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Tesla a présenté un produit étonnant pour augmenter l’autonomie de ses voitures

Tesla travaille sur une remorque équipée de panneaux solaires se déployant afin de collecter le maximum d’énergie possible. Un concept étonnant que le constructeur ne devrait pas commercialiser, à moins que l’intérêt soit au rendez-vous.

À Hanovre, le salon IdeenExpo a été le théâtre d’une présentation inédite de Tesla. Le constructeur américain a dévoilé une remorque qui déploie des panneaux solaires. De quoi recharger la batterie d’une Model 3 ! Et Tesla ne s’est pas arrêté en si bon chemin : la remorque est équipée d’un récepteur Starlink pour accrocher le réseau internet par satellite de la filiale de SpaceX.

Une remorque pleine de talents

L’idée est intéressante. Plusieurs constructeurs mettent au point des systèmes de cellules solaires pour alimenter la batterie des véhicules, mais c’est encore un champ de recherche. Des propriétaires de voitures électriques ont aussi pensé à des remorques afin d’en augmenter l’autonomie. Mais c’est la première fois que Tesla confirme s’intéresser à ce domaine.

Malheureusement, le constructeur n’a pas donné de détail, et encore moins s’il avait l’intention de commercialiser une telle remorque. Néanmoins, l’apport en énergie de l’appareil est assez modeste. S’il s’agit de panneaux de 300W, et ils ont déjà l’air trop petits pour ça, le maximum que la remorque pourrait générer serait de 2,7 kW, autrement dit quelque chose comme 80 km par jour (ou le tiers sans le déploiement de tous les panneaux).

Le jeu en vaut-il la chandelle ? Pour certains automobilistes, probablement ! Peut-être que Tesla voulait jauger l’intérêt du public pour ce type de produit, et en fonction des retours, le constructeur pourra améliorer le rendement énergétique. Il est aussi très intéressant de noter que la participation de l’entreprise à ces salons se limite souvent à un exercice de recrutement de talents. À Hanovre, elle a voulu marquer le coup avec une attraction qui sort de l’ordinaire.

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8 commentaires
  1. on devrait dénoncer le mensonge de l’empreinte carbone.
    Le réchauffement climatique était prévu par les scientifiques sans les années 79 .On disait en l’an 2000 il y aura l’été nucléaire.
    On avait calculé que le développement des centrales nucléaires allait produire un très important réchauffement climatique.
    Mais le lobby nucléaire veille et Big Brorher nous envoie sur de fausses pistes.
    Il nous a d abord fait croire que c’étaient les gaz des bombes aérosols qui attaquaient la cou Hé d’ozone les responsableset on les a interdit.
    Maintenant c’est le gaz carbonique qui produit un effet de serre. Bientôt ce sera les vaches qu on interdira après les voitures et on nous fera manger de la viande synthétique.
    Si on est obligé d’arrêter les centrales l’été car elles réchauffent trop les cours d’eau, comment peut on soutenir que l’énorme nuage de vapeur que produit une centrzle ne réchauffe pas l’atmosphère?

  2. Blablabla le nucléaire c’est le mal, blablaba les théories du complot…”dénoncer le mensonge de l’empreinte carbone” alors qu’on est en plein dans la réalité du réchauffement climatique, qu’elle bonne blague.
    Surtout quel rapport avec l’article ???

    Bon du coup je vais quand même prendre le temps de répondre :

    – le seul gros problème du nucléaire, ce sont les déchets qu’il produit et leur stockage. On reste actuellement sur une énergie qui a une empreinte carbone faible comparée aux gaz, hydrocarbure et cie…et on continu de faire évoluer la technologie, actuellement il y a de gros espoirs concernant le recyclage des déchets nucléaires.

    – oui, les gaz et aérosols etaient responsables en grande partie du trou dans la couche d’ozone, et ils ont étés interdit. On a même eu un rapport sur la resorbation du dit trou il y a quelques années.

    – L’élevage des bovins et autres espèces…est malheureusement une des causes majeurs de la production de gaz à effet de serres. L’énergie nécessaire pour produire juste un kilo de viande est affolante. On a de très bon reportage sur ce sujet.

    – Les voitures thermiques sont aussi dans le top de production des émissions. La commission européenne à juger la fin de leur commercialisation d’ici quelques années. Les voitures électriques ne sont pas parfaites, mais là encore la technologie évolue et leur empreinte carbone reste plus faible que celle des thermiques.

    Il n’y a pas de solution parfaite et Tesla n’est sûrement pas tout blanc dans leur façon de faire, mais ils ont le mérite de proposer des solutions ou des idées.

  3. Le nucléaire a besoin de beaucoup moins d’emprunte au sol, de masse de beton, de metal à energie produite equivalente. Donc par gramme de “carburant” (atome d’uranium versus atome de pétrole)
    Ce facteur est environ 1000.
    Ceci est du au fait que l’energie d’un atome de type atomique est 1000x plus importante que l’energie de l’atome de type thermique.
    Les soucis d’approvisionnement on les aura de toute facon pour les autres ressources: sable, metal, petrole. Donc la question de la ressource uranium n’est pas un sujet (differentient).

    Le souci des déchets est à gerer en effet. Mais entre la peste et le choleras….

  4. Manque plus que 2 percherons à l’avant pour tirer le tout et là Tesla aura enfin une offre complète ! Haha ! 😉

  5. Le surpoids à tirer … tirera plus sur la batterie.
    De façon minime, mais selon la cadence deplacement /deploiement à l arret
    – ensoleillement, parfois le jeu n’en voudra pas la chandelle.
    Comme tout outil, tout solution technique, il faut determiner dans quelle gamme d’usage et quel contexte ça peut etre approprié.

  6. Pourquoi ne pas mettre des pédales à la place du passager et une génératrice pour recharger la batterie. Cela rendra le covoiturage plus pratique ! Lol

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