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Adobe : la grosse panne du Creative Cloud

L’informatique dans le nuage, c’est épatant, sauf quand le serveur pète une durite. C’est la mésaventure arrivée aux utilisateurs du Creative Cloud d’Adobe, qui n’a pas…

L’informatique dans le nuage, c’est épatant, sauf quand le serveur pète une durite. C’est la mésaventure arrivée aux utilisateurs du Creative Cloud d’Adobe, qui n’a pas pu activer les logiciels pendant 24 heures.

Adobe

Évidemment, ça coince dur. Les logiciels d’Adobe, utilisés par les graphistes, les maquettistes et les photographes, sont des outils essentiels pour ces métiers. S’ils ne peuvent s’en servir, c’est une catastrophe : cela signifie une journée de productivité en moins, ce qui peut se révéler particulièrement embêtant en cas de bouclage, par exemple.

Adobe a mis un temps fou à réparer le serveur en cause, dont une des bases des données aurait cessé de fonctionner correctement. « Nous prenons le problème au sérieux et des compensations seront considérés au cas par cas », a précisé l’éditeur qui est désormais en mode « pompier » pour éteindre la propagation de commentaires négatifs. Adobe n’a pas précisé la nature de ces compensations; il n’en était d’ailleurs pas question peu après le rétablissement du service web… Devant la bronca, les choses évoluent dans le bon sens.

L’entreprise prend soin de préciser que ce bug n’est lié en rien à la faille de sécurité massive qui l’an denier, a compromis des dizaines de millions de comptes clients qui se sont vus voler adresses courriel et mots de passe.

Le Creative Cloud, qui est le seul moyen d’accéder aux dernières versions de Photoshop, Illustrator ou encore InDesign, a recruté 1,84 million d’abonnés.

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7 commentaires
  1. Propriétaire d’une licence master CS5, il y a quelques années j’avais du cracker ma version légal pour finir un boulot dans les temps. Vu le prix du logiciel je trouve ça aberrant !

  2. C’était beaucoup moins grave que ça… On ne pouvait pas se connecter au Creative Cloud, on ne pouvait pas non plus mettre nos données à jour mais ça n’a pas empêché de bosser. Heureusement que le Creative Cloud N’EST PAS le seul moyen d’utiliser les logiciels comme le dit l’article ! Même avec un abonnement CC, ils sont (encore) installés sur nos machines donc pas de panique… La bise

  3. @Flobb: Merci de préciser ce point. Le JDG dramatise, au point parfois de désinformer (notons que cette erreur n’est pas présente chez Reuters).
    Maintenant il faut corriger l’article, et, soyons fou, rajouter un peu d’objectivité: seuls les professionnels qui dépendent entièrement d’un tiers pour leurs données critiques sont réellement impactés. “Bien fait”, dirais-je, mais ce n’est que moi…

  4. Je confirme, ça n’affecte pas le travail. De plus, ne me servant du Creative Cloud seulement pour les Màj et les activation donc AUCUN impact sur le rendement…

  5. Comme souvent l’auteur aurait pu faire vendre son article à une chaîne comme BFM vu le ton employé et les infos non vérifiées.

  6. Il faut juste pas avoir besoin d’installer un nouveau poste ou être à la limite pour la réactivation. Mais à part ça, une app installée doit renouveler son activation tous les 30j pour un abo mensuel et tous les 99 jours pour un abo annuel.

Les commentaires sont fermés.

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