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Altered Carbon : la prochaine série SF de Netflix continue de teaser son ambiance cyberpunk

Après un premier teaser la semaine dernière accompagné d’une date de sortie, Netflix continue la promotion de Altered Carbon, son prochain thriller sériel cyberpunk prévu pour le mois de février. Et cette nouvelle bande-annonce nous apprend que l’on peut toujours mourir dans un futur où la mort n’est plus un problème.

Comme pour 2017, Netflix compte bien multiplier les contenus originaux pour draguer un maximum de clients potentiels en 2018. Outre Osmosis, deuxième série française produite par Netflix, ou le spin-off de Riverdale consacré à Sabrina l’apprentie sorcière, la plateforme de streaming américaine garde un pied dans la science-fiction avec Altered Carbon.

Adaptation du roman éponyme de Richard K. Morgan, sorti en 2002, ce thriller cyberpunk dépeindra un futur loin de 300 ans, où la conscience des humains peut être numérisée et transférée dans un autre corps, faisant de la mort un “simple désagrément”.

Sauf que ce procédé n’empêche pas de mourir. Comme l’expose la nouvelle bande-annonce de la série, Laurens Bancroft, l’homme le plus riche du monde, est tué à l’âge canonique de 365 ans. Alors que la police pense qu’il s’est suicidé, notre infortuné fortuné engage l’ancien soldat Takeshi Kovacs (Joel Kinnaman, aperçu dans Suicide Squad) pour qu’il retrouve son meurtrier. Une enquête qui ne se fera évidemment pas sans heurts.

Sortie le 2 février 2018.

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3 commentaires
  1. Le bouquin est particulièrement bon par son thème et ses personnages, mais pénalisé par le défaut habituel de Richard K. Morgan, dans les 3 ou 5 de ses romans que j’ai pu lire : cet espèce de quota invraisemblable de scènes de culs parfaitement inutiles qu’il s’astreint à insérer au forceps dans la trame et qui pètent le rythme de son récit. Qu’il croie encore avoir besoin de ça pour vendre, ou que ce soit pour soulager ses névroses, quoi qu’il en soit, c’est dommage.

    1. Dans la plupart des bouquins, les scènes de cul arrivent comme un cheveux sur la soupe. Ça doit être plus compliqué qu’il n’y parait d’en intégrer une.

      1. D’un autre côté… j’ose espérer que ce ne sont pas leurs éditeurs qui les y obligent. Ils pourraient s’abstenir si ce n’est pas nécessaire à l’histoire.

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