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Test : Super Pokémon Rumble

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Quoiqu’on en dise, les jeux estampillés de la licence Pokémon se traînent encore et toujours cette réputation de productions faites pour des gamins en culottes courtes….

Quoiqu’on en dise, les jeux estampillés de la licence Pokémon se traînent encore et toujours cette réputation de productions faites pour des gamins en culottes courtes. Et pourtant… Game Freak a beau s’y casser les dents à chaque fois (malgré d’excellentes ventes, la preuve que…), pour le coup, c’est au tour d’Ambrella de tenter sa chance, sur 3DS. Courage !

Attrapez-les tous, encore !

Héritier du Pokémon Rumble sorti sur WiiWare en 2009, Super Pokémon Rumble se veut comme une évolution de son prédécesseur, à laquelle on aurait greffé un casting bien plus consistant. En effet : là où Pokémon Rumble devait se contenter d’un roster de bestioles assez limité, Super Pokémon Rumble s’offre le luxe d’arborer un casting composé de l’intégralité des 5 générations de créatures de poche. Mais au fait, quel est le principe même du jeu ? Et bien, disons que pour résumer, il n’est pas question ici de partir à l’aventure dans le but de rencontrer -et d’étaler- des dresseurs de plus en plus forts. En lieu et place de cela, vous serez propulsé dans un monde où les Pokémons prennent l’apparence de jouets. Planqués dans des niveaux numérotés, ne laissant pas franchement place à l’exploration, ils seront en plus à chaque fois défendus par un boss. Classique, certes, mais contre toute attente diablement accrocheur. Sous couvert d’un scénario cul-cul la praline au possible, vous allez vous voir offrir la possibilité d’explorer une pléthore de zones et d’arènes, où le combat frontal est roi. Comme je vous le disais quelques lignes plus haut, Super Pokémon Rumble n’a rien à voir avec les volets de la série orientés RPG. Du coup, vous êtes amenés à diriger directement vos Pokémons, et pouvez lancer leurs attaques (2 au maximum, autant dire que vous aurez soin d’affiner votre roster pour être en mesure de parer à tous les types d’ennemis !) à l’encontre des congénères hostiles rencontrés en pressant les touches A et B. Une fois mis à terre, certains de vos ennemis pourront être stockés dans votre collection, et par extension être utilisés quand bon vous semble sur le champ de bataille. Attention toutefois : ces mêmes Pokémons ramassés… ne pourront pas évoluer. Et oui : la principale particularité du soft se trouve ici : malgré tous les combats que vous pourrez disputer avec vos alliés, ils ne prendront jamais le moindre XP. A vous alors de capturer, encore et encore, des Pokémons toujours plus costauds !

Et tu tapes, tapes, tapes... ton bouton A !

Répétitif, mais addictif !

Et voilà comment relancer l’intérêt d’un jeu des heures durant. Le principe de base à beau être basique à en pleurer, il fonctionne. Et il fonctionne d’ailleurs plutôt pas mal, au point de vous pousser à toujours vouloir en voir plus. Pour ne rien gâcher, les développeurs n’ont pas hésité à fournir à leur production une courbe de progression tempérée. Si le soft ne vous posera aucun problème lors des premières batailles, sachez toutefois que les derniers niveaux ne laissent pas de place au hasard, et il vous faudra étudier à fond la table des types de Pokémons pour savoir quelle type de bestiole lancer contre une autre (Feu contre Plante, Insecte contre Sol, etc…) Bien sur, l’aspect bourrin (pourtant assumé à 100%) du titre pourrait en refroidir certains, de même que l’impossibilité de pouvoir collectionner toutes les bestioles sans passer par le fameux StreetPass pourra froisser. De la même façon, son prix flirtant avec les 50€ sera un frein. A se demander d’ailleurs pourquoi une telle production n’a pas suivi la voix du dématérialisé, comme l’a fait son prédécesseur.

Répétitif, bourrin : ce Super Pokémon Rumble l’est indéniablement. Et pourtant, il jouit de ce petit côté attachant, en grande partie due à son ambiance gnan-gnan et à ses mécanismes de jeu qui devraient séduire n’importe quel accro au levelling et aux estocades répétées. Reste son prix, un tantinet élevé, puisque proche des 50€, et qui devrait s’illustrer comme un frein à ceux pourtant prêts à se laisser tenter. A méditer pourtant, tant les surprises sur 3DS sont rares.

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Quoiqu’on en dise, les jeux estampillés de la licence Pokémon se traînent encore et toujours cette réputation de productions faites pour des gamins en culottes courtes. Et pourtant… Game Freak a beau s’y casser les dents à chaque fois (malgré d’excellentes ventes, la preuve que…), pour le coup, c’est au tour d’Ambrella de tenter sa chance, sur 3DS. Courage !

Attrapez-les tous, encore !

Héritier du Pokémon Rumble sorti sur WiiWare en 2009, Super Pokémon Rumble se veut comme une évolution de son prédécesseur, à laquelle on aurait greffé un casting bien plus consistant. En effet : là où Pokémon Rumble devait se contenter d’un roster de bestioles assez limité, Super Pokémon Rumble s’offre le luxe d’arborer un casting composé de l’intégralité des 5 générations de créatures de poche. Mais au fait, quel est le principe même du jeu ? Et bien, disons que pour résumer, il n’est pas question ici de partir à l’aventure dans le but de rencontrer -et d’étaler- des dresseurs de plus en plus forts. En lieu et place de cela, vous serez propulsé dans un monde où les Pokémons prennent l’apparence de jouets. Planqués dans des niveaux numérotés, ne laissant pas franchement place à l’exploration, ils seront en plus à chaque fois défendus par un boss. Classique, certes, mais contre toute attente diablement accrocheur. Sous couvert d’un scénario cul-cul la praline au possible, vous allez vous voir offrir la possibilité d’explorer une pléthore de zones et d’arènes, où le combat frontal est roi. Comme je vous le disais quelques lignes plus haut, Super Pokémon Rumble n’a rien à voir avec les volets de la série orientés RPG. Du coup, vous êtes amenés à diriger directement vos Pokémons, et pouvez lancer leurs attaques (2 au maximum, autant dire que vous aurez soin d’affiner votre roster pour être en mesure de parer à tous les types d’ennemis !) à l’encontre des congénères hostiles rencontrés en pressant les touches A et B. Une fois mis à terre, certains de vos ennemis pourront être stockés dans votre collection, et par extension être utilisés quand bon vous semble sur le champ de bataille. Attention toutefois : ces mêmes Pokémons ramassés… ne pourront pas évoluer. Et oui : la principale particularité du soft se trouve ici : malgré tous les combats que vous pourrez disputer avec vos alliés, ils ne prendront jamais le moindre XP. A vous alors de capturer, encore et encore, des Pokémons toujours plus costauds !

Et tu tapes, tapes, tapes... ton bouton A !

Répétitif, mais addictif !

Et voilà comment relancer l’intérêt d’un jeu des heures durant. Le principe de base à beau être basique à en pleurer, il fonctionne. Et il fonctionne d’ailleurs plutôt pas mal, au point de vous pousser à toujours vouloir en voir plus. Pour ne rien gâcher, les développeurs n’ont pas hésité à fournir à leur production une courbe de progression tempérée. Si le soft ne vous posera aucun problème lors des premières batailles, sachez toutefois que les derniers niveaux ne laissent pas de place au hasard, et il vous faudra étudier à fond la table des types de Pokémons pour savoir quelle type de bestiole lancer contre une autre (Feu contre Plante, Insecte contre Sol, etc…) Bien sur, l’aspect bourrin (pourtant assumé à 100%) du titre pourrait en refroidir certains, de même que l’impossibilité de pouvoir collectionner toutes les bestioles sans passer par le fameux StreetPass pourra froisser. De la même façon, son prix flirtant avec les 50€ sera un frein. A se demander d’ailleurs pourquoi une telle production n’a pas suivi la voix du dématérialisé, comme l’a fait son prédécesseur.

Répétitif, bourrin : ce Super Pokémon Rumble l’est indéniablement. Et pourtant, il jouit de ce petit côté attachant, en grande partie due à son ambiance gnan-gnan et à ses mécanismes de jeu qui devraient séduire n’importe quel accro au levelling et aux estocades répétées. Reste son prix, un tantinet élevé, puisque proche des 50€, et qui devrait s’illustrer comme un frein à ceux pourtant prêts à se laisser tenter. A méditer pourtant, tant les surprises sur 3DS sont rares.

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

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