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Des prêts pour le Kindle

C’était un des plus de la gamme Nook de Barnes & Noble, et bien Amazon a profité de l’annonce de Barnes & Noble pour annoncer la…

C’était un des plus de la gamme Nook de Barnes & Noble, et bien Amazon a profité de l’annonce de Barnes & Noble pour annoncer la possibilité désormais de prêter ses livres électroniques. Le prêt est de 14 jours et évidemment, une fois prêté, il ne sera plus disponible sur votre Kindle. A noter que vous n’êtes pas obligé d’avoir un Kindle pour profiter du prêt, la simple application (PC, Mac, iOS, Android, etc…) suffit.
Par contre, cette fonction ne dépend pas d’Amazon mais des éditeurs qui peuvent ne pas autoriser cette fonction. Du coup, si les éditeurs ne l’activent pas, cette annonce n’a plus grand intérêt si ce n’est que quoi qu’il arrive, vous récupérerez votre livre à la fin ^^.

Pour plus d’infos, c’est par ICI.

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4 commentaires
  1. Encore un truc gerbant qui fera qu’on préfèrera toujours un livre papier…

    Si les DRM arrivent même sur les ebooks…

  2. J’aimerai ca un ebook, j’ai beaucoup de manuel en pdf et avoir un ebook comme 2eme écran me ferais gagner beaucoup de temps plutot que de passer à l’application que j’apprends et le manuel, mais vu le prix de ces petit joujou comparativement à des mini laptot, quelle est / sont les avantages pour un ebook face au mini pc ?

    Merci

  3. “Si les DRM arrivent même sur les ebooks…”

    Heu… sont là depuis le début du business du livre numérique, rien de neuf. Sauf que comme les européens connaissent énormément les livres de projets Gutenberg, ils sont peut être pas au courant que Kindle Store et consorts ont un système basé sur les DRM.

    Pour les auteurs indépendants d’ailleurs, c’est un choix / option qu’ils peuvent faire à la publication et ne peuvent pas changer. Certains services genre Lulu facturent même à hauteur de 75 cents (1 dollar) si on la choisit.

    Après, ce qui est encore un autre problème non négligeable, c’est le non support du format .ePub (qui se voue à être le format universel d’eBook vu son interopérabilité) par Amazon sur son Kindle… qui préfère son format proprio bien merdique et qui fournit pas des outils au top pour les auteurs “DTP” (sous Mac, certains préfèrent convertir via le terminal pour s’assurer que leur mise en page, chapitrage, etc soit parfaitement correct…)
    Je parle même pas du côté utilisateur où format proprio + DRM, ça vaut dire enfermé dans l’ecosystème Amazon… (et comme le fichier est vérifié et validé à chaque ouverture du livre…)

  4. Bein ils sont astucieux, si tu prêtes un livre tu n’en dispose plus momentanément. Là c’est pareil, il fallait y penser !

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