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Impressions : Fallout 3

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10 ans d’attente pour enfin refouler les wasteland. Des wasteland bien Parisiennes pour le coup puisque c’est au Festival du Jeu Vidéo que nous avons pu…

10 ans d’attente pour enfin refouler les wasteland. Des wasteland bien Parisiennes pour le coup puisque c’est au Festival du Jeu Vidéo que nous avons pu mettre la main sur une version bien avancée du troisième épisode de Fallout, un jeu de rôle d’ores et déjà annoncé comme “post apocalyptique”. Imaginez une catastrophe nucléaire ayant obligé une horde de citoyens à se réfugier quelques années dans des abris anti atomiques dignes des plus grands fantasmes de la Guerre Froide. Pas de bol, vous êtes justement l’un de ces habitants. Il va vous falloir remonter à la surface pour retrouver votre père, et accessoirement faire face à ce qui s’y trouve. Un pitch qui n’est pas sans rappeler l’univers de Mad Max et ses “no man’s land” remplis de personnages atypiques et bien souvent violents.

C’est sur la version Xbox 360 que nous avons pu tâter la dernière production de Bethesda Softworks. Première impression : l’emballage fait immédiatement penser à Oblivion (l’autre création majeure du même studio de développement) : la vue à la première personne (switchable à tout moment pour une vue à la troisième personne entièrement paramétrable), la carte, la composition des menus, la facilité d’accès à l’inventaire. Malheureusement, si on retrouve quelques qualités d’Oblivion, on trouve également quelques défauts, et notamment les animations, qui semblent une fois de plus perfectibles… Bien évidemment on se retrouve face à une version boostée du moteur d’Oblivion, mais l’âge commence indubitablement à se faire sentir. Reste qu’une fois les premières minutes de jeu passées, le charme visuel opère devant l’immensité des ruines d’une ancienne mégapole.

Outre son univers impressionnant de profondeur (un mélange technologie et design rétro années 50), Fallout se démarque par son gameplay lors des combats. A l’origine, la série proposait des altercations au tour par tour d’une extrême violence. Cette dernière est toujours de mise, mais il va falloir désormais naviguer entre un mode de combat en temps réel (comme ceux de Deus Ex ou System Shock) et un mode tactique qui promet de se révéler très intéressant. En effet si la situation devient compliquée (trop d’ennemis, adversaires embusqués…) il est possible par une simple pression sur une touche de “freezer” le temps et de cibler plus précisément une partie du corps de l’ennemi. A la manière du système de combat de Star Wars KOTOR, il est possible de choisir plusieurs coups consécutifs puis de lancer l’action. Jouissif !

Mais n’oublions pas que Fallout 3 est avant tout un jeu de rôle. Et comme dans tout bon jeu de rôle qui se respecte, il est indispensable de personnaliser son avatar et d’acquérir de l’expérience en remplissant des missions, disséminées à travers un terrain de jeu énorme. Il va aussi falloir aimer la lecture car les dialogues prennent une part importante du jeu… A chaque rencontre avec un PNJ, vos capacités d’orateur ou de persuasion seront mises à l’épreuve. De nombreux choix seront à faire et se répercuteront sur l’univers dans lequel vous évoluerez. Mais même si le titre semble rempli de références ou de dialogues assez crus, il est encore un peu tôt pour déterminer si ce Fallout 3 dispose de la dose d’humour noir si chère aux fans. Toutefois, avec sa bande sonore fidèle à l’univers, son design retro atypique, sa richesse d’évolution et le fameux Pip Boy, sorte de PDA avec un petit côté MS Dos, Fallout 3 a tout pour rappeler ses glorieux ancêtres.

Inutile de tourner autour du pot, ce titre s’annonce comme énormissime, même s’il fera sans doute grimacer de nombreux fans. On attend plus que la version test afin de pouvoir se perdre de nouveau dans les wastelands… bien au chaud, les fesses dans le canapé ou devant son PC.

(Article rédige par Yannick, notre nouvelle recrue décidément très active…)

10 ans d’attente pour enfin refouler les wasteland. Des wasteland bien Parisiennes pour le coup puisque c’est au Festival du Jeu Vidéo que nous avons pu mettre la main sur une version bien avancée du troisième épisode de Fallout, un jeu de rôle d’ores et déjà annoncé comme “post apocalyptique”. Imaginez une catastrophe nucléaire ayant obligé une horde de citoyens à se réfugier quelques années dans des abris anti atomiques dignes des plus grands fantasmes de la Guerre Froide. Pas de bol, vous êtes justement l’un de ces habitants. Il va vous falloir remonter à la surface pour retrouver votre père, et accessoirement faire face à ce qui s’y trouve. Un pitch qui n’est pas sans rappeler l’univers de Mad Max et ses “no man’s land” remplis de personnages atypiques et bien souvent violents.

C’est sur la version Xbox 360 que nous avons pu tâter la dernière production de Bethesda Softworks. Première impression : l’emballage fait immédiatement penser à Oblivion (l’autre création majeure du même studio de développement) : la vue à la première personne (switchable à tout moment pour une vue à la troisième personne entièrement paramétrable), la carte, la composition des menus, la facilité d’accès à l’inventaire. Malheureusement, si on retrouve quelques qualités d’Oblivion, on trouve également quelques défauts, et notamment les animations, qui semblent une fois de plus perfectibles… Bien évidemment on se retrouve face à une version boostée du moteur d’Oblivion, mais l’âge commence indubitablement à se faire sentir. Reste qu’une fois les premières minutes de jeu passées, le charme visuel opère devant l’immensité des ruines d’une ancienne mégapole.

Outre son univers impressionnant de profondeur (un mélange technologie et design rétro années 50), Fallout se démarque par son gameplay lors des combats. A l’origine, la série proposait des altercations au tour par tour d’une extrême violence. Cette dernière est toujours de mise, mais il va falloir désormais naviguer entre un mode de combat en temps réel (comme ceux de Deus Ex ou System Shock) et un mode tactique qui promet de se révéler très intéressant. En effet si la situation devient compliquée (trop d’ennemis, adversaires embusqués…) il est possible par une simple pression sur une touche de “freezer” le temps et de cibler plus précisément une partie du corps de l’ennemi. A la manière du système de combat de Star Wars KOTOR, il est possible de choisir plusieurs coups consécutifs puis de lancer l’action. Jouissif !

Mais n’oublions pas que Fallout 3 est avant tout un jeu de rôle. Et comme dans tout bon jeu de rôle qui se respecte, il est indispensable de personnaliser son avatar et d’acquérir de l’expérience en remplissant des missions, disséminées à travers un terrain de jeu énorme. Il va aussi falloir aimer la lecture car les dialogues prennent une part importante du jeu… A chaque rencontre avec un PNJ, vos capacités d’orateur ou de persuasion seront mises à l’épreuve. De nombreux choix seront à faire et se répercuteront sur l’univers dans lequel vous évoluerez. Mais même si le titre semble rempli de références ou de dialogues assez crus, il est encore un peu tôt pour déterminer si ce Fallout 3 dispose de la dose d’humour noir si chère aux fans. Toutefois, avec sa bande sonore fidèle à l’univers, son design retro atypique, sa richesse d’évolution et le fameux Pip Boy, sorte de PDA avec un petit côté MS Dos, Fallout 3 a tout pour rappeler ses glorieux ancêtres.

Inutile de tourner autour du pot, ce titre s’annonce comme énormissime, même s’il fera sans doute grimacer de nombreux fans. On attend plus que la version test afin de pouvoir se perdre de nouveau dans les wastelands… bien au chaud, les fesses dans le canapé ou devant son PC.

(Article rédige par Yannick, notre nouvelle recrue décidément très active…)

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