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Test : Final Fantasy III (DS)

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Ah Ah !! Mon premier Final Fantasy sur une console portable, en plus un des premiers ! Ca va enfin me permettre de visiter et d’assimiler l’ambiance et le gameplay des premiers RPG, et de me la péter en tant que connaisseur devant mes amis gamer ! Bon alors, dans un premier temps allumons notre DS, qui rappelons le, a tant souffert pendant les longues heures de jeu consacrées aux autres RPG que nous propose ce support (Cf. les précédents tests). Ah, l’avatar apparaà®t dans le menu ! Mais… qu’est ce que c’est… ah ! Oula, il a morflé le chocobo… Bref lanà§ons nous ! Merci à  Bombermichou pour ce test !

Ah Ah !! Mon premier Final Fantasy sur une console portable, en plus un des premiers ! Ca va enfin me permettre de visiter et d’assimiler l’ambiance et le gameplay des premiers RPG, et de me la péter en tant que connaisseur devant mes amis gamer !

Bon alors, dans un premier temps allumons notre DS, qui rappelons le, a tant souffert pendant les longues heures de jeu consacrées aux autres RPG que nous propose ce support (Cf. les précédents tests). Ah, l’avatar apparaà®t dans le menu ! Mais… qu’est ce que c’est… ah ! Oula, il a morflé le chocobo… Bref lanà§ons nous !

Merci à  Bombermichou pour ce test !

Souvenons nous que toute la campagne marketing de cet opus reposait sur la cinématique d’ouverture du jeu, maintenant vous pouvez en profiter pleinement ! Elle est juste magnifique ! La réalisation est superbe, la modélisation digne d’une console de salon, et les effets sont somptueux. On est déjà  en train de pleurer lorsque le menu s’affiche, et ce n’est pas fini ! Après avoir sélectionné «Nouvelle Partie» nous voilà  plongé au coeur de l’aventure, en effet selon les principes de la vieille école des jeux vidéo : «pas le temps de t’expliquer, tu apprendras sur le tas, c’est comme à§a que tu progresseras !». Ceux d’entre vous qui n’ont jamais touché à  un RPG de leur vie se trouveront ainsi désorienté. La qualité des graphismes contraste assez violemment avec ce que nous a présenté la cinématique, puisque vous vous retrouverez plongé dans le monde magique de Pixel & Polygone, les deux inséparables. Néanmoins, les couleurs sont plutà´t pas mal, et chose qui m’a agréablement surpris, les armes équipées se retrouvent (sommairement, certes) sur les personnages lors des phases de combat.

Les phases de combat justement ! Absolument rien ne change dans le système de combat par rapport à  un autre opus de la série compris entre FF1 et FF10. Il s’agit ici d’un pur tour par tour, ce qui permet de laisser le temps aux novices de s’adapter à  leur rythme, merci pour eux donc ! Personnellement je suis plus adepte du système de la jauge ATB (FF5, FF8) qui dynamise un peu les phases très vite répétitives des combats. Heureusement, la bande son est là  pour donner un petit coup de fouet à  tout à§a ! C’est encore Nobuo Uematsu qui s’y colle, pour notre plus grand plaisir auditif. Cela ne vous empêchera pas, après une première phase enthousiaste, de couper le son après, je dirai… 53 combats et demi pour les plus endurants. De plus, et c’est souvent le cas avec les consoles portables, il est difficile d’apprécier une bande son dans le métro avec un gars qui pose limite sa tête sur votre épaule pour regarder ce que vous faites. Je vous invite donc à  la rechercher sur internet pour l’écouter au calme !

Passons maintenant au scénario, nous parlions quelques lignes plus haut de la similarité du système de combat, je réitère donc ma critique sur le scénario : rien n’a changé en 5 opus ! Guerriers de la Lumière, cristal brisé, monde en danger… une impression de déjà  vu ? C’est normaaaallll !!! Je me permet donc d’allumer un peu ce manque agaà§ant d’originalité dans le synopsis, mais remettons nous dans le contexte, il ne s’agit que du troisième volet de la saga, il est normal qu’on en ai vu d’autres depuis, relativisons donc…

Je m’en vais maintenant entamer ce qui me semble un des aspects essentiel d’un bon RPG, le degré de profondeur des personnages ! Ici, je dirai que sur une échelle Darwinienne, nos héros sont aussi aboutis et intéressants que la moule séchée au sommet du rocher Breton. Ils se contentent de faire acte de présence et de se battre, ils n’ont absolument aucune histoire, rien, nada ! Tout cela enlève une grande partie de l’intérêt du jeu, puisque pas de quêtes annexes pour résoudre la grande énigme qui règne autour de la naissance de Truc, ou sur la mort des parents de Machin. Autre fait troublant et rapidement agaà§ant, on se retrouve dans un monde merveilleux o๠tout le monde est « ami » au bout de dix minutes, et attention, ici pas de potes, c’est à  la vie à  la mort ! On retrouve ainsi des dialogues ponctués de « Allons-y les amis ! », « Merci les amis ! » ou encore « Vous m’avez sauvé la vie les amis ! ». Sentiment généré par de la jalousie de ma part me direz vous ? Mauvaises langues !

Enfin quelques remarques sur la jouabilité : le support DS oblige, il fallait qu’une gestion au stylet soit possible, il est ici complètement anecdotique voir handicapant ! En effet, la fonction « soigner tous », par exemple, est impossible à  réaliser au stylet, de même que d’autres actions. Alors à  quand une vrai gestion au stylet dans un FF ? Autre remarque : le coté «old school », bien que légèrement modifié par les systèmes de sauvegarde rapide, est parfois assez difficile psychologiquement parlant, je pense notamment à  la phase finale o๠il est impossible de sauvegarder ou de récupérer des MP ou HP, alors qu’il y a 2 boss et 4 demi boss à  tuer, tout cela après avoir gravi une tour remplie de monstres… Autant dire qu’il ne faut pas se louper !

Je crois désormais avoir fait le tour de ce troisième volet de la série des Final Fantasy re-visité pour la Nintendo DS ! Ainsi, malgré une bonne réalisation graphique et musicale, le jeu reste très répétitif avec trop peu d’échappatoires à  un scénario linéaire. J’ai du personnellement puiser dans mes ressources profondes et inexploitées pour avoir le courage d’aller jusqu’au bout.

Ce sera donc un 4/10 un peu sévère qui mettra un point final à  cette critique, plus pour le jeu en lui même que pour l’adaptation.

Ah Ah !! Mon premier Final Fantasy sur une console portable, en plus un des premiers ! Ca va enfin me permettre de visiter et d’assimiler l’ambiance et le gameplay des premiers RPG, et de me la péter en tant que connaisseur devant mes amis gamer !

Bon alors, dans un premier temps allumons notre DS, qui rappelons le, a tant souffert pendant les longues heures de jeu consacrées aux autres RPG que nous propose ce support (Cf. les précédents tests). Ah, l’avatar apparaà®t dans le menu ! Mais… qu’est ce que c’est… ah ! Oula, il a morflé le chocobo… Bref lanà§ons nous !

Merci à  Bombermichou pour ce test !

Souvenons nous que toute la campagne marketing de cet opus reposait sur la cinématique d’ouverture du jeu, maintenant vous pouvez en profiter pleinement ! Elle est juste magnifique ! La réalisation est superbe, la modélisation digne d’une console de salon, et les effets sont somptueux. On est déjà  en train de pleurer lorsque le menu s’affiche, et ce n’est pas fini ! Après avoir sélectionné «Nouvelle Partie» nous voilà  plongé au coeur de l’aventure, en effet selon les principes de la vieille école des jeux vidéo : «pas le temps de t’expliquer, tu apprendras sur le tas, c’est comme à§a que tu progresseras !». Ceux d’entre vous qui n’ont jamais touché à  un RPG de leur vie se trouveront ainsi désorienté. La qualité des graphismes contraste assez violemment avec ce que nous a présenté la cinématique, puisque vous vous retrouverez plongé dans le monde magique de Pixel & Polygone, les deux inséparables. Néanmoins, les couleurs sont plutà´t pas mal, et chose qui m’a agréablement surpris, les armes équipées se retrouvent (sommairement, certes) sur les personnages lors des phases de combat.

Les phases de combat justement ! Absolument rien ne change dans le système de combat par rapport à  un autre opus de la série compris entre FF1 et FF10. Il s’agit ici d’un pur tour par tour, ce qui permet de laisser le temps aux novices de s’adapter à  leur rythme, merci pour eux donc ! Personnellement je suis plus adepte du système de la jauge ATB (FF5, FF8) qui dynamise un peu les phases très vite répétitives des combats. Heureusement, la bande son est là  pour donner un petit coup de fouet à  tout à§a ! C’est encore Nobuo Uematsu qui s’y colle, pour notre plus grand plaisir auditif. Cela ne vous empêchera pas, après une première phase enthousiaste, de couper le son après, je dirai… 53 combats et demi pour les plus endurants. De plus, et c’est souvent le cas avec les consoles portables, il est difficile d’apprécier une bande son dans le métro avec un gars qui pose limite sa tête sur votre épaule pour regarder ce que vous faites. Je vous invite donc à  la rechercher sur internet pour l’écouter au calme !

Passons maintenant au scénario, nous parlions quelques lignes plus haut de la similarité du système de combat, je réitère donc ma critique sur le scénario : rien n’a changé en 5 opus ! Guerriers de la Lumière, cristal brisé, monde en danger… une impression de déjà  vu ? C’est normaaaallll !!! Je me permet donc d’allumer un peu ce manque agaà§ant d’originalité dans le synopsis, mais remettons nous dans le contexte, il ne s’agit que du troisième volet de la saga, il est normal qu’on en ai vu d’autres depuis, relativisons donc…

Je m’en vais maintenant entamer ce qui me semble un des aspects essentiel d’un bon RPG, le degré de profondeur des personnages ! Ici, je dirai que sur une échelle Darwinienne, nos héros sont aussi aboutis et intéressants que la moule séchée au sommet du rocher Breton. Ils se contentent de faire acte de présence et de se battre, ils n’ont absolument aucune histoire, rien, nada ! Tout cela enlève une grande partie de l’intérêt du jeu, puisque pas de quêtes annexes pour résoudre la grande énigme qui règne autour de la naissance de Truc, ou sur la mort des parents de Machin. Autre fait troublant et rapidement agaà§ant, on se retrouve dans un monde merveilleux o๠tout le monde est « ami » au bout de dix minutes, et attention, ici pas de potes, c’est à  la vie à  la mort ! On retrouve ainsi des dialogues ponctués de « Allons-y les amis ! », « Merci les amis ! » ou encore « Vous m’avez sauvé la vie les amis ! ». Sentiment généré par de la jalousie de ma part me direz vous ? Mauvaises langues !

Enfin quelques remarques sur la jouabilité : le support DS oblige, il fallait qu’une gestion au stylet soit possible, il est ici complètement anecdotique voir handicapant ! En effet, la fonction « soigner tous », par exemple, est impossible à  réaliser au stylet, de même que d’autres actions. Alors à  quand une vrai gestion au stylet dans un FF ? Autre remarque : le coté «old school », bien que légèrement modifié par les systèmes de sauvegarde rapide, est parfois assez difficile psychologiquement parlant, je pense notamment à  la phase finale o๠il est impossible de sauvegarder ou de récupérer des MP ou HP, alors qu’il y a 2 boss et 4 demi boss à  tuer, tout cela après avoir gravi une tour remplie de monstres… Autant dire qu’il ne faut pas se louper !

Je crois désormais avoir fait le tour de ce troisième volet de la série des Final Fantasy re-visité pour la Nintendo DS ! Ainsi, malgré une bonne réalisation graphique et musicale, le jeu reste très répétitif avec trop peu d’échappatoires à  un scénario linéaire. J’ai du personnellement puiser dans mes ressources profondes et inexploitées pour avoir le courage d’aller jusqu’au bout.

Ce sera donc un 4/10 un peu sévère qui mettra un point final à  cette critique, plus pour le jeu en lui même que pour l’adaptation.

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