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Test flash : clavier Sharkoon Skiller

Une fois n’est pas coutume, nous testons à nouveau un clavier destiné aux joueurs : le Sharkoon Skiller. Vendu à prix discount (environ 15 €) ce…

Une fois n’est pas coutume, nous testons à nouveau un clavier destiné aux joueurs : le Sharkoon Skiller. Vendu à prix discount (environ 15 €) ce clavier est accessible à ceux qui ont un petit budget, mais il est également performant, comme l’exige un clavier pour gamer. Il adopte donc l’apparence, les fonctionnalités et les touches d’un clavier pour gamer, cependant, est-il réellement destiné aux joueurs ? Réponse dans ce test.

Apparence :

Le Sharkoon Skiller adopte un look familier aux gamers purs et durs. Formes angulaires, matière plastique noir laquée, le Skiller a tout pour plaire. Il dispose des 107 touches classiques, plus vingt boutons placés sur le côté et le haut du périphérique. Petit ajout pour séduire les joueurs, le logo Sharkoon rétro-éclairé. Par contre les touches elles, ne sont pas rétro-éclairées, ce qui est attendu pour un clavier si peu cher, mais assez handicapant au final. Enfin, des touches supplémentaires sont proposées avec le clavier, remplaçant les classiques ZQSD (WAZD sur la version testée) et haut bas gauche droite. Ces dernières ont pour but de finir de nous persuader que nous avons bien là un clavier destiné au gaming. Côté design, le Skiller est un pur clavier gamer, malgré l’absence de touches rétroéclairées et une finition qui fait pâle figure face aux ténors du genre, comme par exemple le G110.

Caractériques :

Le Sharkoon Skiller est assez massif, ce qui est plutôt habituel pour un clavier destiné au jeu. Faisant 485 mm de large, 212 mm de hauteur et 25 mm d’épaisseur, le Skiller entre dans la norme des claviers destinés aux jeux. Son poids est étonnamment léger avec ses 603 grammes, mais cette caractéristique est peu importante pour un périphérique qui ne devrait pas bouger de votre bureau une fois installé. Le fil USB sera assez long, 150 cm, ce qui vous permettra de le placer assez loin de votre machine. Chaque touche peut supporter jusqu’à dix millions de frappes, ce qui est plutôt correct, et dispose également d’un repose-poignet non amovible qui malheureusement est trop peu large pour être réellement utile. Enfin, le Skiller est vendu avec un Cd d’installation (de 8cm !) qui vous permettra de faire des macros et de créer jusqu’à 10 profils différents.

Utilisation :

Pour l’anecdote, je tape ce test avec le Skiller. L’écriture sur ce clavier est plutôt agréable si l’on aime ce genre de frappe malheureusement pas mécanique. Les touches en plastique sont légèrement granuleuses, ce qui donne un toucher très agréable. Il est assez bruyant et sera par exemple très handicapant pour les sessions nocturnes de jeu. Le repose-poignet, inexistant, vous donnera quelques crampes après de longues heures d’utilisation, ce qui est un peu dommage pour un clavier dédié aux jeux. La surface noire nacrée sera également un handicap si vous êtes un maniaque de la propreté, la poussière et les traces de doigts vous donneront la vie dure. Les 20 touches supplémentaires dédiées au multimédia sont très bien placées. Contrairement à un Logitech G110 par exemple, il faudra le faire exprès si vous tapez par erreur sur l’une d’elles. Dédiées au multimédia, elles sont dédiées à la lecture de vidéos sur le coté droit, au travail sur documents écrits sur la gauche, et enfin, à différentes fonctionnalités comme l’ouverture de mails ou la mise en veille sur le sommet. Malheureusement, aucun n’est dédié au changement de profil, et il vous faudra passer par le logiciel fourni avec le périphérique.

Logiciel :

Comme tout bon périphérique gamer, le Sharkoon est vendu avec son logiciel dédié qui vous permettra de configurer votre jouet. Au menu, édition de profil, attribution de macros… Sur chaque profil, vous pourrez configurer jusqu’à trois utilisations de claviers différents. Malgré le fait que dans le logiciel, les touches rétroéclairées apparaissent, la version à 15 € n’en bénéficie pas, et vous ne pourrez changer la couleur du logo, qui restera bleue dans tous les cas. Ce manque de personnalisation ne dérangera que les adeptes des LEDS, qui aiment par exemple coordonner les lumières de leur tour, souris, boitier casque et clavier. Un peu cheap, le logiciel remplit son contrat en étant limpide et lisible, mais ne propose pas une expérience aussi poussée que d’autres claviers gamer à prix élevés.

Gaming :

Venons-en au coeur du test : la partie gaming. Tout d’abord, comme dit plus haut, les touches non mécaniques sont assez bruyantes, ce qui est assez handicapant si vous jouez de nuit. De plus, l’absence de rétroéclairage vous pénalisera durant les sessions nocturnes, tous feux éteints. En contrepartie, le clavier vous fournit un jeu de huit touches bleues remplaçant les touches directionnelles et ZSQSD. Bleues ciel, ces touches jugeront avec votre périphérique une fois installées, mais qu’importe, elles sont là et bien visibles. Concernant ces touches, elles sont extrêmement bien pensées. En caoutchouc granuleux, elles accrochent bien aux doigts, mais par contre, sont assez désagréables, voire irritantes, par temps de grosses chaleurs quand vous suerez des doigts. Mais à part cela, la matière est assez bonne pour de bonnes performances de jeu, et les touches ont l’avantage d’être instantanément reconnues au toucher. Un excellent point.

Conclusion :

Clavier gamer à petit prix, le Sharkoon Gamer remplit son contrat et s’avère assez bon au final, lorsque nous prenons en compte le fait qu’il n’est qu’à 15 €. Certes, il n’atteint pas la cheville des ténors du genre qui dépassent les 70 €, mais reste très honnête et assez agréable à utiliser. Bref, un clavier pour les gamers pas trop exigeants et ruinés par les soldes d’été de Steam.

Une fois n’est pas coutume, nous testons à nouveau un clavier destiné aux joueurs : le Sharkoon Skiller. Vendu à prix discount (environ 15 €) ce clavier est accessible à ceux qui ont un petit budget, mais il est également performant, comme l’exige un clavier pour gamer. Il adopte donc l’apparence, les fonctionnalités et les touches d’un clavier pour gamer, cependant, est-il réellement destiné aux joueurs ? Réponse dans ce test.

Apparence :

Le Sharkoon Skiller adopte un look familier aux gamers purs et durs. Formes angulaires, matière plastique noir laquée, le Skiller a tout pour plaire. Il dispose des 107 touches classiques, plus vingt boutons placés sur le côté et le haut du périphérique. Petit ajout pour séduire les joueurs, le logo Sharkoon rétro-éclairé. Par contre les touches elles, ne sont pas rétro-éclairées, ce qui est attendu pour un clavier si peu cher, mais assez handicapant au final. Enfin, des touches supplémentaires sont proposées avec le clavier, remplaçant les classiques ZQSD (WAZD sur la version testée) et haut bas gauche droite. Ces dernières ont pour but de finir de nous persuader que nous avons bien là un clavier destiné au gaming. Côté design, le Skiller est un pur clavier gamer, malgré l’absence de touches rétroéclairées et une finition qui fait pâle figure face aux ténors du genre, comme par exemple le G110.

Caractériques :

Le Sharkoon Skiller est assez massif, ce qui est plutôt habituel pour un clavier destiné au jeu. Faisant 485 mm de large, 212 mm de hauteur et 25 mm d’épaisseur, le Skiller entre dans la norme des claviers destinés aux jeux. Son poids est étonnamment léger avec ses 603 grammes, mais cette caractéristique est peu importante pour un périphérique qui ne devrait pas bouger de votre bureau une fois installé. Le fil USB sera assez long, 150 cm, ce qui vous permettra de le placer assez loin de votre machine. Chaque touche peut supporter jusqu’à dix millions de frappes, ce qui est plutôt correct, et dispose également d’un repose-poignet non amovible qui malheureusement est trop peu large pour être réellement utile. Enfin, le Skiller est vendu avec un Cd d’installation (de 8cm !) qui vous permettra de faire des macros et de créer jusqu’à 10 profils différents.

Utilisation :

Pour l’anecdote, je tape ce test avec le Skiller. L’écriture sur ce clavier est plutôt agréable si l’on aime ce genre de frappe malheureusement pas mécanique. Les touches en plastique sont légèrement granuleuses, ce qui donne un toucher très agréable. Il est assez bruyant et sera par exemple très handicapant pour les sessions nocturnes de jeu. Le repose-poignet, inexistant, vous donnera quelques crampes après de longues heures d’utilisation, ce qui est un peu dommage pour un clavier dédié aux jeux. La surface noire nacrée sera également un handicap si vous êtes un maniaque de la propreté, la poussière et les traces de doigts vous donneront la vie dure. Les 20 touches supplémentaires dédiées au multimédia sont très bien placées. Contrairement à un Logitech G110 par exemple, il faudra le faire exprès si vous tapez par erreur sur l’une d’elles. Dédiées au multimédia, elles sont dédiées à la lecture de vidéos sur le coté droit, au travail sur documents écrits sur la gauche, et enfin, à différentes fonctionnalités comme l’ouverture de mails ou la mise en veille sur le sommet. Malheureusement, aucun n’est dédié au changement de profil, et il vous faudra passer par le logiciel fourni avec le périphérique.

Logiciel :

Comme tout bon périphérique gamer, le Sharkoon est vendu avec son logiciel dédié qui vous permettra de configurer votre jouet. Au menu, édition de profil, attribution de macros… Sur chaque profil, vous pourrez configurer jusqu’à trois utilisations de claviers différents. Malgré le fait que dans le logiciel, les touches rétroéclairées apparaissent, la version à 15 € n’en bénéficie pas, et vous ne pourrez changer la couleur du logo, qui restera bleue dans tous les cas. Ce manque de personnalisation ne dérangera que les adeptes des LEDS, qui aiment par exemple coordonner les lumières de leur tour, souris, boitier casque et clavier. Un peu cheap, le logiciel remplit son contrat en étant limpide et lisible, mais ne propose pas une expérience aussi poussée que d’autres claviers gamer à prix élevés.

Gaming :

Venons-en au coeur du test : la partie gaming. Tout d’abord, comme dit plus haut, les touches non mécaniques sont assez bruyantes, ce qui est assez handicapant si vous jouez de nuit. De plus, l’absence de rétroéclairage vous pénalisera durant les sessions nocturnes, tous feux éteints. En contrepartie, le clavier vous fournit un jeu de huit touches bleues remplaçant les touches directionnelles et ZSQSD. Bleues ciel, ces touches jugeront avec votre périphérique une fois installées, mais qu’importe, elles sont là et bien visibles. Concernant ces touches, elles sont extrêmement bien pensées. En caoutchouc granuleux, elles accrochent bien aux doigts, mais par contre, sont assez désagréables, voire irritantes, par temps de grosses chaleurs quand vous suerez des doigts. Mais à part cela, la matière est assez bonne pour de bonnes performances de jeu, et les touches ont l’avantage d’être instantanément reconnues au toucher. Un excellent point.

Conclusion :

Clavier gamer à petit prix, le Sharkoon Gamer remplit son contrat et s’avère assez bon au final, lorsque nous prenons en compte le fait qu’il n’est qu’à 15 €. Certes, il n’atteint pas la cheville des ténors du genre qui dépassent les 70 €, mais reste très honnête et assez agréable à utiliser. Bref, un clavier pour les gamers pas trop exigeants et ruinés par les soldes d’été de Steam.

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22 commentaires
  1. Il faudra m’expliquer en quoi un logo retroéclairé est un “Petit ajout pour séduire les joueurs”.
    Encore une de ces personnes qui croit que les LED et les boîtiers discothèques c’est la classe et très gamer ? Parce que ça l’ai pas du tout.
    Si les gamers aiment les claviers retroéclairés c’est parce qu’ils jouent de nuit et que ça aide de voir les touches.
    J’ai arrêté de lire après ça.

  2. Opinion : Le petit ajout qui plait aux joueurs, c’est p’tet justement parce que ceux-ci jouent la nuit ?

    A mon avis, tu as mal interprété ce que voulait dire l’auteur de l’article 😉

  3. Dites, d’après l’image ou on voit les touches bleus, j’ai l’impression que c’est des touches normales, pas des mécaniques, si ?

    Parce qu’un mécanique à 15€ c’est l’affaire du siècle.

  4. @Hugo:
    Au contraire, un logo seul qui serait retroéclairé gênerait un gamer la nuit parce que ça serait une distraction. Je vois pas ce qu’un logo apporterai à qui que ce soit de nuit comme de jours.
    Comme j’ai dis, c’est les touches en elles mêmes que les gamers aiment retroéclairé pour pouvoir les voir de nuit, le logo, on s’en fou complet.

    @Pandattack:
    J’ai bien eu raison de m’arrêté à la alors parce que pour passer d’un clavier cheap avec “107 touches classiques” en début d’article à un clavier mécanique faut vraiment être mauvais dans ce qu’on fait.

  5. @Clem : Non, à ce prix-là, aucune chance.

    J’invite donc Pierre à préciser son texte. Le terme de “mécanique” désigne la technologie utilisée pour l’interrupteur sur lequel repose la touche. Sur un clavier de ce type, l’interrupteur est nécessairement une membrane avec dôme en caoutchouc.

    Dans le doute, Pierre peut toujours s’amuser à retirer une touche et constater ce qu’il y a en dessous…

  6. Le JdG, bientôt sponsorisé par Emmaus multimédia, venez tester nos nouveaux écran catodiques hi-tech, les dernières souris à boules à seulement 1€50!

  7. Apparement les lecteurs du JdG sont tous blindés!..
    Je vois pas où est le problème de tester un clavier à 15€. Si encore la règle voulait que plus s’est cher mieux s’est, vos critiques seraient justifiées mais ce n’est pas vraiment ça. Partant de la, critiquer pour critiquer, je vois pas l’intérêt.

  8. Futés les concepteurs de Sharkoon! Entre ce clavier et leur souris Drakonia à 35€ (qui est étonnament peu dégueu pour ce prix si on en croit les tests), ils vont faire un carton auprès d’un public un peu négligé par les constructeurs: ceux qu’on appelle les kikoos, les n00bs, bref, ces joueurs de 14 ans que trop de “true hardcore pro gamers” méprisent, mais qu’on a tous été un jour.

    Parce qu’à 14 ans, t’as pas les moyens avec ton argent de poche pour un clavier mécanique et une RAT9 (ou alors t’es très chanceux). Là, pour 50€, t’as un combo clavier-souris qui a l’air gamer, et qui apparement fait son boulot.

    Dans 10 ans, un paquet de joueurs d’élites nous dira qu’il a fait ses premières LAN sur du matos de chez Sharkoon, à tous les coups.

  9. VKurr :Pour moi le vrai kikos c’est le gars qui rage sur son clavier et sa souris.

    Autant que je peux croire qu’a très très haut niveau un très bon clavier et une bonne souris face la différence, mais à un niveau amateur (majorité des joueur) j’ai plus que des doutes. Surtout au niveau du clavier. C’est comme dans le sport il y a toujours des gars qui crois qu’en achetant le matos d’un champion du monde il seront meilleurs.

    Après il y a la aussi la question du confort. Le joueur amateur que je suis j’achète le matos plus pour le confort que pour les performances. Et franchement à 15€ ça devient limite un consommable ^^

    Après pour le rétro éclairage des touche ces plus esthétique d’utile , car lorsque je joue je ne regarde pas les touche de mon clavier met mon écran. Ce n’est que mon avis personnel.

  10. J’ai peut être une notion archaïque du kikoo: pour moi, un kikoo est un joueur qui s’exprime en kikoolol, est en général inexpérimenté, assez immature et occasionnellement assez fatigant (à l’opposé, le n00b, déformation de newbie, est juste inexpérimenté). Bon, évidement, vu qu’il est tout ça, il peut ragequit ou brutaliser son matos.

    Pour ce qui est de ton propos, je tiens à le nuancer: étant moi même joueur régulier (mais plus porté sur le solo, à l’exception de deux-trois LAN annuelles), j’ai longtemps utilisé une vieille logitech pourrie de bureautique, dont la seule caractéristique était son apparente immortalité. Et elle était d’un inconfort indécent, j’en avais des douleurs dans la main après avoir joué! Aujourd’hui heureux propriétaire d’une RAT-7, je suis le premier à dire qu’une souris bien ergonomique peut rendre la vie bien plus agréable pour un joueur PC.

    Pour le rétro-éclairage, je crois que c’est juste une question de frime: ça sert surtout à briller dans les soirées (ok, je sors –>[]). Mais pour certains joueurs, c’est important d’avoir l’air d’avoir du matos de pro.

  11. @Opinion :
    Quand il dit “le petit plus pour séduire les joueurs”, il ne sous-entend pas forcément que c’est utile, il cite l’argument commercial. Vous ne pouvez pas nier qu’un grand nombre d’articles ciblant les joueurs possèdent ce genre d’éclairage, en copiant l’apparence de ces articles “gamers”, Sharkoon montre clairement quel public il vise.

    Ensuite, vous dites que ce n’est pas classe d’avoir un boitier discothèque (avis que je partage), mais encore une fois, regardez le nombre d’articles en vente sur les cites de tuning, il y a bien des gens qui achètent, donc beaucoup de personnes trouvent çà beau. Sharkoon, s’adresse à ces gens là.

    Enfin, “Encore une de ces personnes qui croit que les LED et les boîtiers discothèques c’est la classe”, je trouve cette phrase très condescendante, ce n’est pas parce que vous avez un point de vue différent (qui se défend) qu’il faut mépriser les gens comme çà.

    Bonne journée !

  12. Par contre, je vois pas en quoi le retroéclairage manque. Un vrai gamer ne regarde jamais son clavier, donc qu’il soit lumineux ou non ca change vraiment rien. (J’allume jamais mon Blackwidow). Et dire que le clavier est mécanique alors que c’est totalement faux…

  13. @kassi: Je ne veux qu’un commentaire se plaignant que le JdG teste un clavier bas de gamme, celui qui parle d’emmaüs.

    @vkurr: Bien sûr que si un jeune de 14 ans peut se payer un clavier à 80€ et une souris au même prix. C’est juste que la majorité ne connaissent pas le mot “économiser” (si ils ont 10€ par mois ils auront encore 14ans quand ils pourront se payer un calvier ;)) ou sinon noël pour le clavier, la souris pour l’anniversaire ou les deux en un dépendant du niveau de richesses de ses parents.
    Et me parle pas du fait que tous ce que je dis au dessus devrait financer les sorties parce qu’autant en grandissant on apprend à vraiment vivre et mettre les jeux au second plan (ou peut importe le nom du dernier) autant à cette âge là (mais surtout avant) c’est pas le cas.

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