemment, l’article contient des spoilers (mis en exergue dans la mise en page) et il convient idéalement d’avoir vu les films avant d’en lire la fin.

Le Cabinet du docteur Galigari (1920)

Classique du 7e art, et immense précurseur du cinéma d’horreur, Le Cabinet du docteur Caligari est également l’un des tout premiers films à twist de l’Histoire du cinéma. Réalisé par Robert Wiene après que Fritz Lang a été pressenti à ce poste, cette oeuvre allemande aura grandement inspiré Tim Burton par la suite pour sa fabuleuse esthétique expressionniste. Quant à sa révélation finale, elle n’aura pas manqué d’être copiée à de maintes reprises dans la culture populaire. Le Shutter Island de Martin Scorsese lui doit ainsi beaucoup.

L’histoire de Caligari se déroule dans la petite ville allemande d’Holstenwall, où une fête foraine commence à s’installer. Un mystérieux vieillard, le docteur Caligari, espère y exhiber un jeune somnambule, Cesare, dont il commercialise les dons de voyant. Mais Caligari ne parvient pas à obtenir  d’autorisation de la part de l’administration. Le lendemain, le fonctionnaire responsable de cette décision est retrouvé mort. Le même soir, Cesare prédit à un jeune homme qu’il ne survivra pas jusqu’à la fin de la nuit. Sa prédiction se réalise alors comme par miracle. Ébranlé, Francis, l’ami de la victime, se met alors à surveiller Caligari. Il suspecte en effet ce dernier du meurtre.

La fin (spoiler) : Lors de l’épilogue, les rôles s’inversent totalement. On apprend alors que Francis a inventé toute l’histoire, racontée quelques lignes plus haut, dans sa tête. Le personnage est littéralement fou et réside à l’intérieur d’un hôpital psychiatrique. Le directeur du lieu est un homme ayant la même apparence que Caligari et Cesare un patient de l’asile. Dément.

La Montagne sacrée (1973)

Créateur du classique L’Incal dans le milieu de la bande dessinée, Alejandro Jodorowsky est aussi un grand metteur en scène de cinéma. Après avoir réalisé Fando et Lis en 1968, un film underground où les acteurs ont véritablement versé du sang lors du tournage, et le western El Topo en 1970, le cinéaste franco-chilien sort en 1973 La Montagne Sacrée. Une création unique en son genre, entre film d’aventure ésotérique et trip surréaliste où chaque plan est une oeuvre d’art à part entière.

L’histoire ? Un voleur vagabond rencontre un maître spirituel qui lui présente sept personnages, représentant chacun une planète du système solaire. Ensemble ils entreprennent un pèlerinage vers la Montagne Sacrée dans le but d’atteindre l’immortalité.

La fin (spoiler) : Au sommet de la montagne sacrée, un travelling arrière centré sur les personnages nous révèle un plateau de tournage et des techniciens. Une fin totalement inattendue au pouvoir philosophique extraordinaire. C’est le personnage qu’incarne Jodorowsky lui-même qui déclare alors : “Nous sommes des images, des rêves, des photographies. Nous ne devons pas rester là ! Prisonniers ! Nous devons briser l’illusion !” Un twist final prônant un indispensable retour à la réalité. Où l’illusion de la vie et du cinéma doit, pour les spectateurs, s’achever pour laisser place à de nouvelles valeurs telles que la vérité. Le but pour Jodorowsky ? Probablement celui, spirituel et idéaliste, de nous faire (re)trouver notre propre liberté. Rare et puissant.

Pulsions (1981)

Au début des années 1980, Brian De Palma réalise l’un de ses chefs d’oeuvre Pulsions (ou Dressed to kill). Le métrage cristallise à lui seul l’art du metteur en scène. Entre pur hommage à Alfred Hitchcock et référence assumée au giallo (un genre cinématographique italien proche du polar et du slasher), l’histoire démarre par le mystérieux meurtre de Kate Miller, une quinquagénaire frustrée sexuellement suivant une psychothérapie. Une prostituée, Liz Blake (fabuleuse Nancy Allen), assiste malgré elle à l’assassinat. Elle aperçoit même le meurtrier, qui semble être une femme blonde. De ce point de départ se met alors en place un thriller à tendance érotique aussi captivant qu’imprévisible.

La fin (spoiler) : Le retournement de situation final se situe dans l’identité secrète du meurtrier. Si Liz Blake pense, tout comme le spectateur qu’il s’agit d’une femme, il n’en est en fait rien. Le tueur est le docteur Robert Elliot (Michael Caine), le psychothérapeute de Kate Miller, qui est en réalité une femme dans un corps d’homme. Grande relecture de Psychose et monument du thriller pyscho-sexuel.

L’échelle de Jacob (1990)

Entre deux romances sulfureuses (Liaison Fatale, Proposition Indécente) et un remake de Lolita, Adrian Lyne est aussi l’artiste derrière L’Echelle de Jacob. Faisant figure d’ovni total au sein de la filmographie du metteur en scène, ce drame d’épouvante est un classique à part dans le milieu du cinéma fantastique. Source d’inspiration majeure pour la saga vidéoludique Silent Hill, il est ainsi doté d’une atmosphère unique et terrifiante. Le tout sublimé par une photographie visuellement somptueuse qui renforce l’aspect irréel et anxiogène de ce qui est en train de se passer à l’écran.

L’histoire suit le quotidien de Jacob Singer, un employé des postes à New York. Mais un jour, ce dernier est bizarrement assailli par de fulgurants cauchemars. Il voit alors des hommes aux visages déformés et se retrouve sans explication dans des lieux qu’il ne connaît pas. Par ailleurs, Jacob est également victime de flash-back incessants.  Son premier mariage, la mort de son fils et son service au Vietnam, c’est toute sa vie passée qui semblent littéralement le hanter. L’homme va alors progressivement s’enfoncer dans la folie en essayant de comprendre ce qui lui arrive.

La fin (spoiler) : L’univers cauchemardesque que traverse Jacob Singer durant le film était en fait son dernier cauchemar. L’homme est en réalité en train d’agoniser au Vietnam. Ce que l’on prenait pour la réalité n’était qu’un délire matérialisant la psychée traumatisée du soldat parti à la guerre. Peu connu du grand public mais très apprécié des cinéphiles, il est à noter que L’Echelle de Jacob est sorti bien avant le renouveau du film à twist auguré par Sixième Sens de M. Night Shyamalan. Sans en trouver pour autant le même succès planétaire. Une cruelle injustice que doivent souvent payer les œuvres les plus avant-gardistes.

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Emprise (2002)

Réalisé par Bill Paxton (acteur culte de James Cameron sur Aliens et Titanic), Emprise est un premier long métrage pour le moins épatant qui, bien au-delà de son twist, questionne les notions de foi et de religion dans un sordide thriller plus ambigu que la moyenne.

L’histoire commence au Texas, où un tueur en série agit sous le nom de “La Main de Dieu”. Un soir, un homme sans histoire, Fenton Meiks, se présente dans les locaux du FBI et déclare connaître l’identité du coupable. Selon lui, le criminel ne serait autre que son frère, Adam, qui vient de se suicider il y a peu. Alors qu’ils se dirigent en direction de l’endroit où les corps des victimes d’Adam sont supposément enterrés, Fenton raconte aux agents fédéraux comment tout a commencé vingt ans plus tôt. Débute alors un flash-back. À l’époque, lui et son petit frère vivent une enfance heureuse avec leur père, Bill Paxton. Pourtant, une nuit, ce dernier fait brutalement basculer leur vie en leur annonçant qu’un “ange” lui est apparu pour lui demander d’accomplir une mission divine avec ses deux enfants. À ce moment-là, l’un des deux fils accepte la mission, en vouant une confiance aveugle à son géniteur, tandis que l’autre pense que son père sombre dans la folie.

La fin (spoiler) : La surprise se situe dans l’identité de celui qui raconte l’histoire. Pendant toute une partie du film, l’homme qui se présente au départ dans le bureau du FBI se fait passer pour Fenton Meiks. Et explique que c’est son frère décédé, Adam, qui est le mystérieux tueur en série surnommé “La Main de Dieu”. En réalité, Adam a usurpé l’identité de son frère et est toujours vivant. La révélation ne fait qu’un peu plus décupler toute la tension d’ores et déjà instaurée par le film. Brillant.

The Machinist (2004)

Avec son Christian Bale méconnaissable, The Machinist avait fait sensation chez les cinéphiles lors de sa sortie en salles au début des années 2000. Réalisé par Brad Anderson (Session 9, L’Empire des ombres), le récit suit le quotidien de Trevor Reznik, un ouvrier qui travaille dans une usine et qui souffre d’insomnies. Cela fait depuis un an que ce dernier n’a pas dormi. Ses nuits, il les partage entre la cafétéria de l’aéroport, où il retrouve la serveuse Marie, et l’appartement de la prostituée Stevie. Mais depuis un certain temps, la vie de Trevor devient de plus en plus inquiétante. Il reçoit en effet des messages codés dans son appartement, trouve que Marie ressemble étrangement à sa mère… À cela s’ajoute la présence d’un nouvel ouvrier sur son lieu de travail, Ivan. Un homme mystérieux et dérangeant qui parait le surveiller. Le tout dans un univers où le réel semble disparaître au fur et à mesure que l’histoire avance.

La fin (spoiler) : Le personnage découvre enfin la cause de ses visions délirantes et de son mal-être. Quelques années plus tôt, Trevor a renversé accidentellement un enfant. Depuis, il a occulté ce passage tragique de sa vie et n’arrive plus à dormir. C’est la culpabilité qui ronge donc le protagoniste. Celui-ci parvient finalement à retrouver le sommeil à la toute fin du film, après avoir finalement accepté la dure réalité de ses actes. Un excellent twist final pour une oeuvre à l’ambiance de cauchemar éveillé. Ou quand le thriller noir se transforme en drame intimiste.

Le Parfum, histoire d’un meurtrier (2006)

Adapté du célèbre best-seller éponyme de l’écrivain allemand Patrick Süskind paru en 1985, Le Parfum version cinéma sort en 2006. Derrière la caméra, c’est Tom Tykwer (Cours, Lola, cours, Cloud Atlas) qui met en image le roman culte.

L’histoire se déroule en 1744. Jean-Baptiste Grenouille est un enfant solitaire mais qui possède un don unique : son odorat. Grâce à son sens sur-développé, il réussit dans un premier temps à se faire embaucher comme apprenti chez des maîtres parfumeurs. Il découvre alors les techniques nécessaires à la fabrication des parfums. Son don lui permet de créer tout d’abord de grands joyaux olfactifs. Mais son véritable objectif est de mettre au point la fragrance ultime, celle qui lui permettrait de séduire instantanément tous ceux qui croiseraient son chemin. Dans sa recherche d’ingrédients, Grenouille, attiré par le parfum naturel des jeunes filles, va alors aller jusqu’à en tuer dans le but de leur voler leur odeur.

La fin (spoiler) : Lors du climax du film, Grenouille, qui s’apprête à être exécuté en place publique, diffuse son parfum fabriqué à l’aide de ses meurtres sur la foule. L’effet produit ? Les gens se mettent à être irrémédiablement attirés les uns envers les autres. Une immense orgie aussi surréaliste que dantesque est alors mise en scène à l’écran. Un final fou et unique, conclu par un épilogue où Grenouille se fait dévorer par des prostituées et des criminels après qu’il s’est aspergé de sa propre création. Excessif. Mais mémorable.

Esther (2009)

Après avoir signé le très efficace La Maison de Cire et sa célèbre mise à mort du personnage interprété par Paris Hilton, Jaumet Collet-Serra s’atèle à la fabrication d’Esther. Un thriller psychologique et pervers qui lorgne du côte de l’horreur.

Le récit se focalise tout d’abord sur Kate, une femme fragile qui vient de perdre son enfant. Son quotidien est ainsi ponctué de souvenirs issus de son passé douloureux.  Harcelée par de violents cauchemars , elle décide de retrouver une vie plus équilibrée et fait le choix, avec son compagnon John, d’adopter un enfant. Le couple se rend alors dans un orphelinat et semble éprouver un coup de cœur pour une fillette, Esther. Mais Kate va progressivement découvrir une facette cachée de la personnalité de l’enfant. Et autour d’elle, personne ne parait partager ses étranges impressions.

La fin (spoiler) : Lors du dénouement, on apprend en réalité que le personnage d’Esther est une adulte de trente ans atteinte d’un dérèglement hormonal qui lui donne l’apparence d’une fillette de neuf ans. Dérangeant, le twist ne fait que décupler encore davantage le malaise qui régnait déjà au préalable. Gentiment provocateur et finalement bien loin des films d’enfants possédés par le démon comme La Malédiction ou L’exorciste.

The Silent House (2011)

Film uruguayen peu connu et réalisé entièrement en plan séquence, The Silent House avait su créer un certain buzz à l’époque de sa sortie grâce à son “défi technique” et sa curieuse révélation finale.

L’histoire s’attache à suivre celle de Laura et son père, deux protagonistes qui s’installent dans une vieille maison délabrée afin de la rénover. Mais très vite, des phénomènes étranges se produisent alors que la jeune femme explore l’intérieur de l’habitation. Bientôt, son père disparaît après qu’elle l’a entendu pousser un cri à l’étage. Commencent alors, dans le noir, de longues et interminables déambulations de Laura à la recherche de réponses.

La fin (spoiler) : Lors des dernières minutes du film, on comprend que par le passé Laura a avorté et qu’elle a été violée par son père pédophile et un autre homme. Suite à ces événements, la jeune femme, traumatisée, est devenue folle. Son parcours dans la maison est donc vécu comme un voyage intérieur en même temps qu’un règlement de compte personnel puisqu’elle parvient à tuer ses anciens agresseurs.

Une fin incohérente pour nombre de spectateurs. Ici, donc, l’effet mindfuck provient plus de la confusion apportée par le twist final que part sa qualité intrinsèque. Une surprise finale qui fascine néanmoins pour sa morbidité. Et ses dernières images post générique qui ajoutent encore un peu plus de “complexité” à l’ensemble. Ces dernières font d’ailleurs entrer l’oeuvre dans le domaine du fantastique et/ou du thriller psychologique, selon le point de vue. À voir au moins une fois avec son remake américain pour la curiosité.

L’Odyssée de Pi (2012)

Oscar du meilleur réalisateur en 2013, Ang Lee créé avec L’Odyssée de Pi une adaptation parfaite du roman à succès Histoire de Pi de Yann Martel. Prouesse technique au scénario bouleversant, l’oeuvre jouit d’un twist final aussi inattendu que chargé de sens.

Je vais vous raconter une histoire qui va vous faire croire en Dieu” déclare le narrateur au début du film avant de raconter une partie de son passé. Originaire de Pondichéry en Inde, ce dernier se prénomme Pi Patel, et est alors âgé de dix-sept ans lorsqu’il embarque avec sa famille pour le Canada dans l’espoir de commencer une nouvelle vie. Mais son existence se retrouve bouleversée le jour où le cargo à bord duquel il a embarqué se retrouve pris dans une terrible tempête. Après un naufrage spectaculaire, le jeune homme se retrouve à bord d’un canot de sauvetage avec pour seule compagnie Richard Parker, un tigre du Bengale aussi sublime que dangereux. Les deux survivants vont alors vivre une aventure hors du commun, entre voyage mystique et parcours initiatique.

La fin (spoiler) : Le dénouement de l’oeuvre nous fait découvrir que toute l’aventure parcourue jusqu’alors par Pi Patel était en réalité une pure invention. Plus précisément une sorte d’allégorie fantasmée du terrible parcours enduré par le jeune homme. Telle est la preuve, pour la personne devenue adulte au moment où il raconte son périple, de l’existence de Dieu. Même si plusieurs interprétations sont possibles à la manière d’un The Leftovers, ce dernier peut être perçu comme un mythe, une création de l’esprit humain dont le but est tout simplement de nous faire survivre par la croyance en l’imaginaire.

C’est ainsi que suite à cette révélation, le personnage de Pi raconte sa “véritable” histoire, beaucoup plus sombre et sanglante. On y apprend alors qu’après le naufrage du bateau, une grande et sordide mutinerie a eu lieu. Pour le survivant, la question de la foi se situe alors dans le dilemme suivant qu’il pose à son interlocuteur (et de facto au spectateur) : “Quelle histoire préférez-vous ?” Celle, crue et réaliste ou bien l’autre, empreinte de poésie et d’aventures ? Difficile à ce moment-là de ne pas préférer la seconde, à laquelle on a assisté durant tout le reste du film.

Bien entendu, venant d’un réalisateur comme Ang Lee, le propos se déporte également ici sur le 7e art lui-même. Le cinéma, et l’art de façon générale, sont ici comparables à Dieu. Un moyen de survivre par le biais d’un récit merveilleux qui, tout en permettant aux difficiles réalités de l’existence de s’estomper durant un temps, possède également comme vocation de les comprendre. Somptueux chef d’oeuvre.

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11 commentaires
  1. Il me semble que Kate Miller (Pulsions) est plutôt "quincagénaire" que "cinquantenaire"

    SInon, Parfums est une vraie pépite que j’ai eu la chance de voir par hasard. Histoire romancée d’un réel serial-killer paraît-il

  2. Dommage pour les Spoilers qui sont vraiment difficile à éviter dans l’article !
     
    Ne manques-t’il pas des films plus connus pour leur Twist?
    Comme 6ème Sens, Fight Club, Seven, Memento … ?

  3. Vous n’avez pas pu éviter les spoilers ? Mais on sait au moins ce que vous avez évité : l’introduction de l’article !

  4. J’ai lu trop vite ^^ c’est juste que Pi dans cette liste m’a semblé bizarre ^^
    Et que niveau retournement de cerveau et bien les films sus-cités sont vraiment géniaux !

  5. Bon…vous avez spoilé à moitié, la fin de "L’Echelle de Jacob", y a une surprise de taille dont vous ne parlez pas…C’est bien ! 😉
    D’ailleurs on raconte qu’un certain événement narré à la fin du film qui pourrait être tiré de faits réels (ou pas)…

    Film à voir absolument !

  6. Bon…vous avez spoilé à moitié, la fin de "L’Echelle de Jacob", y a une surprise de taille dont vous ne parlez pas…C’est bien ! 😉
    D’ailleurs on raconte qu’un certain événement narré à la fin du film qui pourrait être tiré de faits réels (ou pas)…

    Film à voir absolument !

  7. Bon…vous avez spoilé à moitié, la fin de "L’Echelle de Jacob", y a une surprise de taille dont vous ne parlez pas…C’est bien ! 😉
    D’ailleurs on raconte qu’un certain événement narré à la fin du film qui pourrait être tiré de faits réels (ou pas)…

    Film à voir absolument !

  8. Bon…vous avez spoilé à moitié, la fin de "L’Echelle de Jacob", y a une surprise de taille dont vous ne parlez pas…C’est bien ! 😉
    D’ailleurs on raconte qu’un certain événement narré à la fin du film qui pourrait être tiré de faits réels (ou pas)…

    Film à voir absolument !

  9. AHHH L’échelle de Jacob… je crois que ca m’a prisE au moins 3 visionnements pour tout comprendre… de loin mon film fétique..BRAVO

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