À un an jour pour jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques 2024 à Paris, le comité d’organisation vient de présenter la star de cette quinzaine, la torche olympique. Dessiné par Mathieu Lehanneur, elle sera produite dans les usines de Woippy et de Florange de l’entreprise ArcelorMittal en utilisant de l’acier recyclé.
Réalisée en de nombreux exemplaires, la torche olympique aura la lourde tâche de transporter la flamme olympique lors du « relais » qui précède la cérémonie d’ouverture. Durant 80 jours avant le début de la compétition, la torche olympique va sillonner le pays, de Marseille à Paris en passant par Brest mais aussi Papeete. Un vrai tour de monde qui se conclura sur les bords de la Seine le 26 juillet prochain.
Un voyage sous haute protection
Afin d’assurer que la flamme olympique ne s’éteigne jamais au cours de ce périple, elle est alimentée au cœur de la torche par du gaz biosourcé. Cette solution est moins polluante que du gaz naturel (au même niveau que le biocarburant par rapport à l’essence classique). Mais pour être certain qu’il n’arrive rien à la torche olympique, c’est une équipe sur-mesure d’une dizaine de policiers qui a été sélectionnée pour ce périple.
Leur mission est d’assurer les relais d’une torche à l’autre. Au total ce sont plus de 2000 torches qui vont être construites et utilisées durant les 80 jours. Tout au long de son périple, la torche olympique passera de main en main. Des athlètes professionnels, mais aussi des amateurs auront ainsi la chance d’accompagner ce symbole des Jeux olympiques modernes sur quelques mètres.
Une torche « unique »
La torche olympique sera utilisée une première fois le 26 juillet pour allumer le feu des Jeux olympiques puis une seconde le 28 août pour la cérémonie des Jeux paralympiques. Le comité d’organisation à Paris a décidé d’utiliser la même torche pour ces deux compétitions, démontrant les nombreux points communs entre tous ces sportifs.
Selon le concepteur de la torche olympique, cette dernière est, pour la première fois de l’histoire, parfaitement symétrique. Cela devrait permettre de mettre en avant la flamme. Grande première également, il ne sera pas possible d’acheter une réplique de la torche olympique. Cette initiative avait été prise par Londres, Rio et Tokyo lors des trois dernières olympiades, mais Paris a décidé de réduire la production au strict nécessaire.
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Des jeux qui se veulent non populaires a des tarifs indécents, la ville de Paris inaccessible pendant 2 mois à la majeure partie de la population, des sans domicile ex filtrés de la capitale une flamme fabriquée en France chez … ARCELORMITTAL ??! La mémoire est courte sur l’histoire de Mittal.. du gaz bio sourcé une production limitée strict nécessaire pour compenser le défilé de jet privé qui aura lieu pendant les jeux. Ce sont les JO de l’hypocrisie et pour sur la France à la médaille d’or
Cette flamme olympique ressemble plus à une pub d’Evian qu’autre chose.
“je suis contre donc je suis” est la devise de ceux qui ne pensent pas, cela leur permet de remplir leur vide intérieur.