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Impression 3D : MakerBot licencie 20% de ses effectifs

MakerBot, un des start-ups les plus vue sur le marché de l’impression 3D, a de mauvaises nouvelles à partager. Malgré les dizaines de milliers de Replicator…

MakerBot, un des start-ups les plus vue sur le marché de l’impression 3D, a de mauvaises nouvelles à partager. Malgré les dizaines de milliers de Replicator vendus depuis 2009, l’entreprise doit en effet se séparer de 20% de ses effectifs.

MakerBot était depuis deux ans la propriété de Stratasys, autre constructeur d’imprimantes 3D plutôt versé dans l’industrie. Cette société a décidé de « consolider » ses effectifs en montrant la porte à une centaine des employés de MakerBot.

Après l’acquisition, des postes en doublon sont apparus, tandis que Stratasys a voulu fluidifier ses opérations. Avec pour corollaire des licenciements en bonne et due forme. Ces départs, provenant de l’un des fabricants les plus connus du secteur des imprimantes 3D, ne sont pas de bon augure pour l’ensemble de ce marché. Malgré les promesses de lendemain qui chante, pour le moment on ne peut pas dire que cette technologie est parvenue à s’imposer chez le grand public ; quant à son implantation dans les entreprises, elle existe mais le déploiement est encore bien lent.

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3 commentaires
  1. Pourtant autour de moi ça n’arrête pas (moi y compris) … par contre ce sont plutôt des achats de kit à monter plutôt que d’imprimantes “industrielles”.

  2. Seuls les média ont annoncé un beau futur à l’impression 3D grand public. La majorité des professionnels du secteur ont très vite compris que l’enjeu était dans le B2B.
    D’autre part, il faut comprendre que MakerBot jouissait d’une bonne image de marque auparavant. Stratasys a fait l’acquisition d’une communauté. Cependant, MakerBot s’est reposé sur ses acquis et n’a pas proposé de machines plus fiables à un prix moindre. Son concurrent principal, Ultimaker, a lui su se démarquer par la qualité de ses machines au même prix que les MakerBot.
    Bref, ils ont l’air de comprendre que le grand public n’est pas prêt à mettre 2000€ dans une machine qui fait des pièces plastiques unicolores… Recentrage vers le B2B logique.

    PS : on n’est pas sur un journal de presse mais par pitié, un minimum de relecture…

  3. Ah bah c’est sûr la 3D c’est du passé. D’ailleurs le secteur de l’informatique c’est has been.
    La bouffe, la garderie d’enfant, l’armée, la police, le chauffage aussi, en Europe :
    voilà des secteurs dans lesquels faut mettre ses actions. Loi de Moore garantie…

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