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5 raisons d’aller voir Power Rangers en salles !

Power Rangers débarque demain dans toutes les bonnes salles de cinéma. Et voici 5 raisons d’aller courir voir le long-métrage de Dean Israelite. 1) Une solide…

Power Rangers débarque demain dans toutes les bonnes salles de cinéma. Et voici 5 raisons d’aller courir voir le long-métrage de Dean Israelite.

1) Une solide entrée en matière

Après une scène d’ouverture visuellement impressionnante, dans laquelle une précédente génération de Power Rangers (menée par Bryan Cranston) tente de sauver les meubles avant la destruction des lieux, le long-métrage de Dean Israelite choisit de (re)partir d’un quotidien somme toute banal pour construire sa nouvelle épopée. Bien lui en a pris. Le spectateur se retrouve alors devant plusieurs adolescents paumés et mis au ban, regroupés dans une classe un peu spéciale pour effacer les dettes qu’ils ont contractées. De leurs problèmes respectifs va naître une solidarité qui, de hasards en hasards, les conduira à se retrouver autour de la carrière dans laquelle ils découvriront les pierres des Power Rangers. Avec humour, et des dialogues bien écrits aussi, le puzzle autour de la reconstitution de cette nouvelle équipe va s’assembler doucement mais sûrement.

2) Un message intelligent

Conformément à la philosophie de la série, Power Rangers sait ne pas se prendre au sérieux quand il en a envie. On retrouve donc, distillés tout au long du long-métrage, des notes d’humour, des blagues potaches ou décalées. En revanche, Power Rangers ne tombe jamais dans le lourdingue ou le mauvais gout. Dean Israelite respecte à la lettre le code de conduite de la série, à savoir ne rien faire de « gratuit » pour faire rire, émouvoir ou bousculer le spectateur. L’accent est mis sur la solidarité et la tolérance entre les adolescents, et ça marche. Chapeau !

3) Une réalisation moderne

Power Rangers emprunte à des codes d’autres médias pour séduire et légitimer son existence en 2017. Le long-métrage utilise notamment des dispositifs propres au jeu vidéo, quand les 5 protagonistes doivent affronter des vagues de monstres de plus en plus puissants pour s’aguerrir et ainsi devenir des Power Rangers. De la même manière, c’est une progression très « jeux vidéo » qui anime le long-métrage puisque de combattants nus, les Power Rangers s’habillent de leurs armures puis peuvent utiliser leurs véhicules et en conclusion s’assemblent pour constituer le Megazord.

4) … Sans trahir son esprit kitsch

C’est assumé et c’est ce qui a aussi construit la légende de cette série ; ses héros portent des costumes de toutes les couleurs et peuvent faire des bonds de 30 mètres. Power Rangers 2017 ne nous décevra pas de ce côté. À l’opposé, le look de la méchante Rita Repulsa fait également honneur au côté décalé de la licence. Sans parler du Megazord et de son adversaire, tous deux hauts comme trois immeubles, aux mouvements délicieusement saccadés.

5) Un retour en enfance autant qu’une découverte

Phénomène de la pop culture des années 90, Power Rangers offre bien évidemment sa dose de nostalgie et nous renvoie pour deux heures dans les plus doux moments télévisés de nos jeunes années. C’est une belle pierre qui s’ajoute à un édifice déjà bien nourri. En choisissant de mettre l’accent sur la constitution du groupe, ses doutes et sa progression (avec les messages d’opiniâtreté, de tolérance, de fraternité dont on a parlés), ce Power Rangers peut s’adresser à tous publics. Un joli tour de force.

Power Rangers, en salles le mercredi 5 avril.

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