Mais Fuji n’a pas réussi à faire de son X-PRO 1 un véritable outil professionnel. A sa sortie, le boitier possédait de nombreuses lacunes . Ces lacunes ont été corrigée par Fuji qui, il faut l’admettre, se soucie de ses acheteurs en offrant des misse à jour dopant les capacités du boitier. Mais cela n’a pas été suffisant et la marque voulait un véritable fleuron. Avec le X-T1, c’est chose faite. Côté design, voici l’ancêtre du X-T1 :
Et voici le X-T1 :
Sacrée ressemblance n’est-ce pas ?
Au programme, des molettes de réglages à foison : vitesse, sensibilité ISO (allant en Raw de 100 à 6400), cadence de prises de vue, correction d’exposition. Le viseur est un viseur électronique OLED de 2,15 millions de points avec un taux de rafraichissement de 54 images par seconde pour un grossissement de 0,77x et une restitution de 100% de l’image. Qui dit viseur électronique, dit possibilité de varier les affichages (le split-mode facilite la mise au point manuelle, tandis que le mode portrait fera automatiquement basculer les informations pour le format vertical). Le Wifi est en accès direct via une simple touche, et permet de contrôler la prise de vue depuis un smartphone sous réserve d’avoir installer le logiciel Fujifilm Camera remote.
L’écran arrière est un LCD de 7,6 cm et 1 040 000 points (déjà présent sur le X-E2) monté sur charnière verticale, protégé par un verre de type Gorilla Glass®. Le boitier est d’ailleurs tropicalisé grâce à la présence de 80 joints disposés autour d’un châssis en magnésium assurant des prises de vues jusqu’à -10°C et une résistance à la pluie, l’humidité ou les hautes températures.
Fuji a également accompagné la sortie du X-T1 d’un trip qui sera disponible en option ainsi que de trois nouveaux objectifs : un XF 18-135 mm f/3,5-5,6 R OIS WR, un XF 16-55 mm f/2,8 R OIS WR et un XF 50-140 mm f/2,8 R OIS WR, des objectifs également protégés tout temps. Le X-T1 sera proposé nu à 1 199 € et en kit avec le XF 18-55 mm f/2,8-4 à 1 599 €.
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Je crois que le fleuron de Fuji reste officiellement le X-PRO 1. Ce nouvel appareil est parfait pour le reportage tout terrain mais n’a pas la visée hybride optique.
Sinon appareil très intéressant, si des optiques tropicalisées sortent en nombre.
Mon futur joujou ♥ j’en rêvais, ils l’ont fait !
Bah, absolument pas aimé le X-pro 1. Menus compliqués, MAP compliquée pas précise, batterie se décharge en deux heures, pas tropicalisé, peinture qui s’enlève, je pensais être gagnant sur différents points, super déçu et plus jamais Fuji. En plus c’est de ma faute, quan d tu sors d’un plein format, retourne au moyen format c’est d’un chiant. Je l’ai vendu aussi sec.
@Becobus: un capteur moyen format est plus grand qu’un capteur plein format 😉
@Becobus: quel rapport avec le format? je connais pas mal de monde qui est passé du 24×36 à l’APSC fuji (ou pire u4/3 olympus) et ils sont ravis. Le “plein-format” est un avantage aux très grandes ouvertures et très très hauts isos (au dessus de 6400, ce qu’on utilise pas forcément tous les jours) sinon le reste est très bien (et je crois que tu condonds le terme moyen-format). Je n’ai jamais entendu parlé de peinture qui s’enlève sur le X-PRO, je regarderai à l’avenir, par contre pour l’AF, le firmware a bien amélioré les choses
Erreur dans l’article.
“sensibilité ISO (allant en Raw de 100 à 6400)”
Non, en RAW il va de 200 à 6400.
Vous dites: Fuji a également accompagné la sortie du X-T1 d’un trip
C’est quoi un «TRIP» ?
Ribas