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Test : Patapon (PSP)

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Ma DS Lite fait la gueule. Genre la grosse gueule de bois. Elle qui était habituée à  se moquer de sa rivale nippone, car bien plus poussiéreuse qu’elle, doit se résigner à  ronger son frein. Depuis que Patapon est sorti, c’est un chargeur PSP qui a dû être ressorti tellement ce jeu est addictif et prenant. Voici pourquoi vous vous devez d’avoir ce jeu chez vous.

Ma DS Lite fait la gueule.

Genre la grosse gueule de bois. Elle qui était habituée à  se moquer de sa rivale nippone, car bien plus poussiéreuse qu’elle, doit se résigner à  ronger son frein.

Depuis que Patapon est sorti, c’est un chargeur PSP qui a dû être ressorti tellement ce jeu est addictif et prenant. Voici pourquoi vous vous devez d’avoir ce jeu chez vous.

Topo rapide du jeu : vous êtes le Tout-Puissant, un être qui contrà´le le rythme des tambours qui régissent la vie des Patapons, vos disciples. Ces derniers veulent arriver au bout du monde pour LE voir. Vous allez donc devoir les aider en battant les tambours en rythme face à  divers adversaires.

Le principe du jeu est donc simple : chaque touche (croix, rond, triangle et carré) correspond à  un tambour. Mais on ne tape pas n’importe comment sur ces tambours, il faut apprendre des chants qui guideront vos Patapons : avancer, attaquer, se protéger… Vous apprendrez ces chants au fur et à  mesure.

Exemple : “Pata” correspond à  Carré et “Pon” à  Rond. Le chant Pata Pata Pata Pon fera avancer vos Patapons… Seulement, il faut respecter un rythme dicté par le jeu pour que cela fonctionne bien. Au bout de 10 chants, ou avant si vous maitrisez parfaitement le rythme, vous mettrez en transe vos Patapons qui seront plus mieux meilleurs qu’avant.

Relativement basique au départ, les cinq premières heures de jeu vous serviront grosso modo à  vous faire la main, Patapon se révèlant être un jeu extrêmement tactique et subtile au fur et à  mesure. En effet, vous devrez former vos troupes, choisir comment les équiper avec les armes et boucliers trouvés sur les champs de bataille et enfin choisir quels types d’unités envoyer sur le terrain en fonction de votre adversaire…

Ainsi, pour chasser du gibier, il vaudra bien mieux envoyer les archers que les soldats : à  l’approche de ces derniers, les animaux ont tendance à  déguerpir assez rapidement. C’est un exemple simple mais on se rend vite compte que la tactique est un facteur prédominant pour avancer dans le jeu. Des petits écrans conseils viennent vous filer un coup de main pendant les chargements. A prendre aussi en compte : les facteurs météorologiques.

Bref, on se trouve dans un vrai jeu de stratégie en temps réel o๠il ne faut pas perdre le rythme : attaquer à  tout bout de champ vous conduira à  votre perte… Paniquer à  un moment donné vous fera perdre votre mode “Fever” et vous connaitrez le même destin funeste.

Là , pas de panique : si vous échouez à  une mission, vous pourrez la recommencer autant de fois que vous le souhaiterez sans être pénalisé. Pas de pertes de soldats ou d’armes, par exemple.

La difficulté va crescendo même si, vers la fin du jeu, certains pics de difficultés sont assez étranges. Il m’est arrivé de bloquer face à  un adversaire pendant un petit moment puis une fois mon équipe assez “boostée” pour passer cet adversaire, les missions suivantes se sont déroulées le plus facilement du monde…

Oui car un des points fort du jeu est que vous pouvez refaire les missions de chasse et de boss que vous avez déjà  faites. Vous pourrez ainsi récolter d’avantage de “vie” et d’armes vous permettant d’améliorer votre armée. Si le niveau des missions de chasse reste strictement identique, les niveaux de boss, eux, augmenteront d’un niveau après chaque confrontation victorieuse.

Ce système de jeu permet à  chacun d’avancer à  son rythme : soit vous foncez tête baissé dans les nouvelles missions, soit vous prenez votre temps pour bien fignoler votre armée… Durée de vie potentiellement infinie !

Quelques petits mini-jeux, toujours basés sur le rythme, viendront aussi vous aider, petit à  petit dans le jeu, afin de faire naitre de “super Patapon”. Bref, vous n’aurez aucune excuse si vous n’arrivez pas à  terminer Patapon, tout est fait pour, qu’à  force d’abnégation, vous passiez les obstacles face à  vous.

Parlons-en, de la durée de vie ! J’ai terminé le jeu en une quinzaine d’heures, sachant que je n’ai pas spécialement trainé en route… Et comme dit précédemment, vous pouvez recommencer tous les boss précédents et continuer à  booster votre armée jusqu’à  bon vous semble ! D’ailleurs je ne pense pas abandonner le jeu de sità´t…

Points faibles : impossibilité de faire de pause pendant le jeu (!!), obligation de jouer avec le son (pas de métro sans casque, donc), informations trop peu nombreuses concernant certains matériaux, une difficulté parfois mal gérée, pas de multi.

Points forts : un système de jeu addictif, simple et accessible mais qui possède ses subtilités, une musique entêtante plusieurs heures après avoir éteint votre console, une difficulté progressive et la possibilité de pouvoir recommencer les missions pour s’améliorer.

Note : 9/10

Ce Patapon apporte une vrai bouffée d’oxygène à  la PSP et j’attend avec impatience un nouvel opus !!

Ma DS Lite fait la gueule.

Genre la grosse gueule de bois. Elle qui était habituée à  se moquer de sa rivale nippone, car bien plus poussiéreuse qu’elle, doit se résigner à  ronger son frein.

Depuis que Patapon est sorti, c’est un chargeur PSP qui a dû être ressorti tellement ce jeu est addictif et prenant. Voici pourquoi vous vous devez d’avoir ce jeu chez vous.

Topo rapide du jeu : vous êtes le Tout-Puissant, un être qui contrà´le le rythme des tambours qui régissent la vie des Patapons, vos disciples. Ces derniers veulent arriver au bout du monde pour LE voir. Vous allez donc devoir les aider en battant les tambours en rythme face à  divers adversaires.

Le principe du jeu est donc simple : chaque touche (croix, rond, triangle et carré) correspond à  un tambour. Mais on ne tape pas n’importe comment sur ces tambours, il faut apprendre des chants qui guideront vos Patapons : avancer, attaquer, se protéger… Vous apprendrez ces chants au fur et à  mesure.

Exemple : “Pata” correspond à  Carré et “Pon” à  Rond. Le chant Pata Pata Pata Pon fera avancer vos Patapons… Seulement, il faut respecter un rythme dicté par le jeu pour que cela fonctionne bien. Au bout de 10 chants, ou avant si vous maitrisez parfaitement le rythme, vous mettrez en transe vos Patapons qui seront plus mieux meilleurs qu’avant.

Relativement basique au départ, les cinq premières heures de jeu vous serviront grosso modo à  vous faire la main, Patapon se révèlant être un jeu extrêmement tactique et subtile au fur et à  mesure. En effet, vous devrez former vos troupes, choisir comment les équiper avec les armes et boucliers trouvés sur les champs de bataille et enfin choisir quels types d’unités envoyer sur le terrain en fonction de votre adversaire…

Ainsi, pour chasser du gibier, il vaudra bien mieux envoyer les archers que les soldats : à  l’approche de ces derniers, les animaux ont tendance à  déguerpir assez rapidement. C’est un exemple simple mais on se rend vite compte que la tactique est un facteur prédominant pour avancer dans le jeu. Des petits écrans conseils viennent vous filer un coup de main pendant les chargements. A prendre aussi en compte : les facteurs météorologiques.

Bref, on se trouve dans un vrai jeu de stratégie en temps réel o๠il ne faut pas perdre le rythme : attaquer à  tout bout de champ vous conduira à  votre perte… Paniquer à  un moment donné vous fera perdre votre mode “Fever” et vous connaitrez le même destin funeste.

Là , pas de panique : si vous échouez à  une mission, vous pourrez la recommencer autant de fois que vous le souhaiterez sans être pénalisé. Pas de pertes de soldats ou d’armes, par exemple.

La difficulté va crescendo même si, vers la fin du jeu, certains pics de difficultés sont assez étranges. Il m’est arrivé de bloquer face à  un adversaire pendant un petit moment puis une fois mon équipe assez “boostée” pour passer cet adversaire, les missions suivantes se sont déroulées le plus facilement du monde…

Oui car un des points fort du jeu est que vous pouvez refaire les missions de chasse et de boss que vous avez déjà  faites. Vous pourrez ainsi récolter d’avantage de “vie” et d’armes vous permettant d’améliorer votre armée. Si le niveau des missions de chasse reste strictement identique, les niveaux de boss, eux, augmenteront d’un niveau après chaque confrontation victorieuse.

Ce système de jeu permet à  chacun d’avancer à  son rythme : soit vous foncez tête baissé dans les nouvelles missions, soit vous prenez votre temps pour bien fignoler votre armée… Durée de vie potentiellement infinie !

Quelques petits mini-jeux, toujours basés sur le rythme, viendront aussi vous aider, petit à  petit dans le jeu, afin de faire naitre de “super Patapon”. Bref, vous n’aurez aucune excuse si vous n’arrivez pas à  terminer Patapon, tout est fait pour, qu’à  force d’abnégation, vous passiez les obstacles face à  vous.

Parlons-en, de la durée de vie ! J’ai terminé le jeu en une quinzaine d’heures, sachant que je n’ai pas spécialement trainé en route… Et comme dit précédemment, vous pouvez recommencer tous les boss précédents et continuer à  booster votre armée jusqu’à  bon vous semble ! D’ailleurs je ne pense pas abandonner le jeu de sità´t…

Points faibles : impossibilité de faire de pause pendant le jeu (!!), obligation de jouer avec le son (pas de métro sans casque, donc), informations trop peu nombreuses concernant certains matériaux, une difficulté parfois mal gérée, pas de multi.

Points forts : un système de jeu addictif, simple et accessible mais qui possède ses subtilités, une musique entêtante plusieurs heures après avoir éteint votre console, une difficulté progressive et la possibilité de pouvoir recommencer les missions pour s’améliorer.

Note : 9/10

Ce Patapon apporte une vrai bouffée d’oxygène à  la PSP et j’attend avec impatience un nouvel opus !!

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