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L’acte fondateur d’Apple part pour 1.59 million de dollars

On vous en parlait il y a peu : l’acte fondateur d’Apple, marquant le début de l’aventure de la firme à la pomme (et daté du…

On vous en parlait il y a peu : l’acte fondateur d’Apple, marquant le début de l’aventure de la firme à la pomme (et daté du 1er avril de l’année 1976), a récemment été mis aux enchères chez chez Sotheby’s.

Signé de la main des Steve Jobs, Steve Wozniak et Ron Wayne, il aura finalement trouvé preneur… pour 1.59 million de dollars. Pour rappel, les diverses estimations évoquaient un prix final compris entre 100 000 et 150 000$. A croire qu’en 2011, il faudrait presque mieux investir dans les produits Apple que dans la pierre ?

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11 commentaires
  1. Ou comment confirmer qu’Apple est vraiment une secte.
    Je doute fort que les actes fondateurs d’autres grosses firmes partent à un prix aussi aberrant.

  2. Pas d’infos sur l’identité du C… consommateur d’actes fondateurs?

    J’imagine que ce doit être, quelqu’un en relation avec Cupertino, car ce document n’a aucun autre interêt (ni historique, ni juridique, ni PQ)

  3. (mettons de côté le fait que l’acte fondateur n’est pas un produit Apple et que la dernière phrase de l’article même si elle se veut humoristique, n’a rien à faire là… sauf peut-être un tentative maladroite d’inciter les gens à acheter des pommes…)

    La question que je posais sur le premier article sur cette vente : à qui revient l’argent ? Qui a vendu cet acte fondateur et gardera-t-il l’argent pour lui ou le reversera t-il à une association comme on a coutume de la faire (avec les ventes aux enchères de biens de stars par exemple) ?

  4. L’acte en elle même n’a pas de valeur.
    Son patrimoine Historique est sans prix.

    Combien êtes-vous prêt à payer un morceau de l’histoire humaine ?
    Pour moi, tout l’or du monde car… l’or en elle même n’as pas de valeur !

  5. Le plus intéressant dans cette histoire, c’est de constater que des documents d’entreprise sont vendus comme une oeuvre d’art, et presque considérés comme tel. Apple est une société qui a le même type d’admirateurs qu’un artiste, dont les fans finissent par s’intéresser à tout ce qui tourne à la vie de l’artiste, en dehors de sa production même. C’est assez révélateur d’un déplacement général vers des valeurs consumméristes, où les chefs d’entreprise deviennent les nouveaux modèles au même titre que les rock-stars et artistes.
    Glorification actuelle du consummérisme opposé à son rejet dans les années 60/70, rejet incarné par la contre-culture des 70’s que défendait ardemment un certain Steve Jobs à l’époque.

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