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Birdly vous fait voler comme un oiseau… en VR !

Créé par la société suisse Somniacs, en partenariat avec l’Université d’art et de design de Zurich, Birdly est un simulateur en réalité virtuelle capable de vous…

Créé par la société suisse Somniacs, en partenariat avec l’Université d’art et de design de Zurich, Birdly est un simulateur en réalité virtuelle capable de vous faire voler comme un oiseau !

CP:  telegraph.co.uk
CP: telegraph.co.uk

Le projet annoncé il y a un peu moins d’un an, a déjà beaucoup fait parler de lui. Il sera accessible le 3 septembre prochain en Suisse, au Museum für Gestaltung (Musée du design – Schaudepot) de Zurich, et ce pendant quatre mois. On le retrouvera ensuite en Allemagne, au ZKM (Centre d’art et de technologie des médias) de Karlsruhe, à partir de début octobre.

Développé pour “explorer l’expérience sensorielle d’un oiseau qui vole”, Birdly n’utilise pas uniquement un Oculus Rift (avec le point de vue de l’oiseau) pour vous donner l’impression de voler, vous êtes en plus allongé à plat ventre, les bras en croix, et vous dirigez réellement votre vol en battant des ailes ou en donnant la direction en vous penchant d’un côté ou de l’autre. Pour rendre l’expérience encore plus réaliste, effets sonores et ventilateurs viennent compléter le tout.

Un projet vraiment intrigant qui ne sera malheureusement pas commercialisé à grande échelle selon le fabricant.

Birdly New York from maxR on Vimeo.

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5 commentaires
  1. Moi ce qui me fait marrer c’est que l’on essaie au moyen de machineries plus ou moins complexes, de reproduire ce que l’on vivait “naturellement” au moyen d’une pilule de LSD (ayant un certain âge ou plutôt un âge certain, il y a fort longtemps que j’ai décroché et pour tout dire je n’en ai pris qu’une fois en me jurant de ne pas recommencer, mais j’en garde le souvenir, surtout d’ailleurs parce que cela s’est finit en bad trip interminable (inter minables)) dans les années 70. Cependant, il y a là un paradoxe qui mérite d’être souligné me semble-t-il 🙂
    Politiquement correct oblige, je précise que je ne fais pas l’apologie des psychotropes (qui conne dit plus haut ne m’ont pas laissé un bon souvenir) mais je pose une question qui me semble être un paradoxe.

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