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Le bureau virtuel, espace de travail de demain ?

Le cloud computing a redéfini notre façon de travailler. Nous avons maintenant la possibilité de récupérer les données et travaux où que l’on soit, via une…

Le cloud computing a redéfini notre façon de travailler. Nous avons maintenant la possibilité de récupérer les données et travaux où que l’on soit, via une tablette, un smartphone… Quel est l’impact du cloud computing et des serveurs virtualisés sur les conditions de travail ? Quels sont les avantages du bureau virtuel ?

Open space, télétravail, mobilité accrue… Nos habitudes et notre environnement de travail sont en pleine mutation. Les entreprises se retrouvent face à une nouvelle nécessité : proposer des espaces de travail interconnectés, mais aussi un environnement de travail motivant, qui favorise le bien-être des employés comme leurs performances.

Bureau-virtuel

Mobilité et travail à distance

Avec le cloud computing, l’espace de travail physique – localisé en un seul lieu – n’existe plus à proprement parler, puisqu’il est partout. Mobile, le salarié n’a besoin que d’un accès à Internet pour se constituer un bureau virtuel et ainsi accéder à toutes ses ressources : gestion d’emails, logiciels, applications métiers…. Les entreprises innovantes seront celles qui tireront le mieux parti de ces gains de flexibilité et de cette nouvelle mobilité. Qu’il soit en déplacement, dans les locaux, voire dans un café, le collaborateur dispose à tout moment de ses outils de travail. Ce poste de travail virtuel peut par exemple permettre à un commercial de gagner en efficacité en rendez-vous client.

Stockage en ligne

Le cloud computing a révolutionné notre façon de stocker les données et favorisé l’émergence d’un environnement numérique de travail. La sauvegarde des données sur des serveurs distants permet de disposer d’un espace de stockage bien plus vaste que celui offert par un appareil à faible puissance (tablette, smartphone) ou un ordinateur, par définition limité. En effet, le cloud computing permet de surfer sur Internet, de travailler, d’accéder à ses emails… et de bénéficier de la haute performance du cloud (infrastructure réseau, système d’exploitation, applications) depuis un terminal de faible puissance. Un véritable atout pour les entreprises !

Économies de moyens et de matériels

L’infrastructure de bureau virtuel (ou infrastructure VDI, Virtual Desktop Infrastructure) possède un autre avantage de taille : il permet de faire des économies, voire de limiter l’achat de matériel informatique (serveurs, ordinateurs, logiciels…) ; tout devient accessible via des serveurs virtualisés. Pour l’entreprise, cela revient à exploiter les services des éditeurs plutôt que les processeurs des PC. Désormais, des services en ligne de gestion permettent d’accéder à des applications bureautiques, logiciels en ligne ou toute application utile. Il n’est donc plus besoin d’investir dans un progiciel, de faire réaliser en interne une application sur mesure, ou encore d’acheter un logiciel pour une utilisation partielle. En plus, grâce aux mises à jour automatiques, il n’est plus nécessaire de racheter les nouvelles versions de vos applications.

Rendez-vous ici pour poursuivre votre lecture et découvrir d’autres avantages du Cloud Computing.

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18 commentaires
  1. le prerequis à tout ça, c’est bien jolie, mais c’est la connexion. Si on est en mobilité, avec une pauvre connexion 2G, 3G, voire ADSL, le bureau dans le cloud pour lancer son eclipse, son 3Dsmax, son photoshop etc c’est pas pour tout de suite…

  2. vous n’indiquez pas quand les billets sont sponsorisés?

    pour ma part je ne mettrais jamais tous mes oeufs dans le même panier. une architecture de travail qui utilise le cloud pour des taches bien définies , pas de problème. mais déployer toute mon infra avec le cloud comme noyau , autant se tirer une balle dans le pied tout de suite

  3. @Ted : justement non : même avec la plus petite des connexions on peut facilement utiliser des bureaux virtuels. Puisqu’il n’y a que l’affichage qui passe dans la connexion (si possible VPN…) et non la totalité des data, le flux est suffisamment léger pour pouvoir travailler avec une connexion 3G moyenne.

  4. C’est peut être un bien bel article, mais quel en est l’intérêt? Je veux bien qu’on fasse des billets sponsorisés (ce qui, par ailleurs, n’est même pas indiqué) mais là ya aucun contenu, aucune information nouvelle, la plupart des gens qui visite le JDG connaissent déjà tout ca…

  5. La dernière partie m’a fait dressé les cheveux sur la tête. Que l’on fasse des économies sur le hardware avec la virtualisation, je veux bien mais qu’on vienne nous dire que ça résoud toutes les contraintes du software, la vaste blague.

    Comme ci on allait nous faire cadeau des licences tout simplement parce qu’on virtualise ou utilise des services virtualisés.

    “Il n’est donc plus besoin d’investir dans un progiciel, de faire réaliser en interne une application sur mesure, ou encore d’acheter un logiciel pour une utilisation partielle.”

    Non au lieu de ça, on peut maintenant payer un abonnement pour utiliser un progiciel, faire réaliser en externe une application sur mesure, ou encore payer pour utiliser un logiciel partiellement…

    Alors je sais que que c’est un résumé simplifié mais bon ça fait un peu solution magique à tout la.

  6. Les solutions de bureaux virtuels vont devenir de plus en plus courantes.
    Nous l’utilisons déjà dans ma boite (Vmware View) et ça apporte un gain non négligeable pour les itinérants, ils disposent uniquement d’une tablette, une clé 3G/4G ou la connexion de l’hôtel.
    Avec ça ils peuvent se connecter et avoir les mêmes applications ou accès réseau que si ils étaient devant leur ordi au bureau.
    Et d’un point de vue sécurité, la plupart de leurs données sont stockées sur la machine distante et non en local sur le poste.

  7. @thorkhan Ohh ça me dérange pas, étant client grand compte chez eux, je peux te dire que je les connais bien 😉

    Orange c’est un mix d’incompétents, de gens sérieux mais sans pouvoir, le tout dans une usine à gaz dont la main gauche ne sais pas ce que fait la main droite. On peut rester des heures au tel à se faire balader d’un service à un autre .
    Moi quand je les appelles, çà me fait penser à la maison de fou dans Asterix et les 12 travaux.
    Et je suis Pro alors j’imagine même pas le SAV grand publique….

  8. @Error32 je vois ce que tu veux dire, j’ai travaillé pour eux ^^

    je te rejoins totalement, mais il y a aussi un aspect que tu as oublié : entreprise de BOBO.

    un cadre sorti d école commerce qui ne sait pas ce qu’est un DNS et qui tente de me faire comprendre les complexités et les opportunités mercantiles que nous offrait internet.

  9. Lol, la vaste blague qu’est le “cloud computing”.

    Juste un nouveau nom hype et high-tech qui définit une facon de fonctionner qui existe depuis plus de 10 ans.
    Bref, rien de neuf à l’horizon, juste un bobo marketeux qui a trouvé un nom cool qui fait parler, et d’autres marketeux (Orange, SFR, MS, HP, etc) qui surfent sur le nouveau nom pour vendre leurs vieilles solutions inadaptées.

  10. Ce que je pense du Cloud :
    très pratique avec Gmail pour synchroniser son agenda entre tablette, androïd et PC.
    Stockage en ligne : pratique aussi pour celà… MAIS A CONDITION d’avoir toujours de vrais sauvegardes en lieu sur, sur un SUPPORT PHYSIQUE :
    -disque dur + support Flash + CD ou DVD ou Blueray.
    … car telle est la loi d’un fichier :
    un fichier stocké en 1 seul lieu = 1 fichier PERDU.

  11. Excusez-moi pour cette réponse tardive,
    Je souhaite signaler qu’une nouvelle startup française , Clear Cloud Services, propose une alternative à Orange et autres opérateurs basée sur les solutions open sources, linux, doker, stc … pour un usage bureautique et bientôt plus…

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