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On a regardé Peter Pan et Wendy pour vous éviter de le faire

Avec ce nouveau long-métrage inspiré d’un classique, c’est à croire qu’il n’y aura jamais le live action de trop chez Disney.

Petit à petit, l’industrie audiovisuelle continue de s’enfoncer dans un gouffre de remake, spin-off et reboots. Chaque conférence, événement ou convention s’accompagne de son lot d’annonces qui ont le mérite d’hérisser le poil des spectateurs. Récemment, la palme d’or du plus grand nombre de projets dérivés que personne n’a demandé revient à HBO et sa série Harry Potter ainsi que ses multiples spin-offs de Game of Thrones.

Depuis plusieurs années néanmoins, c’est Disney qui mène la marche avec un nombre toujours plus conséquent de remake live-action tous aussi moyens que les autres. Si le mouvement avait plutôt bien démarré avec Alice au Pays des Merveilles, Maléfique et Cendrillon, cette mode s’est rapidement transformée en cauchemar pour les fans de la firme aux grandes oreilles. À raison d’au moins un remake par an, Disney continue de déterrer ses grands classiques pour les passer sous une loupe terne au manque d’imagination flagrant.

Alors que le studio semblait revenir sur le droit chemin avec Cruella porté par Emma Stone, il marquait a nouveau sa chute avec Pinocchio a destination de Disney+. Sorti à quelques mois d’intervalle avec la réinterprétation de Guillermo del Toro pour Netflix, le petit pantin de bois n’est pas aussi bien logé chez Mickey. Aujourd’hui, c’est au tour de Peter Pan et Wendy de subir le traitement remake et le constat est toujours le même.

Enfants perdus et temps perdu

Malheureusement pour la firme de Burbank, ce n’est pas ce long-métrage qui fera honneur aux 100 ans du studio. Comme l’avait laissé présager les bande-annonces, Peter Pan et Wendy est un film sombre et morose. Il n’y a plus de doute possible, il s’agit véritablement du dénominateur commun à l’ensemble des productions live-action de Disney.

Chaque direction artistique semble faire le raccourci suivant : monde réel = manque de couleurs et de lumières. Bien que nous ne vivions pas dans un univers aux teintes aussi vives que les dessin animés d’antan, un film en prise de vue réelle ne doit pas nécessairement jouer avec les ténèbres pour faire transparaitre un semblant de réalisme.

Certains films live comme Alvin et les Chipmunks, Garfield ou plus récemment Sonic et Détective Pikachu n’hésitent pas à créer des personnages haut en couleur dans un monde à la colorimétrie normale. Mais puisque Peter Pan et Wendy tente une réinvention plus mature et originale de l’histoire culte, Disney tombe directement dans le piège des images maussades.

Malheureusement, cela joue entièrement en la défaveur du long-métrage qui parait alors vide de toute âme. Hook était également une réinvention plus sérieuse de cette histoire, mais ne souffre pourtant pas de ce problème. La proposition de Disney+ ne laisse qu’une impression d’ennui et de tristesse qui sonne ainsi comme une perte de temps.

De bon concepts qui se noient

Le pire dans tout cela, c’est que Peter Pan et Wendy est loin d’avoir un mauvais scénario. L’approche aux personnages est entièrement différente et propose même quelques twists surprenants qui ont le mérite de retenir notre attention. Seulement, il faut attendre presque une heure avant que le long-métrage s’éloigne enfin de l’œuvre dont il s’inspire. Toute la première partie ne s’avère être qu’une recréation bête et méchante du dessin animé de 1953, les musiques et la joie en moins.

Pour couronner le tout, le Pays Imaginaire est si vide qu’il ne mérite même plus son nom. Qui pourrait imaginer une chose pareille ? Les scènes en vol ou en mer nous donnent l’impression d’être sur les cotes Irlandaises en plein jour de pluie. Loin de considérer que ces paysages celtes ne puissent être magnifiques, ce n’est absolument pas l’image qu’ont les spectateurs du monde de Peter Pan.

On notera cependant que les acteurs sont plutôt convaincants dans leurs rôles. Jude Law apporte un nouveau visage au Capitaine Crochet et permet de développer ce personnage trop souvent relayé au rang de simple méchant. L’inclusivité est également un point positif majeur de ce long-métrage.

La tribu de Lily la Trigresse est enfin respectée, tandis que les Enfants Perdus sont un exemple parfait de diversité pour les petits spectateurs. Tous pourront se retrouver dans cette histoire, et l’inclusion d’un enfant atteint de trisomie 21 nous est allé droit au cœur. Malheureusement, les acteurs se perdent tous dans un scénario au rythme trop lent et un univers presque triste qui ne donne que très peu envie de s’investir.

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Notre avis

Les fans de Peter Pan pourront essayer de donner une chance à ce film, mais force est de constater que la déception risque d'être conséquente. Mais où sont donc passés les arcs-en-ciel et la poussière de fée ? "Rêve ta vie en couleur", chantonnait le long-métrage original qui semble avoir perdu le secret du bonheur dans cette nouvelle édition.

L'avis du Journal du Geek :

Note : 2 / 10
33 commentaires
  1. ” L’inclusivité est également un point positif majeur de ce long-métrage. ”
    non, non et non. Qu’est ce qu’il ne faut pas lire….

  2. “L’inclusivité est également un point positif majeur de ce long-métrage” / “Tous pourront se retrouver dans cette histoire”

    C’est justement tout le problème.
    Je n’ai pas réussi à tenir plus de 15 minutes, tant c’était volontairement forcé, et wokiste.

  3. Je suis outré par le choix des personnes mais où sont nos classiques de notre enfants du grand n’importe quoi sa n’a plus aucun sens !

  4. Même sentiment que les commentaires précédents.
    Je savais juste pr Clochette avant de démarrer le film. Même Wendy m’a fait chier, on dirait Milla Jovovitch ds Résident Evil!! Peter Pan sort tt droit d’un film de Bollywood, Clochette ne m’a finalement pas trop dérangé, il faut dire que ds cette inclusivité poussée très loin elle passe encore bien, elle au moins a su s’imprégné du personnage… Contrairement à Jude Law qui a massacré tt le charisme du Capitaine Crochet!!! Il aurait pu être crédible si c’était Pirates des Caraïbes, mais là!! C’est Peter Pan et lui qui m’ont fait dire STOP à la 15e minute du film. Je n’ai clairement pas pu aller + loin.

  5. Wokisme de merde . Dans Garçon perdu il y a Garçon. En plus un personnage fait la remarque et la réponse c’est littéralement “on s en fout” . Non l’inclusion façon Disney c’est de la MERDE

  6. Je l’ai regardé dans sa totalité, oui il y a des métis des noirs un enfant atteint de trisomie 21 mais c’est le 21eme siècle sérieux… On voit les boycott les déçus, ceux qui veulent que ce soit juste un remake total du dessin animé classique. C’est un bon film, on y retrouve certaines musiques de notre enfance et des nouvelles qui changent aussi le monde. Il faut se dire aussi que le remake rend aussi l’histoire différente ce qui est tout à fait normal, Wendy qui ne veut pas quitter ses frères, Lili la tigresse qui est une rebelle, l’histoire entre peter et crochet. Nous sommes dans une ère ou dans les dessins animé les noirs les métis les trisomique n’étaient jamais utilisé comme il le fallait, les noirs étaient les esclaves ou les indiens, les blancs les héros, il faut accepter les modifications et voir le film comme si le dessin animé n’avait jamais existé. C’est un beau film et ce genre de critiques ne sont pas du tout fondés.

  7. Désolée mais quand je vois la fée clochette je crois voir un Orc qui c’est déguisé en fée et sa fait saigné nos yeux

  8. “L’inclusivité est également un point positif majeur de ce long-métrage.”

    Bande de tarés qui comptent les noirs dans la salle

  9. La haine bas de plafond et biaisée dans les commentaires, des gens pas capables de prendre une réexploitation sans laisser de coté la vive douleur faite à leur nostalgie que provoque un casting qui rempli un cahier des charges maladroit.

    Ouais y’a de l’inclusion qui semble être là juste pour le principe, mais si ça aide des gosses à penser que c’est juste normal, et ça l’est, même quand c’est maladroit et mercantile, ça reste un effet positif sur le long terme. D’où l’appréciation de la rédaction.

    Je suis de ceux qui sont blasés des réexploitations faciles de classiques de l’animation made in Disney, mais en ce qui concerne Peter Pan, on en est pas au premier portage live à l’écran, tout comme les dessins animés, et il faut bien reconnaître au film cette volonté d’avoir une réécriture différente de personnages pourtant connus. Y’a vraiment du positif tant dans le développement que dans la conclusion. Le film suit un chemin qui est proche du classique de 1953, mais jamais dans un copié collé à l’identique, les choses se passent de façon suffisamment différentes pour garder la curiosité éveillée de ceux qui attendent justement de tâcler les scénaristes sur la paresse d’écriture. C’est pas une révolution, mais pour un troisième film live sur Peter Pan, et qui reprend beaucoup de son homologue animé, ça reste louable.

    Y’a pas de réemploi à l’usure de ce qui faisait le succès du film d’animation, les musiques sont belles, les chansons originales, et les costumes mélangent une foison d’époques qui expriment en sous-texte la longévité du pays Imaginaire. Le jeu d’acteur est convainquant, surtout pour des enfants, jamais trop dans l’excès, même si on pourrait s’attendre à un Peter plus espiègle. Exit la rivalité entre Wendy et Clochette qui dans les versions précédentes ne font qu’appuyer ô combien Peter est fantastique, que c’est un héros, alors que bon… Peter est un égocentrique centenaire un peu sociopathe en vrai, et bien ici, son importance, sa parole et ses actes sont remis en cause. Il ne passe pas son temps à sauver Wendy, elle fini par se débrouiller toute seule et devient une nouvelle source d’inspiration pour les autres. Crochet révéle bien des surprises, et le climax dans la confrontation se fait en total contrepied des adaptations précédentes.

    Personnellement, j’ai aimé, c’est pas un chef d’oeuvre, c’est un peu entaché par quelques maladresses qui relèvent d’un cahier des charges qui se veut inclusif, mais si vous êtes capable de faire la part des choses, mettez de coté ce pli un peu désagréable pour laisser une chance à cette nouvelle écriture. Elle ne mérite pas le bashing navrant que j’ai pu lire plus haut.

    À bon entendeur.

  10. Il n’y a que vous pour apprécier le wokisme à outrance de Disney! Bizarrement, la majorité des commentaires ne semblent pas l’approuver, et plus ça va aller et plus les gens sensés fuiront les produits de cette firme.

  11. @souleater34

    Pour moi c’est déjà fais depuis le premier live action de Disney.

    J’ai récupéré les premières versions DVD des films Disney, avant le rajout de nouvelles musiques du Roi Lion, ou de la Belle et la Bête, que je trouve nases aussi, pour mes neveux et nièces, et ils sont ravis de découvrir tant de magie dans cet univers animé.

    Et leur expliquer que de vrais lion étaient dans le studio pour les redessiner, c’est une dimension en plus qui les enchantent…

    Comme d’habitude je passerai à côté de ces films, c’est triste, car ça doit faire 20 ans que je n’ai plus été au cinéma, car j’ai déjà tout ce qui est sorti depuis dans ma dvdthèque… Pas besoin de payer 15€ pour être déçu a coup sûr quand les versions que j’ai sur mon rétroprojecteur rendent mieux que ce recyclage grossier…

  12. Personnellement j’ai beaucoup aimé ce film, j’ai trouvé le scénario bien construit, les acteurs touchants, surtout clochette, Crochet et Peter. Tiger Lily est ultra badass, charismatique et bien mise en valeur.
    Je rejoins le commentaire de Sauvage, que je remercie d’ailleurs pour son analyse censée.
    La seule chose sur laquelle je rejoins la critique de JdG c’est la pauvreté des décors du pays imaginaire. Cependant ce n’est pas très étonnant vu que l’arc narratif n’est pas fondé dessus.
    Le monde tel qu’il est aujourd’hui est un monde de diversité et Disney s’est donné pour devoir de rendre accessible à tous la possibilité de rêver et de s’identifier aux personnages des histoires qu’il raconte. Je trouve que cette inclusion est indispensable et très bien faite.
    Enfin pour rebondir sur la noirceur de certains lieux, je vois ce jeu d’images comme l’illustration des émotions des personnages. Les lieux où ils se sentent bien sont clairs, ceux qui les rendent tristes sont assombris par leur ressenti.
    Pour finir je dirais que c’est Un joli film, triste certes, mais à mon sens tous les films Peter Pan se terminent tristement pour cet enfant qui refuse de grandir.

  13. Il on tuer notre enfance entre ça et ariel rien ne va arrêter de faire des films aussi pourri que soit t’il sérieux voulais traumatisé les enfants de la nouvelle génération et tuer notre génération qui était des Disney simpa et simple…

  14. “L’inclusivité est également un point positif majeur de ce long-métrage.”

    Alors enfaite, non. Dans le vrai monde la plupart des gens font une réelle overdose de ça.

  15. L’inclusion des filles dans les garçons perdu c’est complètement débile. Les filles sont trop intelligentes pour s’y retrouver dans l’oeuvre originale, selon Peter. Les inclure, c’est les rabaisser, et ça prouve bien que au mieux, Disney ne connait pas ses propres œuvres, ou au pire, les déteste.

  16. Peu importe l’inclusion que les auteurs ont voulu en faire, si le public m’arrive pas a ce projeté c un echec, et cela n’a rien a voir avec du racosme ou de la haine. C’est une réécriture de l’histoire, nous attendons donc les classiques frqncais inclusifs avec impatience.
    Le film est très moyen, comme decrit sombre et a perdu tout son charme enfentin.

  17. Je n’ai pas encore vue le film mais j’avoue être très curieuse de voir ce que pourrait Jude Law en capitaine crochet !
    (Sinon les anti wokes trouvais vous une vie sérieux !)

  18. C’est moi ou on dirait que tous les membres du rassemblement national sont venus donner leur avis ? Ohh mon dieu un noir , vite j’arrête ma télé !!!

  19. Pas du tout d’accord avec le commentaire précédent.
    Ne pas apprécier les réécritures wokistes de l’Histoire (Cléopâtre, Anne de Boleyn…) ou des histoires (Peter Pan, la petite sirène…) ne fait pas de vous pour autant un facho. Ça s’appelle du terrorisme intellectuel.
    Pour inclure les minorités dans les œuvres, pourquoi ne part on pas d’un matériaux existant cohérent ? Kirikou c’était pas mal non ? Il n’y a rien à raconter sur les contes d’Afrique et d’Asie pour tordre les œuvres européennes et les faire rentrer dans un agenda idéologique douteux (communautarisme, racialisme, luttes horizontales, etc.) ?
    Il est là le problème selon moi, et c’est ça qui infériorise les “minorités”.

  20. Dans le conte d’origine Peter Pan est un fdp au propre comme au figuré. Il déteste les adultes à chaque qu’il en a l’occasion. C’est un horrible tueur en série qui tué un enfant perdu à chaque fois qu’il y en a un qui atteint la majorité. Désolé de ruiner vos illusions d’enfance mais vous pouvez vérifier.

  21. Theos, miaou et flo ont résumés les grandes lignes.
    Il ne s’agit pas de mélanine, mais d’agenda. Et quand c’est dirigé vers des enfants pour leur faire avaler une idéologie raciste (et oui privilégier des noirs, c’est un racisme comme un autre) et politique (blm & co), alors on sort de toute logique d’entertainment et on rentre dans une relecture / révisionnisme, à des fins idéologiques. Et Disney n’arrête pas. Coucou Bob Chapek.
    Et ça n’importe qui avec un cerveau n’arrive plus à l’avaler.

    Lisez le livre bordel, lisez J.M. Barrie, aucun de vous ne sait encore ce qu’est un livre, manifestement.

    Hook se suffisait à lui-même, trop compliqué pour la génération x, y, z, de regarder des films de 1991?

  22. “Ouais y’a de l’inclusion qui semble être là juste pour le principe, mais si ça aide des gosses à penser que c’est juste normal, et ça l’est, même quand c’est maladroit et mercantile, ça reste un effet positif sur le long terme.”

    On n’est pas obligé d’aller plus loin que “semble être là, pour le principe”…
    Les principes en effet. Des principes woke, et ce n’est clairement pas un hasard s’ils sont dorénavant dans toutes leurs productions.
    Forcer des idées, qu’on infuse dans la tête de gosses, par le biais de belles images (plus facile à avaler), ça n’a rien de positif, et ça n’a rien de normal. Pas besoin d’aller jusqu’au point godwin, pour que vous compreniez, à quel point, c’est dangereux, si?

  23. Theos, miaou et flo ont résumés les grandes lignes.
    Il ne s’agit pas de mélanine, mais d’agenda. Et quand c’est dirigé vers des enfants pour leur faire avaler une idéologie raciste (inversée) et politique, alors on sort de toute logique d’entertainment et on rentre dans une relecture, à des fins idéologiques.
    Et Disney n’en est pas à son coup d’essai. Coucou Bob Chapek.

    Avez-vous seulement lu le livre de J.M. Barrie ?

    Hook se suffisait à lui-même, trop compliqué pour la génération x, y, z, de regarder des films de 1991?

  24. “L’inclusivité est également un point positif majeur de ce long-métrage.
    La tribu de Lily la Trigresse est enfin respectée, tandis que les Enfants Perdus sont un exemple parfait de diversité pour les petits spectateurs. Tous pourront se retrouver dans cette histoire, et l’inclusion d’un enfant atteint de trisomie 21 nous est allé droit au cœur.”
    pia pia de journaliste suce boule qui ne veut pas perdre la caravane.

  25. Je suis tellement déçu de ce film.
    Si nous parlons du distribution comme la fée clochette qui ne correspond pas à cette petite fée jalouse que nous connaissons tous. C’est à mes yeux un tout autre personnage.
    Puis au niveau de l’univers qui ne m’a pas fait décoller. Les plaines peuvent être belles mais voir cela tout au long du film rendent le pays imaginaire fadent. Personne ne souhaite y aller car il n’y a rien d’intéressant ou même d’extravagant. Il y a si peu de couleur que je ne vois pas cette partie d’imaginaire.
    Le seul côté positif est l’inclusivité du casting mais qui n’est pas à la hauteur du scénario qui ne tourne plus entre Peter Pan et Crochet, plutôt qu’une possibilité laissons avec Wendy.
    Je reste déçu alors que je vais de nombreuses attentes de ce film qui n’est pas à la hauteur du film de 2003.

  26. franchement les disney live à part Alice et Maléfique, les autres ne m’ont pas attiré ou marqué.

    pour revenir sur la thématique film avec des enfants et afin d’oublier ce Disney united color of beneton woke je recommande le film Miss Pérégrine de 2016 pour ceux qui ne l’auraient pas vu. du grand Tim Burton.

  27. mdr tu m’as tué Justice, il a autant de charisme que les acteurs united color of benetton des 3 derniers Star Wars.

  28. Je félicite cet article qui évite de dénoncer le soit disant wokisme ça devient rare, car à la base le mot woke vient de Martin Luther King, qui veut dire éveiller les consciences.

    Quand je lis certains messages qui suivent, genre tel personnage n’a pas la bonne couleur de peau , je me dis que le message n’est pas passé .

    Quand Disney a adapté ces contes il les avait souvent bien édulcoré, personne n’avait trouvé à redire malheureusement.

    Je critique aussi cette politique bassement commerciale d’adapter leurs animés en live.

    Le pompage du jungle tatei de Tezuka parfois plans par plans pour le roi lion qui leur rapportait des milliards, alors que c’est du plagiat, la encore peu de personnes ont été outragé.

    Maléfique avait un angle différent et plus intéressant.

  29. Bravo pour cette note honnête. J’avais parié que JDG aurait joué le jeu de la propagande mainstream.

    Enfin si y a quand même du politiquement correct “L’inclusivité est également un point positif majeur de ce long-métrage.”

    C’est justement l’inclusivité qui est le problème principal. En suivant le cahier des charges ont même une Wendy “femme forte” en personnage principal, avec Lilly la trigresse et on diminue Peter pan qui sera remplacé par un latino. Pareil pour les enfants perdus etc.

    Et on arrive au même résultat, aucun personnage n’a de profondeur et se résume à son genre ou son ethnie pour se voir coller le stéréotype qui va avec.

    Pour rappel, plus c’est inclusif, moins c’est fédérateur et donc plus c’est exclusif.

  30. Film qui manque de saveur hélas… décors trop sombre, manque d etoiles dans le ciel, manque du peuple indiens et des sirenes au pays imaginaire, Wendy qui se transforme en véritable râleuse qui es déçu du pays imaginaire (on croirait la fille de Wendy dans peter pan 2 version animé qui ne fait que de se plaindre). Jean et Michel ont des rôles quasi inexistants. Les garçons perdus incluent des filles (vraiment inutile et dénués de sens), le crocodile devient un monstre géant et n’est plus du tout comme la version drôle du dessin animé… peter pan paraît beaucoup trop jeune mais bon son jeu reste convenable et celui de crochet reste correct et sa nouvelle histoire est très intéressante. La fée clochette reste assez discrète et ne choque pas vraiment qu’elle ai la peau noire. Mais bref ça manque vraiment de magie ce film. On a du mal à croire que ce soit l œuvre de Walt Disney. On aurait cru à une nouvelle adaptation d’un autre studio… hook avait plus de charme. Pan j’ai jamais regardé.

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