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Test de la Withings ScanWatch, quand discrétion rime avec perfection

Comment combiner à la fois sobriété, autonomie monstre, précision biométrique et polyvalence ? Withings a la réponse et elle s’appelle ScanWatch. Cette nouvelle montre connectée de fabrication française a-t-elle réussi à nous séduire ?

Discrétion, autonomie et performances : difficile d’exceller dans ces trois piliers technologiques à la fois pour une montre connectée. Par le passé, l’horloger français Withings a su se démarquer par la sobriété et, surtout, le prix très abordable de ses montres connectées. Cet été, la marque présente la nouvelle déclinaison de sa montre connectée ScanWatch (sortie il y a deux ans), en collaboration avec l’association Agir pour le cœur des femmes, qui lutte contre les maladies cardiovasculaires féminines. Pour l’occasion, « la montre santé la plus avancée au monde » déjà détentrice d’un trophée de l’Innovation au CES 2020 se pare d’un boîtier rose gold, ainsi que d’un nouveau bracelet assorti en format 38 mm.

Whithings ScanWatch rose gold
© Journal du Geek

Design & Ergonomie

Pour commencer, la Withings ScanWatch arrive dans une petite sacoche grise en tissu, refermable à l’aide d’un élastique. En plus d’être élégante, elle s’avère très pratique pour ranger et transporter la montre et son chargeur. Si l’une est destinée à rester fermement accrochée au poignet et l’autre à rester branché en permanence, on s’imagine bien pouvoir réutiliser la trousse pour embarquer d’autres objets en voyage – rien de perdu, en somme. La montre en elle-même respecte, elle aussi, le leit motiv tacite de la marque : la sobriété avant tout. Elle se compose d’un bracelet en silicone, poinçonné de multiples trous. Une décision louable car elle rend le port de la montre adapté à toutes les dimensions de poignet. Le boîtier rose gold est sans fioritures, avec une unique couronne (qui ne sert pas à régler l’heure, mais joue le rôle de bouton et de molette) et un magnifique verre saphir bombé (résistant jusqu’à 50 mètres de profondeur sous l’eau). Sous la carrosserie, la montre est constituée de deux cadrans à aiguille et d’un écran PMOLED (comme sur les vieux lecteurs MP3).

Le premier cadran, au diamètre le plus grand et central, donne simplement l’heure à l’instar d’une montre classique. Dans la moitié inférieure siège un cadran à une aiguille avec une roue de 1 à 100. Il s’agit du « cadran d’activité », qui réagit au nombre de pas effectués chaque jour. Enfin, la moitié supérieure du boîtier accueille un écran digital, accessible par une simple pression du bouton latéral. Il permet de « scroller » entre différents tableaux, avec dans l’ordre : heure et date (qui sert aussi d’accueil), fréquence cardiaque, nombre de pas quotidiens, kilomètres parcourus, altimétrie, mesure de l’électrocardiogramme (ECG), mesure du taux de saturation en oxygène (SpO2), suivi sportif, horloge (alarme, chrono, minuteur, etc) et réglages.

La molette de la couronne glisse parfaitement et chaque succession de tableau est ponctuée d’un très léger retour haptique satisfaisant. L’écran est lumineux, assez pour être vu sans accroc dehors en plein soleil. Il ne réagit cependant pas par défaut aux gestes du poignet, comme c’est le cas aujourd’hui pour la plupart des smartwatches à écran numérique. Une option « quick look » existe cependant pour en profiter, en passant par les Réglages de l’application connexe. Justement, avant de passer à l’utilisation, comme avec chaque montre connecté, l’utilisateur doit impérativement installer l’application mobile Withings Health Mate, avec laquelle la montre doit se synchroniser. C’est en effet grâce à elle qu’elle sera, entre autres, capable de donner l’heure exacte. Un appareillage Bluetooth et une activation du GPS sont nécessaires à cette synchronisation. Lors de la configuration initiale, un code PIN, à six chiffres, est demandé sur l’écran digital de la montre pour bien authentifier la connexion entre la montre et le bon smartphone. Cette mesure de sécurité supplémentaire, rarement vue chez d’autres montres, est à saluer. Enfin, la personnalisation de l’application se termine par une série de questions indicatives du Health Mate Coach, une intelligence artificielle avec qui l’utilisateur peut interagir. Celui-ci requiert seulement de spécifier la masse corporelle, la taille et le sexe pour effectuer un calcul de l’indice de masse corporelle (IMC) qui enrichit les données de l’utilisateur. L’application, elle aussi, bien aérée et dans laquelle il est facile de naviguer, est extrêmement bien pensée et permet d’avoir les informations qu’il faut là où il faut. Un seul petit regret néanmoins. Pour configurer une alarme, la procédure est assez peu intuitive : il faut passer par « Appareil », puis « Prochaine alarme ». Il est impossible de la mettre en place directement depuis la montre (seulement de la désactiver, via le tableau « Horloge »).

Le suivi médical

Comme la Move ECG avant elle, le principal intérêt de la ScanWatch reste avant tout ses outils biométriques. Grâce à ses trois électrodes et émetteurs lumineux, qui évaluent le taux d’absorption de la lumière dans les capillaires sanguins du poignet du porteur, elle est capable de donner une estimation du flux sanguin et de la quantité d’hémoglobine dans le sang. Cette mesure lui permet d’effectuer plusieurs examens médicaux comme l’évaluation de la saturation du sang en oxygène (SpO2), qui permet de savoir si le corps reçoit suffisamment d’oxygène (et donc de diagnostiquer, sinon, des maladies respiratoires), ou encore le fameux électrocardiogramme. Concernant ce dernier, la mesure requiert une certaine précision. Il ne faut absolument pas bouger et laisser son autre main (par exemple, la droite si la montre se loge sur la gauche) posée sur l’avant-bras (en l’occurrence, donc, le gauche), en formant une pince avec le pouce autour de la montre. Une fois les 30 secondes de mesure effectuées sans accroc, la montre alerte du résultat « normal » ou non de l’examen et une notification sur le téléphone invite l’utilisateur à en savoir plus. (Cela reste néanmoins un progrès après les failles de mesure signifiées par erreur comme un « danger de fibrillation auriculaire » sur la Move ECG.) Le tout indique si la qualité du rythme sinusal et la fréquence cardiaque sont normales. Il donne aussi un diagnostic quant à l’éventuelle présence de risque de fibrillation auriculaire (un trouble fréquent du rythme cardiaque). Petit plus : il est possible d’enregistrer le tout sous format PDF, afin de l’imprimer ou de l’envoyer facilement à son cardiologue.

Comme la plupart des montres connectées avec volet e-santé sur le marché, la ScanWatch offre aussi un suivi détaillé du sommeil de son porteur : fréquence cardiaque, détection d’apnée du sommeil, estimation des sommeils léger et profond, etc. Après plusieurs nuits, on constate avec bonheur que la montre se trompe rarement dans ses évaluations nocturnes. Elle reconnaît surtout avec une excellente précision les moments précis de l’endormissement et du réveil. Sa mesure native du rythme cardiaque et de l’oxygénation rend ainsi son suivi – mais aussi sa détection d’éventuelles apnées du sommeil – bien plus objectif que certaines de ses concurrentes. A noter que celui-ci n’a pas besoin d’avoir son smartphone allumé ou avec le Bluetooh et le GPS enclenchés pour que les mesures en question soient prises. Il suffit, le lendemain matin, de réactiver le tout et d’effectuer une rapide synchronisation avec le Health Mate.

Réveil intelligent, suivi sportif et autres fonctionnalités

Contrairement à la Move ECG, cette fois, la plus coûteuse Withings ScanWatch est une vraie touche-à-tout. Pour justifier son prix, elle compte sur plusieurs autres services, en plus de son écran PMOLED. Au cours de notre test, nous en avons retenu trois : le Health Mate Coach, le Smart Wake-Up et le suivi sportif. Le premier est un chatbot de suivi psychologique. Il propose à l’utilisateur, dès l’écran d’accueil de l’appli mobile consacrée, de répondre à une série de questions sur son humeur actuelle. En réaction, l’IA offre des conseils en vérité très banals. Ces derniers ne jouent aucunement un rôle sur le reste des suivis de santé.

Comme les autres montres connectées Withings dotées d’un suivi du sommeil actuellement sur le marché, la ScanWatch propose aussi la fonction Smart Wake-Up. Ce réveil intelligent se configure sur une plage horaire d’une trentaine de minutes. Dans cette intervalle, la montre est censée réveiller son porteur (à l’aide de fortes vibrations du poignet) au moment le moins brutal et donc, c’est-à-dire uniquement lors d’une phase de sommeil léger. L’option fonctionne sans soucis mais l’enclencher est un peu contre-intuitif. Il faut se rendre sur « Appareil » dans l’appli Health Mate puis « Prochaine alarme ». Ensuite, l’utilisateur doit passer par le volet « Horloge » sur la ScanWatch, sélectionner « Alarme » et la passer sur « On » (pratique, en l’occurrence, pour désactiver le réveil par la suite).

La ScanWatch a aussi été l’occasion pour Withings de se mettre au diapason de la concurrence en matière de sport. Comme le précise l’horloger français, « ScanWatch reconnaît automatiquement la marche, la course (et) la natation, ainsi que plus de 30 sports grâce au mode entraînement qui mesure la fréquence cardiaque en continu. » De notre côté, nous avons testé la marche en extérieur pendant une dizaine de minutes. Le suivi GPS est rapide, efficace et rend assez bien compte du relief. Du reste, le suivi sportif de la ScanWatch n’offre pas tellement plus d’informations mais il est facile de le lui pardonner : après tout, ce n’est pas sa spécialité revendiquée. Enfin, le système d’objectif du nombre de pas quotidiens est bien pensé. La présence du cadran du pourcentage d’accomplissement de l’objectif constitue une véritable source de motivation passive. Un choix de design vraiment agréable et beaucoup moins stressant que les incessantes notifications chez les autres montres. Une fois l’objectif journalier atteint, un simple message de validation se manifeste sur l’écran numérique de la montre. Au fil des jours, cette discrétion peu insistante donne presque envie de revoir constamment son objectif à la hausse.

Autonomie

Outre leur sobriété et leur expertise en e-santé, les montres connectées de Withings offrent généralement une autonomie sans pareille. La Move ECG, par exemple, se dotait de douze mois complets d’activité constante grâce à sa pile façon montre classique. Ici, la ScanWatch repose sur une batterie électrique rechargeable, nécessaire notamment à l’alimentation de son écran PMOLED, qui lui confère donc bien moins d’autonomie. D’après le constructeur, la batterie de sa smartwatch peut cependant aller jusqu’à 30 jours d’autonomie, voire 20 de plus en mode économie d’énergie avec seulement les deux cadrans à aiguille d’activés. L’estimation est correcte puisqu’en deux semaines (dont six jours passés avec la montre non portée mais toujours allumée), la montre n’est redescendue qu’à 60% de la capacité de sa batterie. Malgré la différence significative avec la Move ECG, l’autonomie de la ScanWatch reste véritablement au-dessus de la concurrence.

Où l’acheter ?

La montre Withings ScanWatch est disponible sur le site officiel de la marque et chez la plupart des revendeurs au prix conseillé de 299€.

Découvrir la Withings ScanWatch rose gold

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Notre avis

La Withings ScanWatch honore la réputation de la marque français, tant elle est un totem de sobriété. Plus polyvalente que ses aînées, bien que moins endurante que certaines, cette montre connectée a vraiment tout pour plaire en tant que premier objet connecté à porter au poignet. Son charme timide n'a d'égal que sa précision des différentes mesures de santé qu'elle est capable de prendre. Seul hic : ce pari d'une polyvalence plus étendue et d'un écran PMOLED supplémentaire l'oblige à sacrifier une autonomie monstre, telle celle de la Move ECG, et à augmenter le prix de l'objet d'une centaine d'euros. Néanmoins, compte-tenu de sa qualité globale, elle en vaut la peine.
Note : 9  /  10

Les plus

  • La sobriété de son design et de son ergonomie
  • Une précision biométrique rare
  • Une autonomie pas aussi bonne que la Move ECG mais largement suffisante
  • L'efficacité du Smart Wake-Up

Les moins

  • Le prix plus élevé que le reste du catalogue Withings
21 commentaires
  1. LOL… montre Prémium… arf il n’y a même pas la peinture forfloresante et pas les secondes… bref si tu pilotes un avion et bien prend une fosile, ils font la même chose en mieux et moins cher… ç

  2. Qui a parler de montre Premium ? Juste une montre hybride adéquate.
    A savoir que le modèle 42mm a les aiguilles phosphorescentes…… pour la trotteuse y’en a qui brasse assez d’air comme ça.

  3. Bonjour Withings Ipepita, donc on ne peut pas dire que l’on peut voir une photo de la 42mm sur cet article
    la 42 noir est donc bien avec des aiguilles phosphorescentes, ouf, et cela change tout à mes yeux car l’on peut faire alors des économies en énergie… même si cette montre dispose d’une autonomie sans commune mesure avec les applewatch (entre 30 et 50 jours pour la withings contre 18 Heures pour l’applewatch…) en gros l’apple watch fait la même chose, mais tu n’es pas sauvé car de toutes les façons la montre n’est jamais à ton bras.

    Pour les secondes… donc je reprend ma phrase : pilote … c’est à dire que lorsque l’on dépasse en vol une piste il faut attendre une minute avant de tourner… (donc ici snif) ce qui est bien con, car les pilotes savent qu’une montre qui vous indique un problème cardiaque imminent deviendrait une montre obligatoire (en fait pour les professions/passionnés qui ne laissent rien à l’imprévu)

    PS 1 : avec ses photos, on peut voir que withings vise une clientèle premium, leurs balances coutent 3 fois le prix d’une balance connecté chinoise… mais elle est bien supérieure à celles ci… et c’est ce que l’on souhaite
    PS 2 : oui vous pourriez vouloir parler de montre prémium TAG, Rolex.. mais bon laissons ces dinosaures faire la compétition avec boucles d’oreilles de ces dames, elles regardent l’apple watch alors que sont les hybrides qui sont dangereuses pour elles
    PS 3 : Il n’y pas si longtemps j’étais sur le site de withing, pour regarder les promos, (il y a bien une semaine) et je ne voyais pas de scanwatch… par contre maintenant on voit bien les 26 avis consommateurs… bon @Utilisateur du programme Insider.. .ce n’est pas très parlant.. et objectif ?
    PS 4: La 38mm est la plus belle

  4. Chez TAG les montres Connected sont avant tout des vitrines.
    Ils en vendent, certes, mais en vendent beaucoup moins que les Formula One, Aquaracer, Monaco GP et même Carrera qui sont les modèles iconiques de la marque.
    Dommage qu’ils ne fassent plus la Monza aussi.

    Il y a Monblanc avec sa Summit qui n’est pas trop mal dans le segment des montres connectées ”plutôt haut de gamme”.

    Tu peux trouver aussi chez Alpina avec les Alpinerx et les Horlogical Smartwatch. Ces deux modèles ressemblent plus à des montres traditionnelles mécaniques à remontage automatique qu’à des montres connectées.

    Frédérique Constant fait aussi depuis quelques années déjà de très beaux modèles de montres connectées avec ses Gents & Ladies Vitality (une vraie version haut de gamme des modèles Withings) et ses modèles Gents Classics et Delight Notify.

    Sur le segment du luxe, aucune Maison n’a prix le risque de faire des montres connectées.
    Pour avoir interviewé dans le passé Emmanuel Breguet, Président France de Breguet, la montre connectée n’est pas considérée comme une vraie montre pour les 8 grandes manufactures de Haute Horlogerie (Audemars-Piguet, Blancpain, Breguet, IWC, Jeager-Lecoultre, Patek-Philippe, Vacheron-Constantin et Zenith).
    Rolex n’est pas réellement considérée comme une Manufacture de Haute Horlogerie, mais est identifiée comme une marque de luxe.

    A date dans le segment haut de gamme, mais pas luxe, seules les Maisons TAG, Monblanc, Alpina et Frédérique Constant (dans une moindre mesure, plutôt moyen de gamme, il faut le reconnaître) ont proposé des Smart Watch.

    Du côté de Monblanc, un produit était intéressant mais a été supprimé du catalogue, c’était le bracelet de suivi d’activité adaptable à n’importe quelle montre en remplacement du bracelet initial, le E-Strap. Que Monblanc a finalement abandonné pour ne pas cannibalisé Summit.

    Bref, si ton objectif est de faire du sport automobile, le mieux reste de faire comme Nick Hayek ou comme Gianni Agnelli. Pour eux c’était avant tout un effet stylistique. D’ailleurs Hayek en avait parfois 3, voire 4.
    Bref, tu peux avoir 2 montres. Une pour te donner l’heure, et une pour tes notifications.
    Ou avoir une belle montre mécanique et un bracelet de suivi d’activité.

  5. Article sympa, mais faites quand même attention aux photos faites à l’arrache, c’est pas sérieux…
    – Photos floues
    – Ecran de la montre ****
    – Des poiiiiiiils…

  6. Je crois qu’elle ne fait pas encore l’apnée du sommeil, faut attendre la mise à jour, donc je vais attendre pas comme pour l ‘active 2, j’ai été pressé de l’acheté alors qu’elle n’a toujours pas la mise à jour de l’ECG.Donc je ne ferai pas la même erreur avec la withing j’attends le retour des clients.

  7. Et bien Bobby, 😛 on peut dire que tu es généreux sur le sujet
    Je vais de ce pas regarder tout cela 8-D
    Je suis devenu applewatch (bof, bof je n’arrive décidément pas à m’y faire)
    par contre pour la scanwatch c’est par terrible terrible, les avis sur amazon sont pas bon :
    “on ne voit pas les aiguilles” (il faut dire que peindre des aiguilles en noir avec un fond noir faut être pas fufut) le Btooth ne marche pas, l’application ne marche pas… et dire qu’il y avait tant d’avis super positif sur le site de withing’s le jour de la sortie de la montre… Le pire c’est que j’ai souvent eu withing’s au téléphone, et que je leur avait déjà indiqué cela.. mais ils n’écoutent pas les clients… je ne comprend pas ces sociétés qui vendent de la santé et qui sont autistes aux remarques clients… on voit une copie de LIP qui perd pied comme LIP devant pas grand chose

  8. J’ai reçu cette belle montre. Je fais de l’arythmie et les ECG de cette montre témoignent de ces rythmes irréguliers. Le problème est que sur 20 ECG pris à ce jours à des moments d’arythmie, la montre s’obstine à mettre en résultat : RYTHME SINUSAL NORMAL tout en montrant sur l’ECG que le rythme ne l’est pas. J’ai écrit et signalé ce problème en joignant en attaché mes ECG irréguliers. J’ai des réponses faisant semblant de ne pas comprendre, et me demandant si j’ai réussi à faire un ECG ! Autrement dit on ne lit pas mes mails et on répond à côté, ce qui n’est pas du tout sérieux comme service.
    Sinon les indications de sommeil peuvent être farfelues. Elles m’indiquaient un sommeil profond à 5 heures alors que j’étais à mon bureau.
    Les enregistrements d’ECG semblent justes et je les impriment pour les montrer à mes soignants, même s’il est dommage qu’il soit noté “rythme sinusal normal”.
    Plus dommage encore de n’avoir personne de sérieux pour vous répondre. Cela, c’est désolant

  9. J’en avais acheté une l’an dernier car ca semblait bien, sauf que je l’ai retournée une semaine ou deux après :
    – Trop de bugs sur différentes fonctions, qui enlevaient tout confiance dans les autres.
    – La nuit on ne peut pas lire l’heure car le modèle fond blanc n’a pas de pavé fluorescent sur les heures & aiguilles.
    – Si lunettes de vue : quand on ne les a pas sur le nez la lecture de l’heure est difficile en journée, mais impossible en soirée avec moins de lumière.
    ==> Bref produit mal conçu à tous les niveaux, matériel et logiciel.
    (Et je n’étais pas le seul sur le forum des utilisateurs à rapporter des bugs et être mécontent du support inexistant)

  10. Pour avoir eu la steel hr, je déconseille totalement: résultats erronés, synchronisation hasardeuse, bugs en tous genres… dommage!

  11. Bonjour, je trouve toutes ces promesses marketing bien dangereuses, la prise de mesure médicale ne pourra jamais être de la même qualité qu’un appareil dédié. Et quand à la fonction podomètre et mesure d’activité…est ce que les gens ne sont pas assez grands pour savoir marcher ou faire du sport pendant au moins 30 minutes par jour ? Encore des gadgets qui finiront dans 2 ans à la décharge et contribueront à cramer des ressources électroniques et minières…

  12. JPSaint
    on ne comprend pas où vous voulez en venir…
    votre discours est confus et limite hors propos.
    Je ne savais pas que les montres étaient TOUTES destinées a être portées par des pilotes, n’importe quoi
    Un pilote d’avion il choisira certainement une autre montre… et basta

  13. JP Saint
    Ha ha comme si les montres Fossil traçaient les ECG ! Encore un ignare qui confond rythme cardiaque et fréquence cardiaque.
    Après, faut vraiment pas être malin pour comprendre que ces montres ont des finalités différentes.

    Pour la Withings, je regrette que les “essais” ne donnent jamais le niveau de précision des mesures en les comparant avec des matériels dits médicaux. Après tout la marque vante la précision mais personne ne le vérifie, se contentant de reprendre la pub 😥

  14. JP Saint
    Pilote moi même (PPL) et plus de 50 ans j’ai un examen de classe 2 DGAC tous les ans incluant un ECG. Vous êtes pilote? bien? je reste quand même dubitatif : que vous ayez besoin d’une trotteuse seconde me laisse en 2nd régime… (les VRAIS pilotes comprendront!) : premièrement, quelque soit l’aéronef que vous pilotez il doit comporter une montre en état de marche avec si possible fonction chrono (ça aide considérablement pour la NAV!!). Si vous voulez vérifier je vous invite à réviser l’équipement minimal exigé en vol VFR de jour qui est précisé dans l’arrêté du 24 juillet 1991 relatif aux conditions d’utilisation des aéronefs civils en aviation générale, plus particulièrement en annexe, chapitre II, § 2.6.2.1. Deuxièmement, un (bon) pilote (il n’y a pas de bons pilotes il n’y a que de vieux pilotes), ne passe pas son temps à regarder sa montre en finale pour un complet (atterrissage) et ses instrument mais à regarder à l’extérieur (sauf en IFR sans visi) je vous rappelle si besoin qu’un pilote assure l’anticollision!!!. Le ratio étant de 90% dehors, 10% instrumlents… voilà, voilà…

  15. Achat SCANWATCH le 26/11/22 auprès de WITHINGS SA pour la somme TTC de 229,95 euros.
    RAS pour le matériel mais difficultés pour appréhender l’appli et mise en doute rapide des indications et chiffres annoncés.
    Nb de pas fantaisistes, idem pour les etages ,absence totale de relevés (ou relevés partiels) du sommeil (donc pas de SPO2)
    Malgré tout, j’ai insisté pensant que je m’y ferais avec le temps.
    J’ai donc ouvert un dossier ,ayant réglé par PAYPAL ,pour les motifs suivants :Produit décevant, complexe et difficile à utiliser en ce qui concerne la santé, principal motif de mon achat.
    Le 25/01/23 PAYPAL me faisait part du remboursement de mon achat sans autres explications.
    Je n’ai eu aucune communication avec WITHINGS………ce qui parfaitement inquiétant.
    Je ne suis pas le seul à mettre en doute les qualités prétendues de l’appareil
    Mon litige est clos et je ne pourrai faire de reproches au vendeur, puisque ,à part ma déception ,je n’ai rien perdu sinon mes illusions.

  16. Montre “française” (made in China)… Une montre jetable…. pour le prix d’une montre fiable…

    Typique du “french washing”, cette montre “française” est fabriquée en Chine, pays dont les usines ne sont pas, le plus souvent, réputées pour l’excellence de leur contrôle qualité…
    Deux mois après la fin de la garantie, la montre n’est plus étanche, l’eau s’y infiltre et la “scanwatch” cesse (définitivement) de fonctionner…
    Contacté, le SAV de WITHINGS m’a fait savoir, sans l’avoir vue, que la montre n’est pas réparable (et pour cause…) et me propose en forme de “dédommagement”, une réduction de 25 % sur une sélection de produits de leur boutique en ligne…
    Je retiens de cette désagréable expérience qu’il faut toujours vérifier, y compris pour des marques “françaises”, le pays de fabrication du produit..

  17. Presque 300 Euros pour une jolie montre certes mais qui malheureusement donne des résultats souvent farfelus pour toutes les mesures, qu’elles soient sportives ou médicales!
    J’ai même fini chez le cardiologue pour des fibrillations auriculaires qui n’en étaient pas! Je ne crois plus une seconde aux validations médicales qu’ils disent avoir pour cette montre!
    J’ai un oxymètre nocturne qui prend des mesures toutes les 4 secondes (fréquence cardiaque aussi), ça c’est du sérieux pour surveiller des paramètres de santé… la Scanwatch n’enregistre une valeurs que tous les tremblements de terre!

    Elle arrive même à indiquer des heures différentes entre le mode digital et l’analogique, c’est dire le peu de fiabilité qu’elle offre.

    De plus j’ai moi aussi le boitier qui s’est ouvert quelques semaines après la fin de la garantie, et comme le signalait Jihem (voir post ci-dessus), le SAV n’existe pas, ils ne répondent pas vraiment à nos questions non plus, ils disaient simplement être navrés de la situation, et ils me proposaient 50% sur l’achat d’une nouvelle montre mais j’ai toujours répondu que je ne voulais pas perdre encore plus d’argent!

    j’ai même écrit un courrier postal au directeur, M. Carreel Eric qui fait de belles présentations à la TV pour vanter cette montre, et dit vouloir conquérir le marché américain maintenant mais il ne m’a jamais répondu bien sûr…. même la politesse fait défaut chez eux!

    Donc mon conseil aux personnes qui seraient tentées d’acheter cette montre, je dis: tournez-vous vers une autre marque, et renseignez-vous aussi sur le lieux de fabrication, et la présence d’un SAV sérieux!

    Cordiales salutations à tous les lecteurs.

  18. En possession d’une Scanwatch, tombée en panne un peu plus de 2 ans après son acquisition, Withings n’a pas pris en charge la réparation et ne prend en charge aucune réparation sur ses montres. J’ai donc dû faire l’acquisition d’une autre Scanwatch.
    J’ai offert une ScanWatch Nova à mon mari, il y a un problème avec le bouton poussoir de la montre.
    Impossible de les joindre au téléphone. Nous avons pu échanger plusieurs fois par chat avec eux.
    Voilà 2 semaines que nous attendons une réponse ; la montre étant sous garantie, nous demandons l’échange pur et simple de la montre. Pas de réponse pour le moment.
    Le service après-vente laisse vraiment à désirer.

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