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Hadopi fait beaucoup parler et si l’évolution que connaît le projet vous intéresse, sachez que vous pouvez en savoir encore plus, presque heure par heure, en suivant HadopInsiders sur Twitter.
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3 commentaires
  1. 1- D’un côté, nous avons une industrie culturelle déclinante n’assumant pas le proxénétisme économique et la pandémie infantilisante qu’elle exerce sous le regard de son débiteur. Celui-ci est à la fois une fondation philanthrope de gestion nationale et une entreprise d’import/export.
    2- De l’autre côté, nous avons une infinité de niches de population n’ayant rien à voir les unes avec les autres, mais faisant front par principe de précaution. Nous prouvant par la même occasion à quel niveau de léthargie se trouvent nos sociétés occidentales pour qu’un luxe devienne une lutte nécessaire.
    3- Au centre, se trouve le gros du troupeau qui n’a pas d’avis et fait preuve d’intelligence situationniste ou d’indifférence banale sur ce combat qui est à la fois d’avant-garde et d’arrière-cour.
    4- Dans toutes les batailles, il y a des pertes acceptables. Mais comme nous ne prenons plus plaisir à nous salir les mains avec une de ces barbaries ancestrales, les invectives servent de nos jours de courroux médiatique ou de Hit Combo virtuel pour le bonheur des voyeurs générationnels et des lâches éternels.
    5- Quand on pratique l’affrontement constant ou la paix commémorative pour occuper son temps, c’est que l’on est plus en mouvement. Alors la guerre civile des flux a-t-elle un sens ?
    La suite ici :
    http://souklaye.wordpress.com/2009/03/13/creation-internet-et-insultes-gratuites/

    Si la guerre propre consiste à une extermination massive, mais sélective, je ne sais pas si je dois avoir plus peur de la course à l’armement des États ou celle de l’équipement des foyers en informatique familial.
    Au fond, il n’y a pas de différence entre les deux, si ce n’est la démocratisation à outrance au nom du progrès et des actionnaires, petits ou gros.

    Le mythe de la technologie de service laisse peu à peu place à l’assistanat compensateur.
    Le tout fonctionnel transforme le temps d’activité en consommation passive.

    Quand les objets deviennent des outils, on peut observer les premiers signes de dépendance émotionnelle.
    Pas besoin d’une grande imagination banale ou d’une de ces paranoïas simulées pour constater que notre écosystème subit une profonde mutation
    La suite :
    http://souklaye.wordpress.com/2009/02/24/effets-secondaires-de-la-fracture-numerique/

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