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Test : Gears of War 2

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Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Blockbuster d’Epic Games était attendu. Deux ans se sont déjà écoulés depuis la sortie d’un premier opus puissant,…

Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Blockbuster d’Epic Games était attendu. Deux ans se sont déjà écoulés depuis la sortie d’un premier opus puissant, proche de la perfection dans bien des domaines (et je pèse mes mots). Reste à savoir si ce Gears of War 2 est à la hauteur de nos espérances…

Le principal reproche fait à Gears of War à l’époque fut indéniablement son manque d’ambition du côté du scénario. Et bien il semble qu’Epic Games ait entendu les plaintes des joueurs : revenu une nouvelle fois dans la peau de Marcus Fenix, on en apprend cette fois beaucoup plus sur l’univers du jeu, mais aussi et surtout beaucoup plus sur les différents protagonistes. Pour faire court (et ne pas trop vous spoiler…) l’histoire se passe quelques mois après le premier volet, après l’explosion de la bombe lumière. Surprise, les locustes sont finalement bien loin d’avoir disparu, et reviennent encore plus forts et enragés, en profitant pour lancer un assaut sans précédent dans le but de faire tomber Jacinto, la capitale humaine. En réponse, les militaires sont envoyés directement sous terre, là où les locustes se reproduisent, pour savoir ce qui se trame chez l’ennemi. Et croyez-moi, ce n’est pas triste.

Premier constat après quelques minutes de jeu : oui, Gears of War 2 se place bel et bien dans la lignée de son prédécesseur. Graphiquement, d’ailleurs, la différence ne saute pas aux yeux tout de suite. On s’en rendra seulement compte en avançant un peu dans le jeu, en fonction des décors croisés. En même temps, il est vrai qu’il n’y avait de toute façon pas grand chose à reprocher au premier épisode de ce côté… Ceux qui ont joué à Gears of War ne seront pas non plus dépaysés une fois la manette en main. Les commandes sont toujours aussi intuitives, et le système de sauvegardes par checkpoints, tellement pratique pour ce genre de jeu, à été lui aussi conservé. Pas de grosses modifications niveau gameplay donc, et c’est tant mieux…

De la même façon, on sent qu’un effort à été réalisé au niveau de la difficulté, à peu près constante tout au long du jeu.Bonne nouvelle : en plus des modes Recrue, Vétéran et Dément (à débloquer), un mode Normal est maintenant venu se glisser au milieu de tout ça. De façon plus générale, sachez qu’un effort a aussi été réalisé pour la durée de vie, puisqu’il faudra cette fois environ une douzaine d’heures pour arriver au bout de l’aventure, seul ou en coop. Et c’est vrai que jouer à plusieurs à Gears of War 2, ce n’est pas qu’une option. Le jeu a vraiment été pensé pour que ça soit un plaisir. Pendant la campagne, totalement jouable à deux, il faudra par exemple souvent choisir de rester ensemble ou de se séparer, parfois pour mieux couvrir son coéquipier.

Quant au mode multi, il est maintenant possible de s’affronter à cinq contre cinq sur des maps qui en laissent vraiment pour tous les goûts. Quelques détails intéressants ont aussi été ajoutés, comme le duel à la tronçonneuse, où il faudra découper son adversaire en deux le plus vite possible.Et si c’est vous qui finissez en morceaux, vous apprécierez sûrement la vue fantôme, une fois mort, qui laisse libre de se déplacer comme on veut sur la carte tant que la partie n’est pas finie. Ça permet d’étudier le style de jeu de ses adversaires ou de mieux repérer le décor pour la prochaine partie. Juste histoire de ne pas mourir bêtement deux fois de la même façon.

Une chose est sûre, Gears of War 2 sent toujours autant la sueur et l’acier. Et honnêtement, difficile de ne pas accrocher, même quand on n’est pas fan du genre…

Le verdict ?


Que signifie cette pastille ?

Les+

  • Scénario plus consistant
  • Difficulté et I.A. bien pensés
  • Des nouveautés bienvenues
  • Un mode multi intéressant
  • Les –

  • Ressemble beaucoup au premier
  • On aurait aimé qu’il soit encore plus long
  • Le moins qu’on puisse dire, c’est que le Blockbuster d’Epic Games était attendu. Deux ans se sont déjà écoulés depuis la sortie d’un premier opus puissant, proche de la perfection dans bien des domaines (et je pèse mes mots). Reste à savoir si ce Gears of War 2 est à la hauteur de nos espérances…

    Le principal reproche fait à Gears of War à l’époque fut indéniablement son manque d’ambition du côté du scénario. Et bien il semble qu’Epic Games ait entendu les plaintes des joueurs : revenu une nouvelle fois dans la peau de Marcus Fenix, on en apprend cette fois beaucoup plus sur l’univers du jeu, mais aussi et surtout beaucoup plus sur les différents protagonistes. Pour faire court (et ne pas trop vous spoiler…) l’histoire se passe quelques mois après le premier volet, après l’explosion de la bombe lumière. Surprise, les locustes sont finalement bien loin d’avoir disparu, et reviennent encore plus forts et enragés, en profitant pour lancer un assaut sans précédent dans le but de faire tomber Jacinto, la capitale humaine. En réponse, les militaires sont envoyés directement sous terre, là où les locustes se reproduisent, pour savoir ce qui se trame chez l’ennemi. Et croyez-moi, ce n’est pas triste.

    Premier constat après quelques minutes de jeu : oui, Gears of War 2 se place bel et bien dans la lignée de son prédécesseur. Graphiquement, d’ailleurs, la différence ne saute pas aux yeux tout de suite. On s’en rendra seulement compte en avançant un peu dans le jeu, en fonction des décors croisés. En même temps, il est vrai qu’il n’y avait de toute façon pas grand chose à reprocher au premier épisode de ce côté… Ceux qui ont joué à Gears of War ne seront pas non plus dépaysés une fois la manette en main. Les commandes sont toujours aussi intuitives, et le système de sauvegardes par checkpoints, tellement pratique pour ce genre de jeu, à été lui aussi conservé. Pas de grosses modifications niveau gameplay donc, et c’est tant mieux…

    De la même façon, on sent qu’un effort à été réalisé au niveau de la difficulté, à peu près constante tout au long du jeu.Bonne nouvelle : en plus des modes Recrue, Vétéran et Dément (à débloquer), un mode Normal est maintenant venu se glisser au milieu de tout ça. De façon plus générale, sachez qu’un effort a aussi été réalisé pour la durée de vie, puisqu’il faudra cette fois environ une douzaine d’heures pour arriver au bout de l’aventure, seul ou en coop. Et c’est vrai que jouer à plusieurs à Gears of War 2, ce n’est pas qu’une option. Le jeu a vraiment été pensé pour que ça soit un plaisir. Pendant la campagne, totalement jouable à deux, il faudra par exemple souvent choisir de rester ensemble ou de se séparer, parfois pour mieux couvrir son coéquipier.

    Quant au mode multi, il est maintenant possible de s’affronter à cinq contre cinq sur des maps qui en laissent vraiment pour tous les goûts. Quelques détails intéressants ont aussi été ajoutés, comme le duel à la tronçonneuse, où il faudra découper son adversaire en deux le plus vite possible.Et si c’est vous qui finissez en morceaux, vous apprécierez sûrement la vue fantôme, une fois mort, qui laisse libre de se déplacer comme on veut sur la carte tant que la partie n’est pas finie. Ça permet d’étudier le style de jeu de ses adversaires ou de mieux repérer le décor pour la prochaine partie. Juste histoire de ne pas mourir bêtement deux fois de la même façon.

    Une chose est sûre, Gears of War 2 sent toujours autant la sueur et l’acier. Et honnêtement, difficile de ne pas accrocher, même quand on n’est pas fan du genre…

    Le verdict ?


    Que signifie cette pastille ?

    Les+

  • Scénario plus consistant
  • Difficulté et I.A. bien pensés
  • Des nouveautés bienvenues
  • Un mode multi intéressant
  • Les –

  • Ressemble beaucoup au premier
  • On aurait aimé qu’il soit encore plus long
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