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Le 1er décembre 2017, le cap des 50% de la population mondiale connectée a été franchi !

Cette année, le cap des 50% de la population mondiale connectée à Internet a été franchi, alors qu’il était encore de 40% en 2016 selon une…

Cette année, le cap des 50% de la population mondiale connectée à Internet a été franchi, alors qu’il était encore de 40% en 2016 selon une étude de Kaspersky Lab. En plus d’une augmentation significative du nombre de personnes connectées, les habitudes des internautes évoluent sans cesse. Aujourd’hui, chaque minute sont effectuées 3,5 millions de recherches Google, ou encore envoyés 156 millions d’emails.

Des usagers actifs, de plus en plus mobiles, mais peu précautionneux.

L’un des éléments les plus marquants de cette étude, c’est qu’aujourd’hui les usagers présents sur Internet utilisent simultanément plusieurs appareils, et pour se connecter avec le monde environnant pour entretenir des relations professionnelles, personnelles voire intimes, ou commerciales. Près de 60% des personnes interrogés utilisent ainsi à la fois un ordinateur et un smartphone dans leur quotidien. Aujourd’hui, les usagers ne font plus l’effort de se connecter, en allumant un appareil etc. ils sont connectés en permanence par le biais d’appareils qui les suivent partout. En plus de cela, les objets connectés, qu’ils soient au domicile ou qu’ils soient portés par les utilisateurs tendent aussi à accroitre la connectivité et la multiplication des points d’accès – et donc les vulnérabilités. D’autant plus que si les personnes admettent posséder plusieurs appareils connectés à Internet, ils admettent aussi ne pas tous les protéger de la même manière. Si 89% des personnes interrogées protègent leurs ordinateurs, seuls 56% protègent leurs smartphones contre les cyberattaques et 22% contre les vols.
Enfin, si les utilisateurs sont préoccupés quant à la géolocalisation depuis leurs appareils mobiles, peu en fait se renseignent quant au fonctionnement de cette localisation, et vérifient les paramètres de leurs appareils.

Ces constats sont d’autant plus préoccupants qu’aujourd’hui, les utilisateurs ne sont pas uniquement passifs sur le web. Ils partagent également beaucoup ; ce qui implique la présence de contenu sensible ou de valeur sur leurs appareils connectés. Et la mobilité entraine également la multiplication des spots de connectivités, tels que les wifi publics pas toujours sécurisés : 64% des personnes interrogées accèdent aux réseaux sociaux via ces wifi publics, 38% se rendent sur des sites internet sans se prendre de précautions et même un quart opèrent des transactions financières sans se préoccuper de la sécurisation du réseau ou des outils. Seuls 26% des personnes interrogées prétendent faire plus attention lors d’une connexion sur un réseau public que lors d’une connexion privée.
Des constats d’autant plus paradoxaux quand on sait que les répondants ne souhaiteraient pas perdre l’accès ou le contrôle à leurs données stockées, surtout que la récupération desdites données en cas de perte coûte en moyenne 650€.

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2 commentaires
  1. Et cette étude ne calcule pas le coût énergétique du stockage de toutes ces données ? Ni son impact sur le réchauffement climatique ? Ni sur la quantité de Cobalt et autres métaux lourds utilisés…
    C’est quoi cette étude ? Il n’y a aucune référence dans l’article. C’est une étude de ton beau-frère ?
    Et quand il est écrit 60% des personnes interrogées, c’est sur quel échantillon ? Et dans quel pays ?

    Ou alors c’est juste une grosse pub pour vendre des solutions de sécurité.

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