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Test flash : Les Sims 3 (3DS)

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Adapter Les Sims 3 sur 3DS, voici un pari qui pouvait paraître assez difficile à réaliser. Ne serait-ce qu’à cause de l’interface du jeu original, un…

Adapter Les Sims 3 sur 3DS, voici un pari qui pouvait paraître assez difficile à réaliser. Ne serait-ce qu’à cause de l’interface du jeu original, un peu trop chargée pour être portée sur une console portable, qu’elle embarque un ou deux écrans. Pourtant, Maxis ne s’est pas dégonflé devant l’ampleur de la tâche. Et allons y gaiement…



Toujours aussi rentable, la licence des Sims, et ça n’étonnera personne, est dans les starting-blocks pour le lancement de la 3DS. Pour autant, si l’efficacité des Sims 3 sur PC n’est plus a démontrer, le récent passage de ce 3ème volet sur les consoles de salon avait déjà eu un peu plus de mal à convaincre. Alors imaginez sur portable. Premier constat : l’éditeur de Sim n’est sur la bécane de Nintendo plus que l’ombre de lui même, et les possibilités de customisation sont cette fois bien plus réduites. Du moins, pour ce qui est de l’allure de votre Sim (j’espère que vous avez une coupe de cheveux banale et que vous aimez vous habiller comme tout le monde), les traits de caractère étant tout de même à définir. Las, même l’idée d’utiliser le capteur interne de la 3DS pour prendre un cliché de votre frimousse afin de la Simifier (si, si, ce terme existe…) ne prend pas, le rendu étant à chaque fois “trop” ou au contraire “pas assez”. Mais jamais dans la bonne tendance, au final. De la même façon, n’espérez pas créer une famille, il ne vous sera alloué qu’un seul et unique slot pour la création de Sim. Ne vous reste alors qu’à interagir avec les personnages que vous serez amenés à rencontrer pour espérer agrandir votre cercle familial. Car sinon… A côté de ça, les habitués de la série ne mettront pas de temps à retrouver leurs marques : il est toujours question d’emménager dans une bicoque, sans emploi, avec un slip de rechange (non, je ne grossis pas le trait) et d’espérer gravir un à un les échelons de… hum, la vie ? Pour autant, le vernis apparent qui pourrait nous laisser croire à une adaptation fidèle de son homologue PC ne tient de toutes façons pas longtemps. Déjà, la fameuse jauge de besoins, listant les envies et les besoins (ben oui…) de votre avatar n’est plus présentée. A la place, vous devrez jongler avec des icônes débarquant pèle-mêle, et vous laissant face à une obligation de résultat rapide (divertir votre Sim, ect…) et un court temps de réaction avant de voir votre personnage partir en « burnout ». J’exagère à peine. Si ce point pourra à la longue être géré, le fait que l’effet 3D soit pour le coup mal implanté, que le rendu graphique peine à convaincre (aliasing, j’écris ton nom en échelles…) ou encore que le frame-rate n’arrive jamais à trouver son rythme de croisière nous laissent imaginer que cette déclinaison 3DS n’a pas eu droit à tout le soin qu’elle méritait. Alors à moins de ne jurer que par cette licence, on vous conseillera gentiment de faire l’impasse pour cette fois…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Le concept de base, toujours aussi efficace

Les –
L’effet 3D peu probant
Les graphismes manquent de finition
L’ergonomie, bien trop lourde
Limité dans sa globalité

Adapter Les Sims 3 sur 3DS, voici un pari qui pouvait paraître assez difficile à réaliser. Ne serait-ce qu’à cause de l’interface du jeu original, un peu trop chargée pour être portée sur une console portable, qu’elle embarque un ou deux écrans. Pourtant, Maxis ne s’est pas dégonflé devant l’ampleur de la tâche. Et allons y gaiement…



Toujours aussi rentable, la licence des Sims, et ça n’étonnera personne, est dans les starting-blocks pour le lancement de la 3DS. Pour autant, si l’efficacité des Sims 3 sur PC n’est plus a démontrer, le récent passage de ce 3ème volet sur les consoles de salon avait déjà eu un peu plus de mal à convaincre. Alors imaginez sur portable. Premier constat : l’éditeur de Sim n’est sur la bécane de Nintendo plus que l’ombre de lui même, et les possibilités de customisation sont cette fois bien plus réduites. Du moins, pour ce qui est de l’allure de votre Sim (j’espère que vous avez une coupe de cheveux banale et que vous aimez vous habiller comme tout le monde), les traits de caractère étant tout de même à définir. Las, même l’idée d’utiliser le capteur interne de la 3DS pour prendre un cliché de votre frimousse afin de la Simifier (si, si, ce terme existe…) ne prend pas, le rendu étant à chaque fois “trop” ou au contraire “pas assez”. Mais jamais dans la bonne tendance, au final. De la même façon, n’espérez pas créer une famille, il ne vous sera alloué qu’un seul et unique slot pour la création de Sim. Ne vous reste alors qu’à interagir avec les personnages que vous serez amenés à rencontrer pour espérer agrandir votre cercle familial. Car sinon… A côté de ça, les habitués de la série ne mettront pas de temps à retrouver leurs marques : il est toujours question d’emménager dans une bicoque, sans emploi, avec un slip de rechange (non, je ne grossis pas le trait) et d’espérer gravir un à un les échelons de… hum, la vie ? Pour autant, le vernis apparent qui pourrait nous laisser croire à une adaptation fidèle de son homologue PC ne tient de toutes façons pas longtemps. Déjà, la fameuse jauge de besoins, listant les envies et les besoins (ben oui…) de votre avatar n’est plus présentée. A la place, vous devrez jongler avec des icônes débarquant pèle-mêle, et vous laissant face à une obligation de résultat rapide (divertir votre Sim, ect…) et un court temps de réaction avant de voir votre personnage partir en « burnout ». J’exagère à peine. Si ce point pourra à la longue être géré, le fait que l’effet 3D soit pour le coup mal implanté, que le rendu graphique peine à convaincre (aliasing, j’écris ton nom en échelles…) ou encore que le frame-rate n’arrive jamais à trouver son rythme de croisière nous laissent imaginer que cette déclinaison 3DS n’a pas eu droit à tout le soin qu’elle méritait. Alors à moins de ne jurer que par cette licence, on vous conseillera gentiment de faire l’impasse pour cette fois…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les +
Le concept de base, toujours aussi efficace

Les –
L’effet 3D peu probant
Les graphismes manquent de finition
L’ergonomie, bien trop lourde
Limité dans sa globalité

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