La magie qui a accompagné les débuts de l’application à succès ne semble plus opérer si l’on en croit les chiffres du site The Atlantic Wire.
Le nombre d’utilisateurs journaliers de l’application a chuté de 5 millions en l’espace d’un mois passant ainsi de 15 millions à 10 millions à l’heure actuelle, ce qui reste une performante respectable toutes proportions gardées.
Il ne faut cependant pas s’empresser de tirer des conclusions hâtives, le marché des applications mobiles est un secteur extrêmement concurrentiel où les applications chronophages se disputent les moindres minutes disponibles auprès des utilisateurs.
Plus qu’une application, Zynga a fait ici l’acquisition d’un savoir faire en intégrant l’équipe d’OMGPOP dans ses rangs. Les données App Data montrent que malgré une baisse notable du trafic journalier, les chiffres mensuels se montrent stables. Ce dernier chiffre représente pour Zynga un vivier d’utilisateurs potentiels à fidéliser, à monétiser mais aussi éventuellement à réorienter vers d’autres applications de son catalogue.
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J’ai testé il y a quelques temps. Le concept m’attirait énormément.
Mais je dois dire que l’obligation d’utiliser notre compte FB m’embête, la lourdeur de l’application (sur Galaxy S premier du nom) est énervante, et le fait qu’il existe que en anglais me démotive. 🙂
Heuu… je n’ai pas de compte facebook et Draw Something fonctionne très bien !
Ca ne m’étonne pas que ça s’essouffle. Pour moi, ce jeu est un pétard mouillé, c’est ennuyeux et pas addictif pour un sous. J’ai téléchargé comme un mouton, vu le buzz et après deux parties, j’ai lâché, aucun intérêt…
Enfin je ne suis peut-être pas dans la cible…
Un avis qui n’engage que moi bien sûr !
Même futur pour Instagram ? Acheté pour 1 milliard, ce serait “bête” ou alors ça donnerait une petite leçon à la bulle des applications mobiles.
Il existe également une version française semblable à “DrawSomething” nommée “Peindre avec des Amis”.
@Ryuzaka : On n’est absolument pas obligé d’utilise son compte FB.
Pour ma part c’est pareil, je l’ai utilisé activement pendant 3 semaines et maintenant je délaisse l’appli … Mais c’est normal au vu du rythme soutenu du monde mobile !
Ce serait bien qu’ils sortent d’autre jeux sur le même principe social.
Application très fun et addictive les premiers temps puis on s’en lasse finalement assez vite. Les mots se répètent, l’imprécision du doigt apporte un challenge au début puis on se lasse de ne pouvoir essayer de faire de “beaux” dessins, c’est frustrant surtout quand on joue avec quelqu’un qui est sur Ipad. La difficulté des mots ajoutée à l’imprécision rend parfois le jeu trop difficile ce qui peut expliquer aussi pourquoi ce sont souvent les même mots qui reviennent: on prend ce qu’on arrivera à dessiner. Enfin, titre seulement anglophone, on peut avoir besoin d’un outils de traduction sous la main ce qui freine l’envie de jouer et est une autre cause de la répétition des mots: on prend les mots que l’on comprend.
Sinon je me demandais est-ce qu’on peut y jouer avec le stylet sur Galaxy Note?
@cam Oui, marche très bien avec le stylet sur le Galaxy Note 😀
Obligé de payer pour changer de couleurs, et les couleurs que t’achètent (avec tes points si t’as joué comme un barge) ne sont que dans une teinte, ce qui t’oblige à acheter d’autres couleurs…
Et après, les mots se répètent et là aussi, il faut payer.
Bref, c’est gratuit mais dès qu’il s’agit de dessiner autre chose qu’une pomme, il faut payer, payer, allonger la monnaie. C’est d’un lourd -_-‘
J’y joue toujours avec autant de plaisir..
dur dur au doigt (stylets pas super bien sur galaxy tab).
Il ne faut pas exagérer, moins d’un euro pour jouer sans pub ce n’est quand même pas la mort.. et ça permet d’avoir 2000 mots (soit plus que le vocabulaire de bon nombre de neuneus).
Et on se prend à dessiner autrement un mot qu’on a eu du mal à faire trouver à un tiers.
C’est plutôt bien je trouve qu’il soit en anglais pour améliorer le vocabulaire (avec google translate en //). Par contre certain mots sont trop typique américain donc difficilement trouvables.
@benou
tu ne crois pas si bien dire. Dans l’éducation, en Suisse romande, les profs s’accordent a dire qu’un élève (de 12 à 15 ans) a un vocabulaire de 1500 mots (Ouch les futurs gogos…)
*les élèves ONT un vocabulaire*
(ouch pour moi… hihihi)
@Jazzsession, mais non, tu as écrit juste, tu as mis “élève” au singulier 🙂