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Impressions : Deus Ex : Human Revolution

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Après s’être mise en sourdine un petit moment, la licence Deus Ex, lancée à l’origine par le talentueux Warren Spector, reviendra sur le devant de la…

Après s’être mise en sourdine un petit moment, la licence Deus Ex, lancée à l’origine par le talentueux Warren Spector, reviendra sur le devant de la scène le 26 août prochain, du moins, dans l’hexagone. Chaperonné par Eidos Montreal, cette nouvelle itération de la licence, sobrement nommée Human Revolution, semble toutefois aller dans le bon sens, en mêlant habilement le cocktail FPS/RPG. Et pourtant, les 2 éléments sont loin d’être les plus évidents à marier…



Si nous n’avons à l’heure actuelle pas encore pu toucher à ce Deus Ex : Human Revolution, nous avons pourtant eu l’occasion fin avril de nous le voir présenté par Jonathan Jacques-Belletête (le directeur artistique sur le projet). Ainsi, si notre homme a tout d’abord tenu à nous rassurer sur la ligne directrice prise par l’équipe de développement, à savoir garder une certaine continuité face aux bases de la série, il n’a pas hésité à entrer dans le vif du sujet en nous présentant, le pad à la main, un des niveaux du jeu. Sans vouloir à tout prix vous spoiler le pitch du soft, sachez simplement qu’il prend place dans un univers teinté de l’influence des Blade Runner et consorts, et donc froid au possible. Froid, désespéré, et par extension idéal pour poser l’histoire du jeu, dont le fil d’ariane se résume à une multinationale convaincue du bon usage de la chirurgie poussée à son extrême, permettant l’implantation d’augmentations dans le corps humain. Evidemment, note héros, un certain Adam Jensen, se retrouve au “coeur” de la polémique, après s’être vu “augmenté” à son insu. Pour autant, on vous laissera le plaisir de la découverte du scénario dans son ensemble (et en même temps, si notre homme n’avait pas été augmenté, l’intérêt du jeu serait vite retombé tel un soufflé…)

Et puis, pour le moment, ce qui nous intéresse véritablement tient plutôt du registre du gameplay. Et le gameplay de ce Deus Ex : Human Revolution, parlons-en ! Mêlant FPS et RPG, il est épaulé par un système de compétences à débloquer (grâce à des points), et qui vont par exemple vous permettre de vous rendre invisible aux yeux de l’ennemi durant un lap de temps défini, de pouvoir hacker les systèmes de surveillance plus simplement (à ce sujet, on a pu voir que certaines portes était à hacker en passant par un mini jeu plutôt intéressant) ou encore de voir les ennemis à travers les murs grâce à une vision décuplée. Autant d’exemples qui nous laissent imaginer la multitude d’approches qu’il sera possible d’user lors des missions. Dans notre exemple, la mission que nous avons eu l’occasion d’admirer a pu être dans un premier temps approchée sous un angle furtif (sniper et élimination sommaire au programme), puis dans un deuxième temps sous un angle bourrin à souhait, surplombé par des rafales de balles incessantes. Pour autant, il semble évident que l’aspect furtif soit celui à privilégier, l’I.A du soft ayant particulièrement l’air fine et réactive pour une fois…

Au niveau de la durée de vie du jeu maintenant, Jonathan Jacques-Belletête a tenu a rassurer en avançant le chiffre de 25h, et ce, sans prendre véritablement son temps. Un minimum me direz-vous, puisque Deus Ex : Human Revolution ne sera pas doté du moindre mode multijoueur. Un FPS solo en 2011 ? Oui, c’est possible. Mais quitte à choisir entre un FPS bouclé en 6h et doté d’un multi moyen et un FPS dénué de multi mais équipé d’une aventure solo lustrée comme jamais, j’aurais envie de vous dire que le choix est vite fait de mon côté…

Après s’être mise en sourdine un petit moment, la licence Deus Ex, lancée à l’origine par le talentueux Warren Spector, reviendra sur le devant de la scène le 26 août prochain, du moins, dans l’hexagone. Chaperonné par Eidos Montreal, cette nouvelle itération de la licence, sobrement nommée Human Revolution, semble toutefois aller dans le bon sens, en mêlant habilement le cocktail FPS/RPG. Et pourtant, les 2 éléments sont loin d’être les plus évidents à marier…



Si nous n’avons à l’heure actuelle pas encore pu toucher à ce Deus Ex : Human Revolution, nous avons pourtant eu l’occasion fin avril de nous le voir présenté par Jonathan Jacques-Belletête (le directeur artistique sur le projet). Ainsi, si notre homme a tout d’abord tenu à nous rassurer sur la ligne directrice prise par l’équipe de développement, à savoir garder une certaine continuité face aux bases de la série, il n’a pas hésité à entrer dans le vif du sujet en nous présentant, le pad à la main, un des niveaux du jeu. Sans vouloir à tout prix vous spoiler le pitch du soft, sachez simplement qu’il prend place dans un univers teinté de l’influence des Blade Runner et consorts, et donc froid au possible. Froid, désespéré, et par extension idéal pour poser l’histoire du jeu, dont le fil d’ariane se résume à une multinationale convaincue du bon usage de la chirurgie poussée à son extrême, permettant l’implantation d’augmentations dans le corps humain. Evidemment, note héros, un certain Adam Jensen, se retrouve au “coeur” de la polémique, après s’être vu “augmenté” à son insu. Pour autant, on vous laissera le plaisir de la découverte du scénario dans son ensemble (et en même temps, si notre homme n’avait pas été augmenté, l’intérêt du jeu serait vite retombé tel un soufflé…)

Et puis, pour le moment, ce qui nous intéresse véritablement tient plutôt du registre du gameplay. Et le gameplay de ce Deus Ex : Human Revolution, parlons-en ! Mêlant FPS et RPG, il est épaulé par un système de compétences à débloquer (grâce à des points), et qui vont par exemple vous permettre de vous rendre invisible aux yeux de l’ennemi durant un lap de temps défini, de pouvoir hacker les systèmes de surveillance plus simplement (à ce sujet, on a pu voir que certaines portes était à hacker en passant par un mini jeu plutôt intéressant) ou encore de voir les ennemis à travers les murs grâce à une vision décuplée. Autant d’exemples qui nous laissent imaginer la multitude d’approches qu’il sera possible d’user lors des missions. Dans notre exemple, la mission que nous avons eu l’occasion d’admirer a pu être dans un premier temps approchée sous un angle furtif (sniper et élimination sommaire au programme), puis dans un deuxième temps sous un angle bourrin à souhait, surplombé par des rafales de balles incessantes. Pour autant, il semble évident que l’aspect furtif soit celui à privilégier, l’I.A du soft ayant particulièrement l’air fine et réactive pour une fois…

Au niveau de la durée de vie du jeu maintenant, Jonathan Jacques-Belletête a tenu a rassurer en avançant le chiffre de 25h, et ce, sans prendre véritablement son temps. Un minimum me direz-vous, puisque Deus Ex : Human Revolution ne sera pas doté du moindre mode multijoueur. Un FPS solo en 2011 ? Oui, c’est possible. Mais quitte à choisir entre un FPS bouclé en 6h et doté d’un multi moyen et un FPS dénué de multi mais équipé d’une aventure solo lustrée comme jamais, j’aurais envie de vous dire que le choix est vite fait de mon côté…

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