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Test : Kane & Lynch : Dead Men (Xbox 360)

7

3h19 du matin. Je viens enfin de finir Kane & Lynch. Pourquoi écrire ce test maintenant alors que je pourrai aller me coucher ? Pour la même raison qui m’a poussé à  m’acharner sur ce jeu jusqu’à  tà´t le matin : en finir une bonne fois pour toutes. C’est parti pour le test de la partie solo mon coco.

3h19 du matin. Je viens enfin de finir Kane & Lynch. Pourquoi écrire ce test maintenant alors que je pourrai aller me coucher ? Pour la même raison qui m’a poussé à  m’acharner sur ce jeu jusqu’à  tà´t le matin : en finir une bonne fois pour toutes.

C’est parti pour le test de la partie solo mon coco.

3h20. Le test démarre. Je viens donc d’enfin terminer ce putain de jeu. Pourquoi m’être acharner ? Pour pouvoir vous dire ensuite c’est bon, j’l’ai terminé ce putain de jeu, j’aurai plus jamais à  y jouer. Pour le fun, et le succès, je me suis fait les deux fins. Oui, il y a deux fins, qui se produisent selon votre choix moral, c’est à  la mode en ce moment.

Je vous explique rapidement la fin sans trop de spoilers : soit vous vous barrez comme un traitre en hélicoptère, soit vous allez chercher certains de vos hommes qui sont encerclés. Attention, l’une des deux option vous offre le droit de prolonger votre souffrance.

Là  o๠les développeurs, sans faire injure à  la profession, pensent que seule notre morale décidera de la fin que l’on voudra donner au jeu, il semble plus qu’on saute direct dans l’hélico pour se dire putain à§a y est c’est fini. En gros maso que je suis, j’ai recommencé la dernière scène histoire de voir ce que valait l’autre fin….

C’est pourtant dommage, tout commence assez bien. Une histoire assez accrocheuse, des personnages complètement tarés avec chacun leur petite histoire derrière eux qu’on découvre petit à  petit… Non, franchement, au début je me demandais pourquoi les critiques avaient si sévères avec ce jeu.

Au début, tout commence assez bien.

Mais par la suite, à§a se gave sévère. A vrai dire, à§a devient n’importe quoi : vous débarquez dans une mission un peu après le milieu du jeu et là , la durée de vie du jeu explose de manière exponentielle : il faut recommencer au moins une quinzaine de fois cette saloperie de mission pour pouvoir buter c’t’hélicoptère de malheur. Un léger coup d’oeil au niveau de difficulté me confirme ce que je pensais : je suis toujours en mode normal, comme depuis le début.

Cet épisode de l’hélicoptère marque, dans mon expérience vidéo-ludique (la belle expression), le début de la chute de la note que je voulais mettre au jeu. Au début je pensais à  un bon 7/10. Vraiment trop dur cet hélico, à  se demander s’ils (les développeurs) ont pensé à  une tactique pas trop dure à  trouver pour qu’on puisse le buter : 6/10. La suite de la mission vous fera découvrir autre chose : une intelligence artificielle alliée complètement à  la rue.

Vous avez une bonne vingtaine de gars qui viennent vous porter main forte : cool ! Seulement voilà , alors que vous allez à  couvert, ces imbéciles ne trouvent rien de mieux que d’aller se jeter sous les tirs ennemis. Super les gars, bien joué. Heureusement, vos super potes qui restent avec vous et à  qui vous pouvez donner des ordres (ils vous insulteront à  chaque fois, d’ailleurs), sont un peu moins cons et permettent, parfois, de vous sortir d’un sacré pétrin.

Mais ils peuvent aussi vous énerver comme pas possible : faut être con pour passer devant mon fusil alors que je mitraille l’ennemi. Ou alors d’aller aussi se jeter sous les tirs ennemis si j’oublie d’appuyer sur le bouton reste collé à  mes baskets pendant plus de 3 secondes. Non, vraiment, sur la fin, l’IA ne vaut vraiment plus rien : 5/10.

Dernier chapitre, on est dans la forêt. Bravo les arbustes qui apparaissent en même temps que nos pas, à§a m’a rappelé mes premiers jeux PC, tiens. De plus, les gars tellement camouflés qu’on ne sait même pas o๠ils sont si ce n’est une fois qu’on les a dépassé, bien vu aussi. A force de recommencer, on connait les positions par coeur et on peut avancer. Ha oui, parfois, alors que vous visez, un de vos potes vient placer sa tête (si ce n’est pas la votre) en plein milieu de votre écran vous empêchant de viser.

Bref, ce jeu m’a énervé. Il était pourtant bien parti, je pourrai continuer à  le critiquer, mais non, j’ai vraiment envier d’aller me coucher. Durée de vie : comptez 7-10h selon votre niveau d’hardcore gamer. 5h si vous n’êtes pas aussi patient que à§a pour certaines missions.

A part à§a, le mode multi a l’air sympathique, je ne sais pas si je l’essayerai à  l’occasion. Il faut que j’aille tester Viva Pinata. Ou aller m’injecter de la morphine, à§a me ferait du bien.

Kane & Lynch : Dead Men. Encore un jeu qui aurait eu besoin de 6 mois de développement supplémentaires pour le boucler de manière correct, que ce soit au niveau du game design que du scénario, histoire d’avoir un peu plus de profondeur.

Note : 4/10

3h19 du matin. Je viens enfin de finir Kane & Lynch. Pourquoi écrire ce test maintenant alors que je pourrai aller me coucher ? Pour la même raison qui m’a poussé à  m’acharner sur ce jeu jusqu’à  tà´t le matin : en finir une bonne fois pour toutes.

C’est parti pour le test de la partie solo mon coco.

3h20. Le test démarre. Je viens donc d’enfin terminer ce putain de jeu. Pourquoi m’être acharner ? Pour pouvoir vous dire ensuite c’est bon, j’l’ai terminé ce putain de jeu, j’aurai plus jamais à  y jouer. Pour le fun, et le succès, je me suis fait les deux fins. Oui, il y a deux fins, qui se produisent selon votre choix moral, c’est à  la mode en ce moment.

Je vous explique rapidement la fin sans trop de spoilers : soit vous vous barrez comme un traitre en hélicoptère, soit vous allez chercher certains de vos hommes qui sont encerclés. Attention, l’une des deux option vous offre le droit de prolonger votre souffrance.

Là  o๠les développeurs, sans faire injure à  la profession, pensent que seule notre morale décidera de la fin que l’on voudra donner au jeu, il semble plus qu’on saute direct dans l’hélico pour se dire putain à§a y est c’est fini. En gros maso que je suis, j’ai recommencé la dernière scène histoire de voir ce que valait l’autre fin….

C’est pourtant dommage, tout commence assez bien. Une histoire assez accrocheuse, des personnages complètement tarés avec chacun leur petite histoire derrière eux qu’on découvre petit à  petit… Non, franchement, au début je me demandais pourquoi les critiques avaient si sévères avec ce jeu.

Au début, tout commence assez bien.

Mais par la suite, à§a se gave sévère. A vrai dire, à§a devient n’importe quoi : vous débarquez dans une mission un peu après le milieu du jeu et là , la durée de vie du jeu explose de manière exponentielle : il faut recommencer au moins une quinzaine de fois cette saloperie de mission pour pouvoir buter c’t’hélicoptère de malheur. Un léger coup d’oeil au niveau de difficulté me confirme ce que je pensais : je suis toujours en mode normal, comme depuis le début.

Cet épisode de l’hélicoptère marque, dans mon expérience vidéo-ludique (la belle expression), le début de la chute de la note que je voulais mettre au jeu. Au début je pensais à  un bon 7/10. Vraiment trop dur cet hélico, à  se demander s’ils (les développeurs) ont pensé à  une tactique pas trop dure à  trouver pour qu’on puisse le buter : 6/10. La suite de la mission vous fera découvrir autre chose : une intelligence artificielle alliée complètement à  la rue.

Vous avez une bonne vingtaine de gars qui viennent vous porter main forte : cool ! Seulement voilà , alors que vous allez à  couvert, ces imbéciles ne trouvent rien de mieux que d’aller se jeter sous les tirs ennemis. Super les gars, bien joué. Heureusement, vos super potes qui restent avec vous et à  qui vous pouvez donner des ordres (ils vous insulteront à  chaque fois, d’ailleurs), sont un peu moins cons et permettent, parfois, de vous sortir d’un sacré pétrin.

Mais ils peuvent aussi vous énerver comme pas possible : faut être con pour passer devant mon fusil alors que je mitraille l’ennemi. Ou alors d’aller aussi se jeter sous les tirs ennemis si j’oublie d’appuyer sur le bouton reste collé à  mes baskets pendant plus de 3 secondes. Non, vraiment, sur la fin, l’IA ne vaut vraiment plus rien : 5/10.

Dernier chapitre, on est dans la forêt. Bravo les arbustes qui apparaissent en même temps que nos pas, à§a m’a rappelé mes premiers jeux PC, tiens. De plus, les gars tellement camouflés qu’on ne sait même pas o๠ils sont si ce n’est une fois qu’on les a dépassé, bien vu aussi. A force de recommencer, on connait les positions par coeur et on peut avancer. Ha oui, parfois, alors que vous visez, un de vos potes vient placer sa tête (si ce n’est pas la votre) en plein milieu de votre écran vous empêchant de viser.

Bref, ce jeu m’a énervé. Il était pourtant bien parti, je pourrai continuer à  le critiquer, mais non, j’ai vraiment envier d’aller me coucher. Durée de vie : comptez 7-10h selon votre niveau d’hardcore gamer. 5h si vous n’êtes pas aussi patient que à§a pour certaines missions.

A part à§a, le mode multi a l’air sympathique, je ne sais pas si je l’essayerai à  l’occasion. Il faut que j’aille tester Viva Pinata. Ou aller m’injecter de la morphine, à§a me ferait du bien.

Kane & Lynch : Dead Men. Encore un jeu qui aurait eu besoin de 6 mois de développement supplémentaires pour le boucler de manière correct, que ce soit au niveau du game design que du scénario, histoire d’avoir un peu plus de profondeur.

Note : 4/10

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