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Brûle Dehors Burnout 3 (XBox)

Burnout 3, c’est la fusion d’un Need For Speed Underground avec Destruction Derby et enfin avec la vitesse de F-Zero GX. Ce 3ème opus est ce qui me scotche à mon écran depuis la semaine dernière, c’est vous dire ! 😉

Burnout 3, c’est la fusion d’un Need For Speed Underground avec Destruction Derby et enfin avec la vitesse de F-Zero GX. Ce 3ème opus est ce qui me scotche à mon écran depuis la semaine dernière, c’est vous dire ! 😉

Très peu de jeux arrivent à être encore attractifs au bout du 3ème opus, et pourtant, Burnout 3 y est arrivé et ce sans, problème. Pour résumer, c’est un jeu de caisse tout ce qu’il y a de plus banal, vous évoluez à partir de bolides plus tunés les uns ques les autres à une vitesse incroyable, en pleine ville, avec toute la circulation que ça implique et évidemment, il faut arriver le premier en règle général. Tous les coups sont permis et il ne faudra pas hésiter à faire des “Takedowns” sur ses adversaires pour gagner en boost et accessoirement les courses.

Le principe du “TakeDown” est très simple, il faut grâce à sa coriacité et ses compétences faire voldinguer la voiture adverse. C’est très fun et en multijoueurs, le jeu prend toute son ampleur et avec mon frère, ce fus très, ou plutôt trop fun ! En solo, à chaque crash, c’est hyper impressionnant, ça vole dans tous les sens et on peut activer le “Impact Time”, une sorte de ralenti à la Matrix qui vous permettra d’essayer de diriger votre crash pour atteindre d’autres adversaires ou cibles après le l’impact, terriblement addictif.

Graphismes : C’est réaliste et très fins, le mode 16/9 est le bienvenu même si on a l’impression parfois d’avoir trop de choses à l’écran, surtout qu’il faut réagir au quart de tour dès qu’un pixel traverse l’écran. Rien à redire, c’est beau et classe.
Jouabilité : Jouabilité parfaite, c’est un savoureux mélance mélange entre une conduite rapide et agressive, avec optimisation de la prise de risque soi-même, c’est du tout bon !
Durée de vie : 40 circuits, 70 véhicules, mode online, plusieurs défis, ouais, ça le fait bien pour 60€.
Son : C’est très rock, hard, on aime ou on n’aime pas mais ça colle parfaitement à l’action.

Conclusion :
Je pense que vous l’aurez compris, Burnout 3, c’est de la balle, on s’éclate, on se prend pas la tête, ça fuse dans tous les sens, le mode multijoueur assure des soirées fun et on ne se lasse pas de recommencer. Bon ben que faites-vous encore là, allez l’acheter quoi …

Merci à GameSpot.com pour l’utilisation de leurs images

Burnout 3, c’est la fusion d’un Need For Speed Underground avec Destruction Derby et enfin avec la vitesse de F-Zero GX. Ce 3ème opus est ce qui me scotche à mon écran depuis la semaine dernière, c’est vous dire ! 😉

Très peu de jeux arrivent à être encore attractifs au bout du 3ème opus, et pourtant, Burnout 3 y est arrivé et ce sans, problème. Pour résumer, c’est un jeu de caisse tout ce qu’il y a de plus banal, vous évoluez à partir de bolides plus tunés les uns ques les autres à une vitesse incroyable, en pleine ville, avec toute la circulation que ça implique et évidemment, il faut arriver le premier en règle général. Tous les coups sont permis et il ne faudra pas hésiter à faire des “Takedowns” sur ses adversaires pour gagner en boost et accessoirement les courses.

Le principe du “TakeDown” est très simple, il faut grâce à sa coriacité et ses compétences faire voldinguer la voiture adverse. C’est très fun et en multijoueurs, le jeu prend toute son ampleur et avec mon frère, ce fus très, ou plutôt trop fun ! En solo, à chaque crash, c’est hyper impressionnant, ça vole dans tous les sens et on peut activer le “Impact Time”, une sorte de ralenti à la Matrix qui vous permettra d’essayer de diriger votre crash pour atteindre d’autres adversaires ou cibles après le l’impact, terriblement addictif.

Graphismes : C’est réaliste et très fins, le mode 16/9 est le bienvenu même si on a l’impression parfois d’avoir trop de choses à l’écran, surtout qu’il faut réagir au quart de tour dès qu’un pixel traverse l’écran. Rien à redire, c’est beau et classe.
Jouabilité : Jouabilité parfaite, c’est un savoureux mélance mélange entre une conduite rapide et agressive, avec optimisation de la prise de risque soi-même, c’est du tout bon !
Durée de vie : 40 circuits, 70 véhicules, mode online, plusieurs défis, ouais, ça le fait bien pour 60€.
Son : C’est très rock, hard, on aime ou on n’aime pas mais ça colle parfaitement à l’action.

Conclusion :
Je pense que vous l’aurez compris, Burnout 3, c’est de la balle, on s’éclate, on se prend pas la tête, ça fuse dans tous les sens, le mode multijoueur assure des soirées fun et on ne se lasse pas de recommencer. Bon ben que faites-vous encore là, allez l’acheter quoi …

Merci à GameSpot.com pour l’utilisation de leurs images

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5 commentaires
  1. A Genève l’autre nuit, un jeune con c’est fait un "takedown" à 180 kmh sur les quais au bord du lac … résultat un bleesé grave seulement . Quelques mois plutôt, ce fut plus d’une dizaines de blessés, dont certains gravement, dans un autre "takedown" au même endroit !

    Alors faites au maximum la promo de ce jeu autour de vous pour que ces fous du volant s’éclatent sur leur console et pas sur la route. Et comme le dit Neo, c’est trop fun en multijoueur et au moins, on rigole alors que sur la route, au mieux on pleure … au pire, "on" plus rien du tout !

  2. Tout à fait d’accord, le virtuel, c’est sympa, on fait des conneries et tout et tout mais dans la réalité, il ne faut pas oublier qu’on doit être responsable et qu’on n’a pas de "Vies" ou de "Continue" supplémentaires !

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