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Box-office : Voici les plus gros flops de l’année 2018

L’année arrive à son terme et l’heure est au bilan dans tous les secteurs. Dans le cinéma, si certains blockbusters ont su se démarquer, d’autres se sont vraiment ramassés.

Black Panther, Les Indestructibles 2, Avengers ou encore Le Grand Bain à l’échelle française. Durant l’année 2018, plusieurs longs-métrages ont connu un véritable succès au box-office mondial. Comme le montre le dossier de Variety, d’autres projets n’ont cependant pas eu cette chance.

Millénium : Ce Qui Ne Me Tue Pas

  • Coûts de production : 43 millions
  • Recettes mondiales : 31 millions

Millenium : Ce qui ne me tue pas, l’adaptation du roman de David Lagercrantz, n’a pas su profiter de la popularité de la saga Millénium.

Les Frères Sisters

  • Coûts de production : 38 millions
  • Recettes mondiales : 9 millions

Malgré des critiques élogieuses et une intrigue qui pouvaient attirer un large public, le western de Jacques Audiard a fait un vrai flop au box-office. Le film n’a récolté que 9 millions de dollars, un montant famélique au vu des 38 millions de coûts de production.

Robin Des Bois

  • Coûts de production : 100 millions
  • Recettes mondiales : 65 millions

Malgré son beau casting (Taron Gerton, Jamie Foxx, etc.), le film réalisé par Otto Bathurst a rapporté beaucoup moins que ce qu’il a coûté.

Un raccourci dans le temps

  • Coûts de production : 100 millions
  • Recettes mondiales : 132 millions

Malgré des coûts de production élevés et un casting étoilé (Oprah Winfrey, Reese Witherspoon, Zach Galifianakis…), le film n’a pas dégagé de grosses recettes.

Casse-noisette et les quatre royaumes

  • Coûts de production : 120 millions
  • Recettes mondiales : 138 millions

Deuxième production Disney et deuxième flop. A l’approche des fêtes de Noël, Casse-Noisette et les quatre royaumes devait enchanter la fin d’année. Les recettes n’approchent cependant que péniblement les 140 millions de dollars.

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12 commentaires
  1. Désolé mais je pense que tous les films qui ont dépassés les couts de production ne sont pas des flop . c’est juste que  les investisseurs ont moins reçus d’argent dans leur poches et pour eux c’est un flop

  2. Si on considère qu’un film est un flop s’il rapporte moins qu’il n’a couté, 96% des films français sont donc des flops (stats 2014 toute exploitation confondue). Seuls 4% des films français sont rentables (mais financés par nos impôts alors ça va).

  3. Vous êtes un peu durs avec Casse-noisette.
    Il est toujours à l’affiche et n’est là que depuis 2 semaines…. 🙄

  4. Je vais me permettre de critiquer sévèrement Un raccourci dans le temps sans l’avoir vu (ce qui ne se fait pas pourtant, et je serais le premier à le dire..) mais ça a l’air bien bien bien raté d’après ce que j’ai pu voir des différents trailers. Donc je suis assez content de le voir là.

  5. Le problème c’est qu’on n’ose pas réfléchir à faire dans l’originalité. Il faut dire que l’originalité est un risque et que ça plait rarement aux spectateurs…
    Du coup tous les films se ressemblent alors forcément les spectateurs ne vont se déplacer que pour un film sur 10, celui en gros qui se sera montré le plus à la tv et/ou qui aura réuni le plus gros casting.
    Et au final… en gros, les films sans casting et promo n’ont pas coûté cher mais personne ne va les voir et les films avec du casting et/ou de la promo ont coûté cher et, même si elles rencontrent un succès au box office, ramènent souvent moins d’argent qu’elles n’en ont coûté aussi…
    Reste quelques exceptions qui doivent constituer les 5-10% de succès financiers.
    Voilà pour mon analyse de comptoir.

  6. Un flop c’est bien un film qui n’a pas attiré assez de monde par rapport à l’investissement. C’est un peu comme si tu montes une team de D1 et qu’elle n’a le niveua que pour la D2.
    C’est un peu floue cette notion de flop.

  7. “nos impôts” : si tu fais référence aux financements du CNC (je ne vois pas à quoi d’autre, mais on ne sait jamais), ils viennent des salles de cinéma, des chaînes de télévision, et des éditeurs ou distributeurs. Difficile de considérer ça comme “nos” impôts, non ?

    Quant aux 4% de films rentables en 2014 (ce qui me paraît assez plausible, hélas), je veux bien un lien, stp.

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