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Citroën lance son premier vélo électrique, le City

Pour son entrée sur le marché du vélo électrique, Citroën n’a pas forcé son talent. Le constructeur français lance en effet avec le City un modèle très simple à moins de 1.000 €.

À l’instar de nombreux concurrents, Citroën se lance dans les vélos à assistance électrique ! Mais contrairement à d’autres, la marque automobile française a choisi de faire profil bas. Le City n’a en effet rien de remarquable, au premier sens du terme : son design est assez basique et ses prestations sont d’entrée de gamme. Le vélo a cependant pour lui un prix intéressant, à 990 €.

Un vélo simple et bon marché

La gamme City a fait ses premiers pas en Allemagne et en Suisse notamment. Elle est désormais disponible en France, où on peut la trouver chez Boulanger (d’autres distributeurs devraient suivre). Le premier, et unique modèle pour le moment, est équipé d’un moteur de 250 watts (le maximum autorisé en France) installé dans le moyeu de la roue arrière.

La batterie, intégrée sous le porte-bagages, affiche une capacité de 360 Wh. Citroën avance une autonomie de 45 kilomètres, ce sera peut-être moins dans la vraie vie. Le modèle à cadre ouvert en aluminium est doté de roues de 28 pouces, d’un dérailleur six vitesses, d’une fourche rigide. Il est fourni avec une béquille et un porte-bagage.

© Citroën

Plutôt que de développer un vélo en interne, Citroën a fait appel aux services de Asia Kingston Ltd, qui fournit des VAE sous marque blanche à plusieurs marques.

Ce vélo est un premier pas pour Citroën, qui entre sur le marché du VAE par la petite porte. Il est tout de même un peu dommage que le constructeur n’ait pas su donner la pleine mesure de son talent : après tout, il a su imposer sa marque dans le secteur des (toutes) petites voitures électriques avec l’AMI. C’est dommage que cette audace ne soit pas mise au service des vélos électriques !

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5 commentaires
  1. Je dirais même des vélos bridés à prix déraisonnable ! Ok je sors….
    Non sans blaguer, il y a des petits constructeurs français, il serait quand même mieux de les favoriser… Ils auraient plus de vente donc leurs prix deviendraient attractifs.. Et on créerait de l’emploi chez nous…

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