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Airthings : de nouveaux capteurs pour mesurer la qualité de l’air

Connaitre la qualité de l’air est devenu indispensable pour bon nombre de personnes sensibles à la pollution (en particulier à l’intérieur des bâtiments) et aux allergies. Le constructeur norvégien Airthings propose une gamme de capteurs pour répondre à ce besoin.

Entre les particules fines, les polluants atmosphériques ou encore le dioxyde de carbone, la qualité de l’air que nous respirons se dégrade. Et cela ne va pas aller en s’arrangeant avec le réchauffement climatique et les niveaux de pollution qui augmentent. Par ailleurs, il est reconnu que l’air respiré en intérieur est de moins bonne qualité que l’air en extérieur.

Sus aux allergies et à la pollution intérieure

Les personnes les plus sensibles à la qualité de l’air sont de plus en plus nombreuses à vouloir connaitre la qualité de l’air de leur habitation ou de leur lieu de travail. Et pour cause : un Français sur quatre souffre d’allergies saisonnières selon l’Assurance maladie, et la fréquence de ces allergies grimpe sans cesse. La pollution de l’air est même responsable d’un décès sur dix en Ile-de-France, d’après Airparif et l’Observatoire régional de santé.

C’est pourquoi Airthings lance trois nouveaux capteurs. Le haut de gamme de cette entreprise basée à Oslo est le View Plus, un boîtier équipé d’un écran qui surveille la qualité de l’air intérieur (radon, particules fines, CO2, humidité, température, composés organiques volatils, pression atmosphérique). L’appareil est alimenté par piles ou via USB, il intègre le Wi-Fi et transfère ses données à une application mobile. Le modèle coûte 299 €.

Le View Pollution se concentre sur les matières particulaires et leur volume dans la maison. Il est doté de capteurs de PM2,5, d’humidité et de température et permet de garder à l’œil le taux de pollution ambiant et de vérifier le bon fonctionnement du purificateur d’air. Comptez 199 €.

Enfin, le View Radon est spécialisé dans le calcul du taux de radon, un gaz radioactif issu de la désintégration de l’uranium et du radium présents naturellement dans le sol et les roches. Il peut se fixer sur les aérosols de l’air et, une fois inhalés, se déposer le long des voies respiratoires en provoquant leur irradiation.

Le capteur prévient de l’exposition au gaz cancérigène du radon et il va plus loin, en offrant le contrôle du taux d’humidité et de la température et ainsi éviter les moisissures, les acariens, les irritations cutanées et la propagation de virus permettant également d’améliorer le sommeil et la productivité. Ce modèle est vendu 199 €.

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Source : Airthings

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