Il suffit de lui poser une question et, dans la mesure de ses moyens, le cylindre y répondra. Plusieurs services sont intégrés, comme la météo par exemple, dans ce qui ressemble beaucoup à un Siri ou un Google Now en version « sans smartphone ».
Malheureusement, l’objet reste encore limité. D’une, il est illusoire de vouloir l’acheter en dehors des États-Unis, où de plus il faudra être l’heureux possesseur d’une invitation. Mais encore les services compatibles restent toujours très limités, en particulier au niveau de la gestion musicale. En dehors d’iHeartRadio et du Prime Music d’Amazon, point de salut.
Mais petit à petit, Echo gagne en autonomie et en intelligence. Le bidule va en effet se voir apporter le support de trois services musicaux supplémentaires : Pandora, Spotify et iTunes. Il ne sera plus nécessaire d’utiliser son smartphone pour passer les morceaux, mais simplement de le demander à Echo.
Du mieux donc pour ce produit, mais il serait bon qu’Amazon s’intéresse aussi à ce qui se passe en dehors des frontières américaines — qui sait, peut-être qu’il existe une demande…
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