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Test : Pebble Watch

11 mai 2012, la campagne pour financer la Pebble commençait sur Kickstarter. Le 19 mai les 100 000 dollars recherchés avait été trouvés. Un an plus…

11 mai 2012, la campagne pour financer la Pebble commençait sur Kickstarter. Le 19 mai les 100 000 dollars recherchés avait été trouvés. Un an plus tard, le projet “Pebble” a recueilli plus de 10 millions de dollars grâce à un peu moins de 70 000 soutiens. Un engouement dont seuls quelques projets peuvent se targuer.

Il faut dire que celui-ci était prometteur. La Pebble est une “smartwatch”, un terme à la mode qui désigne une montre connectée via Bluetooth (généralement) à son smartphone et permettant d’afficher diverses informations issues de son téléphone. On peut entre autres y afficher ses messages/mails et les coordonnées de la personne qui appelle, en plus de donner l’heure.

DSC02156

Il y a eu quelques exemples par le passé. On souvient notamment de l’Italienne I’m Watch qui n’a pas vraiment su convaincre les foules. Dotée de multiples fonctionnalités, cette dernière fonctionnait aléatoirement et était vraiment trop encombrante pour pouvoir remplacer sa montre une fois l’effet “nouveauté” passé.

La Pebble prend en quelque sorte une direction opposée en réduisant le champ des possibles avec une technologie un peu moins évoluée, mais dans un format finalement plus adapté à un poignet. Le choix de Pebble est-il judicieux ? Les possibilités ne sont-elles pas trop réduites ? Bref, ces 10 millions de dollars sont-ils justifiés ? Réponse dans ce test.

Format

Si la Pebble est moins imposante que l’I’m Watch, elle est relativement encombrante avec environ 3,2 cm de large sur 4,1 de long (hors attaches) et un peu moins d’un cm d’épaisseur. Surtout sur un poignet fin habitué à porter une montre peu épaisse.

photo
I’m Watch à droite, Pebble au centre, ma montre habituelle à gauche

Elle reste portable et ne gêne pas trop quoi qu’elle ait tendance à buter facilement sur une chemise, son poids n’est en revanche pas contraignant, on la sent à peine. Au final, on évitera de dormir avec, l’épaisseur pouvant s’avérer gênante.

Design

La Pebble est disponible en 5 coloris : noir, blanc, rouge, orange ou gris, chacun devrait donc trouver son bonheur. Nous avons reçu un modèle noir, sobre et discret monté sur un bracelet noir en plastique qui n’est pas vraiment du plus bel effet. La bonne nouvelle est que la plupart des bracelets de 22 mm de large sont compatibles avec la montre, on peut donc très bien l’imaginer accompagnée de cuir par exemple.

Sur les côtés on trouve 4 boutons, trois à droite (pour un droitier) et un à gauche.  Ce dernier sert de bouton “retour”, les deux autres se destinent à naviguer de haut en bas, on valide du côté droit au centre. Une quantité limitée qui ne pose pas trop de problèmes lors de l’utilisation.

On trouve également du plastique au dos dans lequel est gravé un sobre “Pebble”, le numéro de série et autres logos certifiant diverses normes notamment l’étanchéité “5 ATM”. La face avant est recouverte d’un plastique anti-rayures qui protégera l’écran e-ink.

Hardware

Pebble communique peu sur le hardware de sa montre. Le fabricant concède un écran e-ink noir et blanc rétroéclairé de 144 x 168 pixels, un accéléromètre 3 axes, une connectivité Bluetooth 2.1 + EDR ou 4, vibreur et… c’est tout. Pas un mot sur le processeur ou la batterie.

Tant pis, à l’usage cela fonctionne très bien. La montre n’accuse aucun ralentissement, la connexion Bluetooth est stable et les 20 000  pixels de l’écran suffisent à afficher les textes de manière lisible, avec l’avantage d’être peu sensible aux reflets. Il faut remercier l’encre électronique. Le rétroéclairage s’avéra utile dans le noir et s’active d’un mouvement du poignet. On apprécie également l’étanchéité de la montre, parfait pour son bain ou sa douche, mais pas seulement puisque la norme 5 ATM est suffisante pour nager dans l’eau salée.

photo-pebble-eau
Rien à craindre dans une baignoire

Pour ce qui est l’autonomie, Pebble Technology annonce une semaine ou plus, ce qui se vérifie en pratique : la première charge a tenu 7 jours et demi, la seconde 8 jours. C’est un gros plus pour la montre qui se recharge en plus relativement rapidement, à peine plus d’une heure. Le chargeur est d’ailleurs très bien pensé, à l’image de la prise MagSafe d’Apple, il se fixe grâce à deux petits aimants. Le téléphone faisant fonctionner en permanence le Bluetooth perdra légèrement en autonomie, entre 10 et 15% selon Pebble, ce qui là encore se révèle vrai.

Utilisation

Nous avons utilisé la fameuse smartwatch pendant une quinzaine de jours, le temps de s’y habituer et, plus intéressant peut-être, nous l’avons abandonnée par la suite afin de voir si elle nous manquait.

S’il est une chose qui marque quand on la porte est la vitesse à laquelle on s’y habitue. Au premier SMS/mail, il est assez surprenant de sentir son poignet vibrer, le second s’avère tout de suite plus naturel. Au final, cela devient presque un réflexe, qui évite de constamment sortir son téléphone de sa poche. Pratique.

DSC02365

Jusqu’à un certain point, puisque finalement, la montre ne fera office que de lecteur. En réalité, et c’est somme toute logique, il est quasiment impossible d’agir dans l’autre sens : contrôler son smartphone depuis sa montre. Cela se limite à 4 possibilités : décrocher/renvoyer un appel, morceaux suivant/précédent (et retour/avance rapide) play/pause. Point. C’est à dire moins que la télécommande présente sur les écouteurs en possédant. Autrement dit, cela a un avantage si l’on utilise un casque non prévu pour smartphone.

DSC02157

Du coup, il faudra en réalité sortir de manière régulière son terminal de sa poche.  Ne serait-ce que pour ajuster le volume sonore du player audio, ou même de passer d’un album à un autre. De la même façon s’il est sympa de lire ses textos on regrette de ne pas pouvoir y répondre depuis sa montre grâce à des modèles préenregistrés, ce qui met en lumière une seconde limite de la Pebble, l’appli nécessaire à son fonctionnement.

Aplibble

Nous l’avons dit plus haut, pour fonctionner correctement, la Pebble doit s’appairer via Bluetooth (une étape simplissime soit dit en passant) avec un smartphone (iOS ou Android seulement) doté de l’application éponyme si l’on ne veut pas se limiter à l’affichage de l’heure.

watchfaces

Cette dernière est très claire. Elle permet de mettre à jour sa montre et de gérer ses applications et autres watchfaces qui ne sont rien d’autre que des cadrans horaires. Là encore, il faudra se contenter de ça. Comme nous le disions juste avant, elle aurait été le lieu idéal pour enregistrer trois ou quatre réponses aux textos.

L’application n’est toutefois pas le seul lieu ou il est possible de trouver des applications. L’idéal est même ailleurs : sur mypebblefaces depuis son téléphone. On trouve actuellement sur ce site  451 watchfaces et application plus ou moins loufoque, plus ou moins pratiques. On citera par exemple un Tetris, un casse-brique, ou un calendrier ou encore un cadran Mario.

DSC02364

C’est très sympathique, mais tient plus du gadget que d’autre chose. Toutefois cela laisse entrevoir plus de possibilités pour la smartwatch. On pourra également compter sur les développeurs d’applications tierces pour prendre en charge la montre, à l’instar de RunKeeper. Cette application de fitness déporte les informations relatives à sa session de jogging sur la montre, cela peut, pour le coup, s’avérer intéressant.

Verdict

C’est sans doute ce qu’il ressort de cette Pebble au final, un goût d’inachevé. Certes le matériel est bien fini et regorge de bonnes idées, comme le chargeur par exemple, mais le software souffre de quelques lacunes assez flagrantes qui ne rendent pas le produit indispensable.

Une fois de retour avec une montre classique, on se surprend peut-être à regarder sa montre lorsque son téléphone vibre, mais on s’en passe finalement facilement. Est-ce vraiment compliqué de sortir son téléphone de sa poche ? Toutefois, vendue 150 dollars, la montre n’est pas hors de prix, et pourra sans doute d’ici quelques mois avoir un réel intérêt. Ces 10 millions de dollars ne sont pas encore justifiés.

La balle est donc dans les mains des développeurs qui, espérons-le, s’en donneront à cœur joie puisque la Pebble est bâtie sur un modèle open source, espoir donc.

Merci à lamontrebleue.fr qui nous a gentiment fait parvenir l’exemplaire de la Pebble.

11 mai 2012, la campagne pour financer la Pebble commençait sur Kickstarter. Le 19 mai les 100 000 dollars recherchés avait été trouvés. Un an plus tard, le projet “Pebble” a recueilli plus de 10 millions de dollars grâce à un peu moins de 70 000 soutiens. Un engouement dont seuls quelques projets peuvent se targuer.

Il faut dire que celui-ci était prometteur. La Pebble est une “smartwatch”, un terme à la mode qui désigne une montre connectée via Bluetooth (généralement) à son smartphone et permettant d’afficher diverses informations issues de son téléphone. On peut entre autres y afficher ses messages/mails et les coordonnées de la personne qui appelle, en plus de donner l’heure.

DSC02156

Il y a eu quelques exemples par le passé. On souvient notamment de l’Italienne I’m Watch qui n’a pas vraiment su convaincre les foules. Dotée de multiples fonctionnalités, cette dernière fonctionnait aléatoirement et était vraiment trop encombrante pour pouvoir remplacer sa montre une fois l’effet “nouveauté” passé.

La Pebble prend en quelque sorte une direction opposée en réduisant le champ des possibles avec une technologie un peu moins évoluée, mais dans un format finalement plus adapté à un poignet. Le choix de Pebble est-il judicieux ? Les possibilités ne sont-elles pas trop réduites ? Bref, ces 10 millions de dollars sont-ils justifiés ? Réponse dans ce test.

Format

Si la Pebble est moins imposante que l’I’m Watch, elle est relativement encombrante avec environ 3,2 cm de large sur 4,1 de long (hors attaches) et un peu moins d’un cm d’épaisseur. Surtout sur un poignet fin habitué à porter une montre peu épaisse.

photo
I’m Watch à droite, Pebble au centre, ma montre habituelle à gauche

Elle reste portable et ne gêne pas trop quoi qu’elle ait tendance à buter facilement sur une chemise, son poids n’est en revanche pas contraignant, on la sent à peine. Au final, on évitera de dormir avec, l’épaisseur pouvant s’avérer gênante.

Design

La Pebble est disponible en 5 coloris : noir, blanc, rouge, orange ou gris, chacun devrait donc trouver son bonheur. Nous avons reçu un modèle noir, sobre et discret monté sur un bracelet noir en plastique qui n’est pas vraiment du plus bel effet. La bonne nouvelle est que la plupart des bracelets de 22 mm de large sont compatibles avec la montre, on peut donc très bien l’imaginer accompagnée de cuir par exemple.

Sur les côtés on trouve 4 boutons, trois à droite (pour un droitier) et un à gauche.  Ce dernier sert de bouton “retour”, les deux autres se destinent à naviguer de haut en bas, on valide du côté droit au centre. Une quantité limitée qui ne pose pas trop de problèmes lors de l’utilisation.

On trouve également du plastique au dos dans lequel est gravé un sobre “Pebble”, le numéro de série et autres logos certifiant diverses normes notamment l’étanchéité “5 ATM”. La face avant est recouverte d’un plastique anti-rayures qui protégera l’écran e-ink.

Hardware

Pebble communique peu sur le hardware de sa montre. Le fabricant concède un écran e-ink noir et blanc rétroéclairé de 144 x 168 pixels, un accéléromètre 3 axes, une connectivité Bluetooth 2.1 + EDR ou 4, vibreur et… c’est tout. Pas un mot sur le processeur ou la batterie.

Tant pis, à l’usage cela fonctionne très bien. La montre n’accuse aucun ralentissement, la connexion Bluetooth est stable et les 20 000  pixels de l’écran suffisent à afficher les textes de manière lisible, avec l’avantage d’être peu sensible aux reflets. Il faut remercier l’encre électronique. Le rétroéclairage s’avéra utile dans le noir et s’active d’un mouvement du poignet. On apprécie également l’étanchéité de la montre, parfait pour son bain ou sa douche, mais pas seulement puisque la norme 5 ATM est suffisante pour nager dans l’eau salée.

photo-pebble-eau
Rien à craindre dans une baignoire

Pour ce qui est l’autonomie, Pebble Technology annonce une semaine ou plus, ce qui se vérifie en pratique : la première charge a tenu 7 jours et demi, la seconde 8 jours. C’est un gros plus pour la montre qui se recharge en plus relativement rapidement, à peine plus d’une heure. Le chargeur est d’ailleurs très bien pensé, à l’image de la prise MagSafe d’Apple, il se fixe grâce à deux petits aimants. Le téléphone faisant fonctionner en permanence le Bluetooth perdra légèrement en autonomie, entre 10 et 15% selon Pebble, ce qui là encore se révèle vrai.

Utilisation

Nous avons utilisé la fameuse smartwatch pendant une quinzaine de jours, le temps de s’y habituer et, plus intéressant peut-être, nous l’avons abandonnée par la suite afin de voir si elle nous manquait.

S’il est une chose qui marque quand on la porte est la vitesse à laquelle on s’y habitue. Au premier SMS/mail, il est assez surprenant de sentir son poignet vibrer, le second s’avère tout de suite plus naturel. Au final, cela devient presque un réflexe, qui évite de constamment sortir son téléphone de sa poche. Pratique.

DSC02365

Jusqu’à un certain point, puisque finalement, la montre ne fera office que de lecteur. En réalité, et c’est somme toute logique, il est quasiment impossible d’agir dans l’autre sens : contrôler son smartphone depuis sa montre. Cela se limite à 4 possibilités : décrocher/renvoyer un appel, morceaux suivant/précédent (et retour/avance rapide) play/pause. Point. C’est à dire moins que la télécommande présente sur les écouteurs en possédant. Autrement dit, cela a un avantage si l’on utilise un casque non prévu pour smartphone.

DSC02157

Du coup, il faudra en réalité sortir de manière régulière son terminal de sa poche.  Ne serait-ce que pour ajuster le volume sonore du player audio, ou même de passer d’un album à un autre. De la même façon s’il est sympa de lire ses textos on regrette de ne pas pouvoir y répondre depuis sa montre grâce à des modèles préenregistrés, ce qui met en lumière une seconde limite de la Pebble, l’appli nécessaire à son fonctionnement.

Aplibble

Nous l’avons dit plus haut, pour fonctionner correctement, la Pebble doit s’appairer via Bluetooth (une étape simplissime soit dit en passant) avec un smartphone (iOS ou Android seulement) doté de l’application éponyme si l’on ne veut pas se limiter à l’affichage de l’heure.

watchfaces

Cette dernière est très claire. Elle permet de mettre à jour sa montre et de gérer ses applications et autres watchfaces qui ne sont rien d’autre que des cadrans horaires. Là encore, il faudra se contenter de ça. Comme nous le disions juste avant, elle aurait été le lieu idéal pour enregistrer trois ou quatre réponses aux textos.

L’application n’est toutefois pas le seul lieu ou il est possible de trouver des applications. L’idéal est même ailleurs : sur mypebblefaces depuis son téléphone. On trouve actuellement sur ce site  451 watchfaces et application plus ou moins loufoque, plus ou moins pratiques. On citera par exemple un Tetris, un casse-brique, ou un calendrier ou encore un cadran Mario.

DSC02364

C’est très sympathique, mais tient plus du gadget que d’autre chose. Toutefois cela laisse entrevoir plus de possibilités pour la smartwatch. On pourra également compter sur les développeurs d’applications tierces pour prendre en charge la montre, à l’instar de RunKeeper. Cette application de fitness déporte les informations relatives à sa session de jogging sur la montre, cela peut, pour le coup, s’avérer intéressant.

Verdict

C’est sans doute ce qu’il ressort de cette Pebble au final, un goût d’inachevé. Certes le matériel est bien fini et regorge de bonnes idées, comme le chargeur par exemple, mais le software souffre de quelques lacunes assez flagrantes qui ne rendent pas le produit indispensable.

Une fois de retour avec une montre classique, on se surprend peut-être à regarder sa montre lorsque son téléphone vibre, mais on s’en passe finalement facilement. Est-ce vraiment compliqué de sortir son téléphone de sa poche ? Toutefois, vendue 150 dollars, la montre n’est pas hors de prix, et pourra sans doute d’ici quelques mois avoir un réel intérêt. Ces 10 millions de dollars ne sont pas encore justifiés.

La balle est donc dans les mains des développeurs qui, espérons-le, s’en donneront à cœur joie puisque la Pebble est bâtie sur un modèle open source, espoir donc.

Merci à lamontrebleue.fr qui nous a gentiment fait parvenir l’exemplaire de la Pebble.

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Notre avis

Jeune
Note : 7  /  10
25 commentaires
  1. Hello,

    j’ai une Pebble depuis un mois maintenant et je suis un peu plus enthousiaste que le test fait ici. Je l’ai utilisé dans des conditions amusantes (comme sur un salon pro, sur un bateau, en boite de nuit,…) ou l’accès à son téléphone est toujours compliqué et bien c’est top ! et toujours assez discret dans la consultation. Je trouve la taille vraiment correcte (mais j’ai je crois un bras plus épais que le modèle du test).

    En ce qui concerne les appui, c’est encore le néant, mais le kit n’est pas encore totalement ouvert… à voir donc !

    L’autonomie, en utilisation intensive est de 6,5 jours depuis la dernière mise à jour (3 semaines).

    Enfin, pour le prix et une toute première version kickstarter, c’est une grande réussite !!!

  2. Avoir mis un écran e-ink sur ce type de device est une idée juste excellente!
    Que ca soit au niveau de l’autonomie ou de la lisibilité en plein soleil, je ne peux qu’approuver le choix de cette technologie qui a beaucoup d’avenir!! 🙂

  3. Bonsoir j’ai une pebble grâce à Kickstarter et pour envoyer des textos prédéfinis il ya une solution à tout :

    Pour envoyer un sms prédéfinis cela est possible sur android avec Augmented SMARTWATCH Pro qui est payant 4.57 euro

    Cela permet d’envoyer des sms pré définis en réponse à un sms ou à un appel

    et bien d’autres choses

  4. Salut!

    Il faut savoir que la Pebble Team vient d’annoncer sur leur blog que le SDK permet désormais des communications dans les deux sens, permettant ainsi à la montre de ne plus être un simple récepteur d’informations. Cela permettra de nombreuses possibilités à l’avenir.

    Il faut noter aussi que l’impression d’inachevé peut sembler normal si l’on considère que la montre n’est pour le moment qu’en précommande. La gestion de la production étant relativement indépendante du développement du SDK, ce dernier peut évoluer en attendant que la montre soit disponible pour tout le monde.

  5. Un bon mois que j’ai reçu la mienne .. j’ai aussi la sony .. je préfère la peeble, moins erratique que la sony en connexion/déconnexion avec un galaxy note.
    Aucun regret de mes 80€ de mémoire dans le projet Kickstarter

  6. Je suis globalement d’accord avec l’article, sauf avec la conclusion. 🙂
    Ayant la Pebble depuis plusieurs mois, j’aurais du mal à m’en passer… C’est surtout lorsque l’on marche dans la rue et que quelqu’un appelle que c’est indispensable. En effet, on sent bien la montre vibrer au poignet, ce qui n’est pas le cas du téléphone au fond de la poche.
    Ensuite, dans le métro bondé, on peut voir un SMS sans sortir le téléphone, et c’est pratique aussi.
    Le rôle de la Pebble est principalement d’afficher les notifs. Et elle le fait très bien. (Calendar, Talks, SMS, ou n’importe quoi d’autre d’ailleurs…)
    Je ne voudrais pas d’une montre pour envoyer des SMS. Elle serait de toutes façons moins adaptée que l’écran d’un téléphone. D’ailleurs, la montre I’m Watch l’a montré, euh, brillamment…
    A la limite, ce qui manque, c’est de pouvoir choisir un contact pour passer un appel. Je pense que le SDK le permet, mais pour l’instant, personne ne l’a fait.

  7. Merci pour le test.

    Il y a tous les jours des nouvelles applications qui viennent donner toujours plus d’intérêt : calendrier, changement du mode son du téléphone, …

    En plus grâce aux accessoires (skin et protection d’écran on peut en profiter en toute sécurité)

  8. Pour tous ceux qui souhaitent utiliser la peeble pour se synchroniser avec leurs iphones, androids et/ou autres equipements fitness, direction le blog de dcrainmaker
    http://www.dcrainmaker.com/2013/05/testing-runkeeper-integration.html

    Pour faire simple, la conclusion :
    “Thus for the meantime, the trend of crappy ‘smart watch’ experiences for fitness continues. Someday we’ll get something worthwhile, but unfortunately today wasn’t that day”

    Maintenant pour avoir un truc qui fasses bling au poignet, comme dirait l’autre “si a 50 piges t’as pas une rolex”…

  9. Avec les vols de portable dans le métro ça peut être une solution, en boîte de nuit aussi, à la piscine ou à la plage pourquoi pas, avec un kit piéton en conduite aussi

  10. Intéressant ! Même si le design est assez grossier, je pense qu’elle rencontrera un franc succès. Je me dirigerais plutôt vers la Touch Time de Phosphor qui ne propose pas la connection montre-téléphone par bluetooth mais qui a un design bien plus séduisant… Et elle est tactile !

  11. Test assez peu indicateur de la valeur de cette montre… pour faire court, j’en possède une et il y a moyen de faire tellement plus qu’indiqué dans ce test… pour ne douter que quelques exemples voilà ce que je peux faire avec sans aucun hack et avec un téléphone Android. Répondre à mes sms grâces à 6 messages prédéfinis, la météo, mon prochain événement dans mon calendrier, contrôler mon téléphone grâce à tasker (moi j’ai mis : Lampe de poche, prendre une photo, et mettre en silencieux) pas plus tard que ce soir je m’en suis encore servis pour afficher le code 2d de la place de cinéma (on peut envisager ça avec n’importe quel code barre)… tout ça à peine deux semaines après que la communication soit possible dans les deux sens… c’est plutôt une énorme réussite. Si je ne devais citer qu’une chose qui me manquerais vraiment c’est le vibreur déporté… c’est diablement efficace et discret.

  12. 10 millions de dollars pour au final un kit main libre (auto) avec des bracelets et encore il y en a avec la reconnaissance vocal , je trouve ça inutile “ça reste mon avis”

  13. 150$ annoncés dans l’article et 233,91€ + jusqu’à 10€ de frais de port sur le site cité par ce même article (qui d’ailleurs à ranger cette montre dans la catégorie “montre iphone”) ca pique un peu…dommage, à 150€ je m’en commandais une de suite 🙁

  14. Moi tant que les marques de montres “normales” (swatch, ice watch, casio, lip ou carrément les horlogers plus luxueux) n’intègrent pas ces fonctions dans leurs montres, sans facon ! Les smartwatches sont trop grosse et vraiment laides

  15. Moi aussi je suis plus enthousiaste que le résultat du test. J’ai la mienne depuis bientôt 2 mois et j’en suis relativement satisfait. Contrairement à la I’m Watch que j’ai failli avoir (et heureusement que j’y ai renoncé), quand j’ai commandé la montre sur le site Kickstarter, je savais à quoi m’attendre.
    Il y était clairement expliqué que la montre n’avait qu’un rôle d’avertisseur, de relais du téléphone. On n’achète pas cette montre pour faire joujou avec mais plutôt pour rester à l’affût des notifications. C’est très pratique dans un environnement bruyant ou dans une réunion de travail un peu pénible…! Cela permet aussi de rester discret tant pour la lecture d’un sms que pour le contrôle du lecteur de musique. Et comme il a été dit précédemment la montre reste pour le moment en précommande et nous ne sommes que les heureux possesseurs de la kickstarter edition !

  16. Ca reste hors de prix pour un ecran en noir et blanc , l impossibilité de prendre un appel et des fonctions quand meme limités.
    A 80 euros pourquoi pas mais a plus de 200 ….

  17. Moi c’est dingue… depuis que j’ai ma pebble je mets plus mon oris… c’était pourtant impensable pour moi….
    Ah et il y a de plus en plus d’application pebble sur le playstore, depuis le nouveau sdk ca grouille même, c’est plutôt sympa.

  18. Ridicule… et dire que je vends des montres téléphones à moins de 70€ avec caméra intégrée et écran tactile lecteur mp4/mp3…

  19. Bonjour,

    Merci pour ce tutoriel, mais bon réellement qu’en j’entends que la montre n’est pas hors de prix, j’estime que 150€ donc 1000Frs, et oui je converti encore en Francs, et bien je trouve cela cher, car pour 150€ avant on avait une montre soit, qui ne donnée que l’heure et certaines infos, mais qui avait du style, et de la finesse, là on se retrouve avec un gros pavé, pour 1000francs, et qui ne donne que l’heure et les infos sur qui appel et des sms.

    Spécialement si elle avait était mieux fini et surtout plus petite, ça aurait déjà plus justifié ce prix pour si peu, mais là, c’est abusé je trouve.

  20. Bon moi j’ai la Sony qui marche très bien avec mon note 2… Elle appelle mon répertoire, envoie des sms, prend des photos, pilote ma free box, affiche google map, me notifie mails, sms, flux rss…le tout en couleur.
    Je peux y adapter le bracelet de mon choix, elle est pas trop grosse et plutôt jolie… Le tout pour 72€…
    N’y aurait-il pas un petit oubli comparatif dans cet article ?

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