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Most Shocking Second a Day

Pour dénoncer l’impact de la guerre sur les enfants syriens, l’association humanitaire Save the Children a récemment posté une vidéo choc intitulée « Most Shocking Second…

Pour dénoncer l’impact de la guerre sur les enfants syriens, l’association humanitaire Save the Children a récemment posté une vidéo choc intitulée « Most Shocking Second a Day » montrant comment la vie d’une petite fille britannique pourrait rapidement basculer si un conflit similaire débutait en Grande-Bretagne.

En trois ans, la guerre civile syrienne aurait déjà emporté avec elle plus de 11 000 enfants et transformée plus d’un million en réfugiés. Save the Children qui serait déjà venu en aide à plus de 600 000 enfants lance à travers ce spot un nouvel appel aux dons.

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8 commentaires
  1. une communication bien réalisée (casting, mise en scène) mais ce qui gène le plus c’est que derrière tout ces messages associatifs, le vrai message est:

    “elle vous fait pitié? alors envoyez nous un chèque et on l’aidera.. enfin peut être”

    ma grand-mère avant qu’elle ne décède (il y a 4ans) avait fait un don à une œuvre humanitaire très connue et depuis ça boite aux lettres IRL et WEB ne cessent de se remplir chaque semaine de dizaines de courriers du genre “faites un don, vous ferez un heureux”, “faites un don, vous lui sauverez la vie”, “abonnez-vous et faites des heureux”.
    bref, de nos jours, ça sent plus le business sur le dos de la misère que les œuvres humanitaires qui ont la main sur le cœur.

  2. En France il y a l’association Barakacity qui s’occupe d’aider les syriens (entre autres) à travers les dons qu’elle reçoit (argent, vêtements…). Sauf qu’avec elle, il y a de nombreux retours sur Twitter, Facebook, des vidéos des projets réalisés, etc. Mais bien sûr il y a d’autres associations. Mais certes il faut bien s’informer avant d’envoyer votre argent à n’importe qui.

  3. La petite fille (l’innocence, la fragilité, etc), l’identification au contexte famillial, la montée en puissance de l’horreur (éclat de voix, puis cris, puis bruit stridant ou explosion), le “stress visuel” généré par les séquences courtes.

    Quelque soit la portée et la validité du message, c’est une belle campagne de propagande, qui joue beaucoup sur le pathos et le chantage affectif.

    Ceci étant dit, pendant toute la vidéo (non, plutôt sur sa fin), je pensais que c’était lié à l’Ukraine, mais non, c’est la Syrie. Comme quoi, ça démontre que la situation peut rappeler ce qui peut se passer partout…

  4. @n!kko : La réponse est simple. Faut donner à des petites assos de taille humaine (moins de 50 participants). Voir des assos locales.
    Il y en a plein et qui n’ont même pas de site web, ou budget pour faire de la com.
    Et se contentent de faire tourner des mails. Là ton don, tu le vois ce qu’il dévient, même un vieux T-shirt qui part pour quelqu’un défavorisé. Et pourtant ils sont réconnus utilité publique, si tu cherches à le réduire de tes impôts.

    Croix Rouge, Médecins sans F, Care fr, Sécours Cath, et plein d’autres, sont très bien, mais ils engendrent des coûts de communication et gestion diverses tellement énormes, que je préfère passer mon chemin. C’est un sacré mal pour un bien, mais je préfère faire un don efficace, où je sais qu’au moins 85% du don part vraiment pour ce qu’on donne, et c’est dépensé vraiment pour ce qu’il est fait.

  5. n!kko,

    Par exemple, tous les “bénévoles” en rouge (AIDS), bleu (Unicef), jaune, vert et autres qu’on voit dans Paris sont en fait payés.

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