C’est donc sous la forme de 3 tweets officiellement reconnus et attribués à la commissaire que la position de Bruxelles est exposée :
Nous n’avons pas besoin d’une mauvaise législation, mais plutôt de protections pour un réseau ouvert
La réglèmentation sur internet doit être efficace, proportionnée et préserver les bénéfices d’un réseau ouvert
Les excès de vitesse sont illégaux, mais on ne place pas de ralentisseurs sur nos autoroutes
Bien que ces déclarations n’auront certainement aucun impact sur la loi américaine, c’est dans la valeur politique et idéologique du message que réside l’intérêt d’une telle initiative.
La commissaire précise par ailleurs qu’elle n’entend pas défendre le piratage, mais que l’actualité mérite un “débat européen” sur la question.
Rappelons simplement en petits caractères que le président de la République, Nicolas Sarkozy ne porte pas particulièrement la commissaire dans son coeur…