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BlaBlaCar : 100 millions de dollars pour conquérir l’Amérique… du Sud

Dans un entretien accordé à FrenchWeb, Frédéric Mazzella, président et fondateur de la start-up française BlaBlaCar, annonce avoir levé 100 millions de dollars. Environ 73 millions…

Dans un entretien accordé à FrenchWeb, Frédéric Mazzella, président et fondateur de la start-up française BlaBlaCar, annonce avoir levé 100 millions de dollars. Environ 73 millions d’euros recueillis auprès de divers fonds.

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Comme Deezer en son temps, une des rares start-up françaises a avoir levé autant de fonds,  BlaBlaCar les utilisera pour poursuivre son développement à l’étranger, en Amérique du Sud et dans les pays de plus de 50 millions d’habitants. Étrangement, à l’heure actuelle, les USA ne sont pas dans les plans de la société.

La start-up qui a dépoussiéré le covoiturage, désormais forte de 8 millions de membres
dans le monde a donc encore quelques beaux jours devant elle.

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7 commentaires
  1. Je ne sais pas aux USA, mais au Canada le marché du covoiturage est déjà bien implanté. Cela explique peut être pourquoi ils ne veulent pas se lancer dans cette région, où la concurrence est déjà bien en place.

  2. Petit message au JDG, en toute franchise :

    Ce serait vraiment génial d’avoir un peu plus d’infos quand vous écrivez ce genre d’articles qui tiennent sur 9 lignes (+ une grosse image au milieu pour donner l’impression que c’est bien rempli). J’aimerais bien par exemple en savoir un peu plus sur cette entreprise française, son parcours, son fondateur ! Juste un mini reportage qui vous prendrait un tout petit peu plus de temps, mais qui m’éviterais à moi, lecteur, d’aller chercher une info plus pertinente sur un autre site.
    En somme, avec une rédaction aussi pauvre, vous servez plus de gros titres sur l’actualité high-tech / geek, que d’articles vraiment sérieux et approfondis par une réelle investigation. Dommage ! Dommage car vous en avez largement les moyens, vous avez le public, les relations, la notoriété.

    Un dernier conseil, passez moins de temps à jouer les journaleux, soyez passionés ! Un peu comme sur le Journal du Gamer, où là, je n’ai rien à dire. Mon message est un mot d’encouragement, car quoiqu’il en soit, je vous suis, je vous lis, et c’est pour cela que je réagis ! ; )

    Amicalement,
    Un lecteur acharné du JDG !

  3. +1
    Je suis resté sur ma faim par rapport à la société BlablaCar, dont je me doutais du coeur de métier mais un peu plus d’info aurait été bien.
    Bonne continuation

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