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La PC Engine CoreGraphx mini enfin disponible

Le rayon des mini-consoles rétro continue de s’enrichir : Konami a finalement lancé la commercialisation de la PC Engine CoreGraphx mini en France !

Crédit : Konami
Crédit : Konami

Les joueurs adeptes du rétro-gaming ne savent plus où donner de la tête, entre les NES et Super NES Mini, la Mega Drive Mini, et bientôt la Game Gear Micro annoncée par Sega il y a quelques semaines. Konami leur fait désormais de l’œil avec la PC Engine CoreGraphx mini, une console peu connue en France, mais à l’aura culte chez les fans.

Une console culte

La PC-Engine a été lancée en octobre 1987 au Japon. Cette console 8 bits fabriquée par NEC en collaboration avec l’éditeur Hudson Soft a connu un succès tel dans l’archipel qu’elle a été considérée comme la vraie concurrente de la NES de Nintendo. Ses qualités techniques lui permettaient d’afficher 482 couleurs et 64 sprites simultanément à l’écran. De quoi en remontrer aux autres consoles de l’époque.

La PC-Engine s’est rapidement spécialisée dans les jeux d’arcade, en particulier les shoot’em up, mais sans renier les jeux de plateformes nerveux. Son catalogue, qui compte 600 titres environ, fait aujourd’hui la joie des amateurs d’émulation. La console acquiert rapidement un statut enviable auprès des joueurs, qui en dehors du Japon devaient faire des pieds et des mains pour en acheter une.

Il a fallu le dévouement du groupe français Sodipeng pour que la PC-Engine soit officiellement importée dans l’Hexagone en novembre 1989, sous le nom CoreGrafX. NEC a préféré se concentrer sur le marché américain, où la console a été lancée durant l’été, avec là aussi un nouveau nom… un peu mensonger : TurboGrafx-16. Il fallait bien se comparer favorablement à la Mega Drive…

Après avoir repris le flambeau, Konami a dévoilé son projet de lancer une version mini de la mythique console. Le lancement a subi du retard en raison du coronavirus, mais elle est finalement disponible au prix de 109,99 € sur Amazon. 57 jeux sont intégrés, 26 jeux PC Engine (versions japonaises) et 24 jeux TurboGrafx-16 (versions anglaises), avec plusieurs modes d’affichage mais une seule manette.

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7 commentaires
  1. ” elle a été considérée comme la vraie concurrente de la NES de Nintendo.”
    Non, de la Super Nes ou SNES ou Super Nintendo ou Super Famicom, mais surement pas de la NES…

  2. ben non, a sa sortie, il n y avait ni snes ni megadrive… donc elle se comparait bien a la NES !!!
    pour rappel elle est sortie 1 an avant la megadrive et il me semble 2ans avant la super famicom, elle n aurait donc elle etait bien consideree comme la vraie conccurente de la NES

  3. On m’explique pourquoi les gens achètent ces consoles alors qu’un Recalbox permet 1000 fois plus ne serait-ce QUE pour Konami ?

  4. Le plaisir d’avoir un produit qui ressemble à l’original.
    Un produit plug & play.
    Un produit légal.

    Et enfin, la méconnaissance des solutions alternatives telles que Recalbox.

  5. J’ai encore la mienne.. rien que pour Devil Crash, je l’utilise encore régulièrement ! Et plein de jeux japonais hyper addictifs ..😀

  6. Faux! Le nec etait tellement en avance sur son temps qu elle a été à la fois une concurrente des consoles 8 bits nes et mastersystem sega, puis meme de la super nes et de la mégadrive! Cette console nec etait une merveille qui n’ a pas connu le succés qu’ elle meritait en dehors du japon!

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