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Un magnifique court-métrage sur la conquête spatiale nous montre l’avenir de l’Humanité

Attention. Je vais utiliser le mot magnifique de nombreuses fois dans cette news. Wanderers est un magnifique court-métrage du suédois Erik Wernquist. Un court métrage qui…

Attention. Je vais utiliser le mot magnifique de nombreuses fois dans cette news.

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Wanderers est un magnifique court-métrage du suédois Erik Wernquist. Un court métrage qui vaut le coup d’oeil, vraiment. Vous avez quatre minutes devant vous ? Regardez cette vidéo. Vous n’avez pas quatre minutes devant vous ? Alors prenez les et regardez cette vidéo.

Ce court métrage, magnifique, donc, nous emmène dans un futur pas si lointain où l’Humanité a colonisé le système solaire. Les plans, somptueux, nous montrent des endroits qui existent réellement et ici, colonisés par l’Homme.

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Un voyage extraordinaire qui vous fera partir de la Terre pendant quatre minutes, le tout est narré par Carl Sagan, dont Erik Wernquist a récupéré un vieil enregistrement.

MAGNIFIQUE, ON VOUS DIT !

Wanderers – a short film by Erik Wernquist from Erik Wernquist on Vimeo.

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12 commentaires
  1. Magnifique effectivement.
    En plus ayant regardé toute la saison de Cosmos A SpaceTime Odysssey avec Neil Degrasse Tyson, ça émerveille et déprime un peu à la fois

  2. Somptueux et émouvant, j’adore !

    Error32 : +1, trop tot ou trop tard (j’aurais aussi adoré être en direct d’Apollo 11 à la TV !)

  3. Magnifique, ces images sont superbes. On est né trop tôt pour connaitre vraiment tout ça, mais réjouissons nous, imaginez quelques instant que ces mondes qui nous fascinent soit notre réel, notre quotidien, des terres sauvages désolées et extrêmement hostiles et que l’homme qui ne connait que ça découvre… la Terre… un diamant dans l’univers, accueillante ou il y a tout pour que l’humanité y prospère. Cette Terre nous l’avons déjà et nous la pourrissons jusqu’à sa mort. Bon allez je me casse sauver le monde 😉

  4. Le texte est vraiment superbe également. Je me suis permis d’offrir une traduction pour les non-anglicistes, même si je n’ai pas le talent d’écriture d’un Carl Sagan.

    “Malgré tous ses avantages, la vie sédentaire nous a laissé sur la brèche, incomplet. Même après 400 générations à vivre dans des villages et des villes, nous n’avons pas oublié. L’horizon lointain nous appelle encore de sa voix douce, comme une comptine d’enfant presque oubliée. Je suspecte que cet appel a été méticuleusement conçu par la sélection naturelle, comme un élément essentiel pour notre survie. Les longs étés, les hivers doux, les riches récoltes et le gibier abondant – rien de ceux là ne durent jamais vraiment. C’est au delà de nos moyens de pouvoir prédire l’avenir. Les événements catastrophiques ont cette manière d’échapper à notre vigilance, de passer sous notre garde.
    Votre vie, ou votre marque, ou même votre espèce peuvent dépendre d’une minorité insatiable, qui est modelé et motivé par un besoin, difficile même pour eux à articuler ou expliquer, qui est de découvrir des terres inexplorées et des nouveaux mondes.
    Herman Melville, dans Moby Dick, parlait pour les voyageurs de toutes les époques et sous tous les méridiens : “Je suis tourmenté par une curiosité sans fin pour les choses éloignées. J’aime naviguer dans les mers interdites…”
    Peut être qu’il est un peu trop tôt. Peut être que le temps n’est pas encore venu. Mais ces autres mondes, qui nous promettent des opportunités insoupçonnées, rayonnent.
    Silencieusement, ils tournent autour du Soleil, et attendent.”

    Et le texte original :
    “For all its material advantages, the sedentary life has left us edgy, unfulfilled. Even after 400 generations in villages and cities, we haven’t forgotten. The open road still softly calls, like a nearly forgotten song of childhood. We invest far-off places with a certain romance. This appeal, I suspect, has been meticulously crafted by natural selection as an essential element in our survival. Long summers, mild winters, rich harvests, plentiful game—none of them lasts forever. It is beyond our powers to predict the future. Catastrophic events have a way of sneaking up on us, of catching us unaware. Your own life, or your band’s, or even your species’ might be owed to a restless few—drawn, by a craving they can hardly articulate or understand, to undiscovered lands and new worlds.
    Herman Melville, in Moby Dick, spoke for wanderers in all epochs and meridians: “I am tormented with an everlasting itch for things remote. I love to sail forbidden seas…”
    Maybe it’s a little early. Maybe the time is not quite yet. But those other worlds— promising untold opportunities—beckon.
    Silently, they orbit the Sun, waiting.”

  5. Hmm….j’espère qu’être né à notre époque nous investit du devoir de transmettre nos rêves, notre désir de voyager plus loin que sur notre bonne vieille Terre, notre peur d’y mourir et notre mission d’aller coloniser l’espace et les mondes que nous trouverons pour nos besoins, et ce de la meilleure manière possible.

    Parce que si notre génération se résume à un “P’tain, j’suis né trop tôt, fait chier, monde de merde…..”, nos gosses auront carrément pas envie de vivre le moindre rêve…..à la limite, s’ils quittent un jour la Sphère Terrestre, ce sera sans doute juste pour plus entendre leurs vieux chialer et grogner….

    Transmettons les désirs, m’sieurs dames. Transmettons et faisons briller leurs yeux. A défaut de nous faire voir des merveilles, on s’assurera déjà que quelqu’un puisse la vivre, cette fabuleuse époque que l’on se prédit.

  6. Je retrouve les “vues d’artiste” qui me fascinaient, môme , en parcourant mes premiers albums d’Astronomie ( les formules mathématiques sont venues plus tard !…) . Evidemment, je ne suis pas vraiment satisfait du relatif fiasco de l’Astronautique, qui avait pourtant si bien commencé, avant de caler au bout de deux décennies et de subir la botte des “experts” en comptes-rendus financiers !… Ce qui fait que je n’ai jamais aperçu les métiers de l’Aventure spatiale où j’espérais bien m’insérer et que j’ai fait l’expérience décrite par Achille Talon, le héros bd de Greg : “il y a ceux qui écrivent l’Histoire et ceux qui ont besoin de lunettes pour la lire !…” J’ai espoir qu’une prochaine génération sera plus chanceuse ….

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