Qui aurait cru que La Casa de Papel aurait droit à une saison 5 à l’époque ? Pas nous et pas les scénaristes apparemment tant la série nous aura offert un spectacle de plus en plus navrant au fil des intrigues superficielles et des personnages incohérents dans le seul but de prolonger artificiellement le show. Mais comme on suit les aventures du Professeur et de sa bande de braqueurs aux noms de villes depuis le début, on a quand même envie de voir comment tout s’achève. Comment tout s’achève vraiment cette fois. On est peut-être un brin masochistes.
Netflix nous dévoile ainsi le premier volume de la saison 5 au doux son de baroud d’honneur parce que cette fois, c’est la der des ders. Promis, juré, craché. La preuve, le premier épisode des cinq composants cette première fournée s’intitule « Au bout du rouleau ». On pourra reprocher beaucoup de choses à cette conclusion partie 1, mais pas sa lucidité sur ce que la série est devenue.
Tout d’abord, petit rappel des faits : le Professeur a été compromis et ne peut plus aider des braqueurs livrés à eux-mêmes et sans plan. De leur côté, les autorités décident d’envoyer l’escadron de la mort façon on tire d’abord, on compte les dommages collatéraux ensuite.
Gros moyens pour petites idées
Ce qui va ensuite se passer à l’écran semble refléter l’état dans lequel se trouvent les scénaristes : une absence totale d’inspiration poussant au tout à l’action. S’étant perdue auparavant en multiples rebondissements fins comme des menhirs, la série n’a plus de jus et préfère y aller franchement dans le déluge de plomb afin de faire passer la pilule.
Balles illimitées, lance-flamme, lance-roquette, grenade… La Casa de Papel part en guerre contre son propre schéma de narration pour tout faire sauter façon Rambo III. Un changement de stratégie amené évidemment maladroitement (on a l’habitude maintenant) qui a néanmoins le mérite de nous offrir un peu de frais et de distraction. Tant que ça pète, les personnages n’ont pas trop le temps d’être insupportables et le show se perd moins dans son propre labyrinthe.
C’est aussi l’occasion de nous proposer quelques idées sympathiques accouchant d’un petit miracle : rendre touchante Tokyo. À travers des flashbacks exposant enfin son passé et sa relation avec Rio, notre rebelle gagne en épaisseur et il était temps.
Dans l’ensemble, on peut dire que ce climat de danger permanent bénéficie à la série qui peut désormais parvenir à créer la surprise sans trop y aller au forceps : en mettant ses protagonistes en situation de mort imminente à chaque échange de tir. Fini les plans interminables prévus 869 épisodes à l’avance, là on est dans l’immédiat, dans des situations hors de contrôle. Incroyable, en faisant aveu de faiblesse sur sa capacité à tenir en longueur, La Casa de Papel parvient un peu à se renouveler. Comme quoi l’honnêteté paie plus que les braquages.
La Casa de Papel, il était une fin… tardive
Ce léger regain d’intérêt n’enlèvera pas par magie tout ce qui a fait de la série Netflix la définition télévisuelle de « tirer sur la corde ». Si l’action prend tout le pas sur le reste, c’est bien parce que le show n’a strictement plus rien à raconter. Même les incohérences systématiques se font presque moins grossières tant elles ne cohabitent qu’avec du vent. On les regarde donc passer sans nous arrêter, nous contentant de les saluer de la main.
Nos héros sont vidés littéralement et chacun semble se demander ce qu’il pourrait à nouveau dire ou faire pour exister. Mention spéciale au Professeur et à l’inspectrice qui font comme nous et se contentent de regarder. Même leurs éternelles prises de bec juvéniles n’arrivent même plus à nous agacer tant elles sonnent faux, rajoutées là pour étoffer un peu le scénario.
En parlant de scénario en panne, il faut saluer le plus gros ajout inutile de cette première partie de saison : notre éternel Berlin. On sait que les scénaristes apprécient, tout comme les fans, le bonhomme, mais au moins ses précédents flashbacks dédiés avaient le mérite d’explorer le passé du Professeur et des nouveaux membres de l’équipe. Sauf que là, cette intrigue secondaire n’a strictement aucun lien avec le présent. À moins que la seconde partie (et on le sent venir) nous réserve une nouvelle pirouette. À part casser le rythme des fusillades et tenter de gagner du temps sur l’avancement des événements, on a du mal à voir quel rôle joue cette péripétie inintéressante.
La Casa de Papel saison 5 volume 1 oscille donc entre coup d’accélérateur et remplissage, comme si la série était pressée d’en finir tout en retardant son exécution. On a envie de dire aux scénaristes la même chose qu’à nous-mêmes : « Courage, plus qu’une poignée d’épisodes à tenir ! »
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Pour dire de la ***** sans aucun respect ! ne regardez pas ce que vous ne comprenez pas !!!!!
J’ai aimé les premières saisons mais celle-ci est mauvaise, les schémas se répètent, les dialogues sont gênants (méchant raciste/méchant homophobe/ma fille est trans est c’est trop cool) j’ai trouvé ça sympa d’ajouter un perso trans mais c’est tellement mal amené et forcé.
J’ai pas réussi à avoir de l’empathie pour un seul personnage cette saison et j’ai lutté pour pas décrocher, quand j’ai fini la première chose que je me suis dites c’est “vivement que ça se termine”.
Merci pour ce beau résumé qui m’empêchera tout bonnement de perdre du temps à regarder une saison qui semble s’annoncer encore plus catastrophique et ridicule que la 4ème !
absolument d’accord
Plus de 1ans pour une première partie a 5 épisodes ? .. je ne comprends pas autant fair une seul dernière partie a plus de 10 episodes !
Tout simplement par rapport au covid….
Je dois bien avouer que la première saison m’a plu…
Ça a commencé à sentir le moisi dès la deuxième. La troisième était pathétique, j’ai abandonné au deuxième épisode.
Moi j’ai bien aimé. Si vous pensez que de parler encore de Berlin dans la saison 5 n’a pas de sens c’est que vous n’avez rien compris. Évidemment que la raison sera donnée dans la partie 2.
Je pense en effet que le fils de Berlin va se manifester d une manière ou d une autre dans la fin de la série c est sur sinon je vois aucun intérêt. Mais j avoue que revoir le génie barjo de Berlin fait du bien 🤣
C’est complètement n’importe nawak cette saison. Entre le mec qui risque d’être paralysé à cause d’un éclat, qui se fait éclater ensuite la tronche et quelques épisodes suivants il repart à l’attaque comme si de rien n’était 🙄
Et l’équipe de militaires, on se croirait dans un jeu vidéo tellement c’est grotesque…
Faut dire qu’on regarde toujours un film pour son réalisme.
Il faut prendre cette fiction pour une fiction. Cette saison n’est pas mauvaise. Mais faut pas regarder casa de papel comme on regarde un film d’auteur. C’est comme aller a un spectacle de maternelle voir son enfant et dire que c’est vraiment pas à la hauteur d’un balais russe.
Complètement ****** et riducule. Des milliers de balles des grands et des tirs dans toute les sens et presque aucun mort. Comme c’est si des balles de chewing-gum. Gundia il était gravement blessé et il a besoin de soins intensif et dans quelques minutes après il rejoint l’équipe militaire comme c’est il avis rien.. Et pleins erreurs dans la série. Saison nul
Non mais c’est pas une saison 5 c’est seulement la suite de la saison 2 qu’ils nous font en 4 partie !!
Y’a plus d’saison ma p’tite dame tout est mélangé aujourd’hui 🤦🏽♂️🙄
Exactement ce que je pense au mot près !!!
Ok
En même temps personne ne force à regarder cette série 😅
Que de critiques envers cette série que je trouve haletante. Beaucoup oublient que l’équipe de braqueurs n’ont pas grand chose à perdre et beaucoup à gagner, qu’ils ne sont pas enfants de coeur, que l’ingénieux professeur a pensé à tous les cas de figure qui justifient qu’ils soient armés jusqu’au dent (lance-roquette, lance-flamme, etc). En face la police s’organise au même niveau et font par la suite appel à des mercenaires pour équilibrer la balance guerrière. Finalement beaucoup de cohérence, pour un final apocalyptique.
Bien sûr l’immortel Gandia est irritant et provocateur jusque dans ses blessures qui le signent à l’article de la mort, mais qui ne l’empêchent pas de repartir au combat, quel héros !
Pour le reste, faut-il le rappeler, ce n’est qu’une fiction, on aime le genre ou on n’aime pas, moi j’adore.
Carément déçue…..Sans le professeur ce n’est plus la casa de appel, des scènes trop longues…..pourquoi avoir fait deux volumes si il n’y a plus d’inspiration ? c’est bon pour perdre les téléspectateurs…
C’est dommage car j’étais prête à regarder 10 épisodes d’affilés mais là 5 faisaient beaucoup…..
enfin je tenterai de regarder le volume 2 ….mais si c’est comme je le pense avec des scènes à rallonge pour étirer la saison. Je lâcherais si d’autres saisons …..
C’est à cause de personnes comme vous que les séries s’arrêtent 🙄la critique est facile quand on ne fait rien.
Très déçu
Bravo des critiques comme ça je suis déçue … personnellement je suis un grand fan de la casa de papel et je peux vous dire que la saison 5 c’est une tuerie j’ai grave kiffer et si beaucoup n’aime pas pourquoi donner votre opinion … la casa de papel était , est et restera la meilleur série Netflix point .
Franchement j’ai aimé la série mais la saison 5 c’est du grand n’importe quoi
Comment une femme enceinte sur le point d’accoucher et seule peut neutraliser
le professeur et deux de ces acolytes Le mec a monté deux super cambriolage pour se faire avoir aussi simplement
Cela n’est pas crédible
Vraiment voir la saison 5 je suis legerement un peu deçu surtout la mort de Tokyo frachiment je suis foncièrement perdu Elle ne peut pas nous quittée j’aime sa façon de jouer bien sûr. Mais en tout merci.
cest bien beau mais je n ai rien compris de la fin et je ne suis pas gnaiseuse alors les intelligents me la dise
Déçue de la 1ère partie de cette saison 5. Juste les mêmes épisodes vus dans la saison 4. Espérons du nouveau dans les derniers épisodes de cette saison en Décembre. Dommage, j’ avais adoré la série.
j ai aimer la sison 123 4 mes la 5 jai pas vue la deuxieme parti et compte pas la voire
j ai aimer casa de pala j aime la seri 123 casad de ppeael 4 moyen et 5 pas du tout